(Niagara Falls) où, jusque vers 1804, il prêcha le dimanche et enseigna la semaine. Vers 1813, il fut pendant peu de temps ministre d’une congrégation établie près du lac Champlain puis, peut-être l’année
réussite, il fallait construire un autre canal reliant le Saint-Laurent au lac Champlain. Ce canal, prétendait-il, accroîtrait énormément l’intérêt qu’offrait Montréal comme entrepôt. Après quelques débats
-Canada, avait perdu son escadre et était mort au cours de la bataille du lac Champlain, lors de la tentative de Prévost d’envahir les États-Unis à partir de Montréal. C’était le second désastre qu’essuyait
Champlain*. En précisant laquelle des trois rivières était vraiment la rivière Sainte-Croix décrite à l’époque de l’exploration, ils mirent fin, dans une grande mesure, à la dispute des frontières
six autres officiers, il fut envoyé des Bermudes au Canada pour y défendre les Grands Lacs et le lac Champlain. Puis, le 12 juillet 1813, il fut promu lieutenant. Déjà, il avait connu en mer
à Montréal et dont il fut le président de 1849 à 1874. Il plaça de l’argent dans les chemins de fer et en particulier dans le premier chemin de fer du Canada, le chemin à lisses de Champlain et du
.
Au début de décembre, à bord du Champlain, Woodman quitta Detroit avec le groupe de patriotes qui projetaient d’envahir le Haut-Canada à partir de Windsor. À son procès, il allait prétendre
journal de Knox est précieuse, tout comme une autre publication de la Champlain Society, Logs of the conquest (Wood).
Les
Québec lui confièrent une mission secrète de reconnaissance au lac Champlain. Le succès de cette mission contribua à briser un complot qu’aurait tramé David
intellectuelles et morales et à la création d’une identité nationale : il fut l’un des fondateurs de la Champlain Society, remplit à une certaine époque les fonctions de président et d’administrateur du
d’ailleurs.
Weld fut impressionné plus favorablement par les provinces canadiennes. De juillet à novembre 1796, il voyagea du lac Champlain à Montréal et à
lac Champlain ; ce fort était devenu le point de départ d’incursions contre les postes frontaliers de la Nouvelle-Angleterre et de New York. La prise de ce fort fournirait un tremplin qui se
navire en partance contre un salaire beaucoup plus élevé. C’est ainsi qu’un réseau de racoleurs vit le jour rue Champlain, près du port, afin de faciliter, contre rémunération, le passage d’un employeur à
, avait de nouveau conduit les renforts de l’armée de terre jusqu’au bord du lac Champlain. Ce fut pour lui un rude coup que la nouvelle du désastre ainsi que l’ordre de surseoir à l’attaque sur Montréal
MacKinnon Wrong et le bibliothécaire James Bain*, il fonda la Champlain Society, qui publie des documents historiques. Selon son propre témoignage, ce
commission d’arpenteur et ouvre un bureau dans sa maison de la rue Champlain, où il dispense aussi des cours d’arpentage, de mathématiques et de français. En janvier 1785, il lance une souscription dans le but
ASQ, Documents Faribault, 23, 25.— Champlain, Œuvres (Laverdière), II : 1 283–1 287.— JJ (Laverdière et Casgrain).— JR (Thwaites), XXII : 9–296
lois et coutumes maritimes », 2e sér., 3 (1897), sect. i : 119–133 ; « Samuel de Champlain », 5 (1899), sect. i
Champlain en fixa l’orthographe actuelle en laissant tomber le r et Ganong en a retracé la marche lente vers le Nord dans des cartes successives jusqu’à l’endroit qu’il désigne maintenant dans les