Dieskau* – Montcalm*, qui n’a pas été témoin de l’événement, se permettra de dire plus tard que Le Mercier a « fait
Montcalm* détruisirent la base américaine fortifiée de Chouaguen (ou Oswego ; aujourd’hui Oswego, New York), ce qui valut aux Français la maîtrise des Grands Lacs. En 1757, le fort George (également
[Rigaud] et du marquis de Montcalm*. Ramezay, responsable de la défense de la haute ville, a sous ses ordres 700 soldats et
Monckton, en 1755. L’année suivante, il participa à l’attaque, menée par Montcalm*, contre Chouaguen (ou Oswego
qualité d’officier de liaison des détachements auxiliaires indiens qui accompagnaient l’armée de Montcalm, il s’occupa plus particulièrement des guerriers sauteux. Le rôle qui lui était dévolu
Montcalm* contre Chouaguen (ou Oswego ; aujourd’hui Oswego, New York). Bien que défendu par plus de 1 700 hommes, Chouaguen dut capituler le 14 août, livrant un butin considérable. Trois
Montcalm au soir du 14 septembre 1759. Outre que le curé de Québec était à cette date M. Jean-Félix
Lanoullier* de Boisclerc, sise rue des Remparts, pour la somme de 14 500#. Il devait la louer à Montcalm* durant le séjour du
; Registres d’état civil de Notre-Dame de Québec, 15 avril 1715. — P.-B. Casgrain, Une autre maison de Montcalm à Québec (1759), BRH, VIII (1902) : 330–333.
naissante, incarnation du progrès et de la liberté des protestants anglo-saxons, à la Nouvelle-France, symbole de l’absolutisme catholique. Comme il l’écrivait dans Montcalm and Wolfe, paru en 1884
, Montcalm*, se hâtait de retrancher ses forces – quelque 3 500 hommes – derrière un grossier parapet d’arbres tombés. Amené à croire que les Français attendaient sous peu d’importants
de « jeune tête léger », paraissait quelque peu emporté. Montcalm* l’appelait « une mauvaise tête », mais lui
Montcalm* au siège du fort George (appelé aussi fort William Henry ; aujourd’hui Lake George, New York).
La chute du fort Frontenac (Kingston
Montcalm* sur James Abercromby*. La Pelouze s’initie par ouï-dire et par action au style de guerre des Indiens, qu’il qualifie de cruel
le 18 septembre 1759, Hertel se retira avec les restes de l’armée de Montcalm dans un camp
Montcalm*, qui fut, lui aussi, selon Guy Frégault*, « de la cour de la grande
décidé de capituler sans offrir de résistance. Montcalm note au sujet de Villeray : « c’est des
. Montcalm, commandant des forces françaises, y était installé et avait érigé des défenses derrière lesquelles campait le gros de l’armée française. Ainsi s’imposa à Wolfe la première de plusieurs
Montcalm*, a su résister à l’épreuve du temps : « Mortem virtus communem / Famam historia / Monumentum posteritas dedit » (Leur courage leur a donné
, Montcalm*, le nouveau commandant, avec qui il fit voile pour le Canada, à bord de la Licorne, conçut de lui une impression favorable. On faisait peu appel aux services de Pellegrin, cependant