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              procès, mais ces indications sont sans importance ; Tanguay dit que le registre de Beauport fait mention, à la date du 9 octobre 1688, de son mariage avec Catherine Sainctar ; une
               
              , I : 68.— Tanguay, Dictionnaire, I : 28
               
              .— Eccles, Frontenac, 146, 149, 151.— Tanguay, Dictionnaire, I : 63.
               
              , 1922–23 : 132 ; Dollard Des Ormeaux, Can. Antiquarian and Numismatic J., 3rd ser., IX (1912) : 55.— Tanguay, Dictionnaire, I : 120
               
              (1934) : 341s,— Tanguay, Dictionnaire.
               
              -ce à dire que le père Côme fit un voyage à Québec, comme l’affirme l’abbé Tanguay ? Non pas ; ce sont les parents des enfants, de passage à Sillery, qui ont fait enregistrer l’acte de baptême
              . Par ailleurs, le Dictionnaire de Tanguay donne Marguerite Bérin comme nom de l’épouse de Saint-Lusson. L’explorateur se maria-t-il deux fois ? On peut se le demander. Nous savons toutefois
               – l’abbé Rousseau, Parkman, Sulte, Mgr Tanguay – se rallièrent à la thèse de Ferland et de Faillon. Une seule voix discordante s’éleva, qu’on feignit de ne point entendre : celle de l’historien
               
              , RHAF, I (1947–48): 101–107, 257–270,— Sulte, Hist. des Can. fr., II : 37.— Tanguay, Dictionnaire, I : 207, 379.
               
              ), çe qui n’est pas forcément un indice que l’abbé était pour lors en France. Tanguay, Allaire et Sulte, à la suite de Noiseux – dont les renseignements sont très souvent erronés – lui font
               
              Dubocq qui, en 1662, épousait à Québec la Huronne Marie-Félix, et qui serait né en 1634, d’après le recensement de 1667, et en 1636, d’après Tanguay. Si ces deux dates sont à peu près correctes, nous
               
              Tanguay), dans la paroisse Notre-Dame de Montréal ; elle mourut à l’île Sainte-Thérèse le 24 octobre 1687. Dugué fut inhumé à Montréal le 18 décembre 1688. Sept de ses neuf enfants lui survécurent
               
               ». Le 26 septembre 1661, dans la paroisse Notre-Dame de Québec, il avait épousé Marguerite Auber, veuve de Martin Grouvel. Elle vivait encore le 22 avril 1693. C’est donc par erreur que Tanguay lui
               
               ; MSRC, VII (1913), sect. i : 3–65 ; Pierre Gadois, premier concessionnaire de terre à Montréal, BRH, XXIX (1923) : 36s.— Tanguay
               
              .— Tanguay, Dictionnaire, I : 163, 186, 279.— L.-P. Turcotte, Histoire de l’île d’Orléans (Québec, 1867). Bibliographie
               
              Tanguay* à le confondre avec un militaire contemporain vivant en Acadie et nommé Chevalier [V. La Tourasse
               
              Sieur La Fresnaye de Brucy, BRH, XXXVI (1930) : 644–667.— Régis Roy et Malchelosse, Le Régiment de Carignan.— Tanguay, Dictionnaire
               
              .— Tanguay, Dictionnaire, I : 345.— Émile Vaillancourt, La Conquête du Canada par les Normands (Montréal, 1933), 148
              .— Tanguay, Dictionnaire. Bibliographie de la version révisée :Arch. départementales de Seine-Maritime (Rouen, France
               
               : 131–137.— Tanguay, Dictionnaire, I : 381.— E
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