l’établissement d’une école d’agriculture au collège de L’Assomption. En 1866, en effet, les sociétés d’agriculture des comtés de L’Assomption, Montcalm et Joliette prièrent les autorités du collège d’établir une
bâtiments transportant le marquis de Montcalm et un renfort de 1 500 hommes à Québec. Il réussit
Caron, curé de Saint-Esprit (comté de Montcalm), reçut une formation religieuse, intellectuelle et domestique de première qualité. En 1834, elle enseigna à l’école de rang ; elle devait poursuivre
).— Johnson, Apôtres ou agitateurs, 105–128.— Murdoch, History of Nova-Scotia, II : 191–194.— Parkman, Montcalm and Wolfe (1884), I :123s.— Richard, Acadie (D’Arles
(1888), où il ne s’écarte guère du standard à toit mansardé établi pour la halle Montcalm quelques années plus tôt par l’architecte Paul Cousin. En revanche, la construction du magasin de Zéphirin
: 193, 211, 213, 219–222.— Parkman, Montcalm and Wolfe (1884), I : 106.— Richard, Acadie (D’Arles), II : 85–121, 151–169.— R. O. MacFarlane, British Indian policy in
.
W. J. Eccles
ASQ, Polygraphie, VII : 26.— Papiers Contrecœur (Grenier).— Parkman, Montcalm and
avec Montcalm en août.
Par la suite on le retrouve
aussi les fonctions de président de la commission scolaire, de préfet de comté, de président de la Société d’agriculture du comté de Montcalm et de lieutenant de milice. Il adressa une pétition aux
« plus ample informé » prononcé contre lui. De nombreuses accusations avaient été portées par ses contemporains : Montcalm* le
Québec, Montcalm* et Bigot, de même que
].
Journal du marquis de Montcalm (Casgrain), 431, 557, 595.— Journal du siège de Québec
(Casgrain), 155, 161–164, 166.— Journal du marquis de Montcalm (Casgrain), 110s., 149–151, 192, 245, 462s., 473–475, 493.— Lettres de M. de Bourlamaque (Casgrain), 23, 26, 152, 193
1882 d’enquêter sur le Bureau des commissaires d’écoles catholiques romains de la cité de Montréal, qui se voyait dans l’obligation de fermer l’école Montcalm et de licencier des professeurs. Les membres
de zèle, de talent et d’intelligence, et Montcalm* le qualifie « d’homme de mérite
Montcalm* au fort Carillon (Ticonderoga, New York) en 1758, puis une seconde fois alors qu’il commandait une compagnie indépendante de troupes provinciales de New York au siège du fort Niagara (près de
guerre de Sept Ans, lors de la campagne de Montcalm* au fort George (appelé aussi fort William Henry ; aujourd’hui Lake George, New
George, New York) fut pris par Montcalm*. Il se peut que McCarty ait fait partie de cette milice en 1760 à titre d’officier d’intendance
On peut trouver quelques références à Saint-Ours aux AN, Col., C11A et dans le Journal du marquis de Montcalm (Casgrain). Cependant, les documents les plus intéressants et les plus