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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              et lieutenant général de la Nouvelle-France, né vers 1612 à Ancy-le-Franc, dans la province de Champagne, d’Antoine d’Ailleboust, conseiller ordinaire du prince de Condé, et de sa seconde femme
               
              . Timide et chétive, au début de son mariage, la jeune femme n’aurait pu se résoudre à suivre son mari décidé à passer en Nouvelle-France, si une guérison, considérée comme miraculeuse, n’était venue
              , de beaucoup son aîné. Comme elle n’était pas encore nubile, le contrat exigeait l’espace de deux années avant la cohabitation des conjoints. D’abord opiniâtre dans ses croyances, la jeune femme étudia
              . C’est chez elle que les colons de Ville-Marie viennent chercher femme, non sans
               
              Québec peu avant 1645 avec sa femme, Catherine Soulage, et ses deux filles, afin d’y donner des leçons particulières aux fils de Français. Saint-Martin avait l’esprit d’un mathématicien, mais sa
              absence par deux suppléants et qui avait obtenu que le supplément de ses émoluments fût versé à sa femme, fut nommé capitaine général, tandis que Martin Méndez était lieutenant général et Miguel de Rodas
              Louis d’Ailleboust et de quatre sulpiciens. Le retour du gouverneur donnait un peu plus de liberté à Lambert Closse. Il s’empressa d’installer sa jeune femme le plus confortablement possible. Il était
               
              époque, ses origines restent obscures. Il est cependant permis de supposer qu’il était le fils de William Colston, qui fut shérif de Bristol de 1599 à 1600, et de sa femme, née Elizabeth Gittens. Dans ce
               
              DESPORTES, HÉLÈNE (Hébert ; Morin), sage-femme, possiblement le premier enfant d’ascendance européenne né en Nouvelle-France
               
              seigneurs de l’île d’Orléans, concédait à Chavigny et à sa femme une seigneurie (qui prit plus tard le nom de fief Beaulieu) à la pointe ouest de l’île
              négoce, sa sœur, mariée à Paul Buisson, marchand voiturier, l’invita à venir habiter chez elle. D’abord, Marie assuma les besognes les plus obscures de la maison. Tour à tour cuisinière, femme de chambre
               
              la mort de Louis Hébert, en 1627, sa fille Guillemette et son mari, Guillaume Couillard, héritèrent de la moitié de ses biens. Couillard devint le chef de la famille, car le frère de sa femme
               
              Boston, sous prétexte d’y faire du commerce, afin de savoir ce qui s’y préparait, La Tourasse donna à entendre que sa propre femme, née Catherine Bugaret, qui avait la confiance des Anglais, pourrait
               
              d’administrateur temporaire et s’embarquait pour la France. Le 30 octobre 1656, sa jeune femme était décédée à l’Hôtel-Dieu, deux semaines après lui avoir donné
              vers ces contrées, mais que depuis l’été de 1639, des femmes du monde et des religieuses y abordaient aussi, témoignant du même élan de foi et de la même intrépidité que leurs compagnons missionnaires
               »), pilote, né en France en 1589, mort à Québec le 8 septembre 1664. Martin arriva en Nouvelle-France vers 1620 avec sa femme, Marguerite Langlois
               
              , Martine ne fut plus désignée que par le surnom de la bonne femme Parmanda. Martine Messier vivait encore en novembre 1681
              (mort peu après sa naissance) et une fille. Cette dernière, prénommée Marguerite, devint la femme de Jean-Baptiste
               
              au Massachusetts, épousa plus tard William Phillips, dont la fille, Phoebe, née d’un mariage antérieur, devint la femme du capitaine Zachariah
              femme exceptionnelle, une des gloires de l’Église canadienne. Marie-Emmanuel Chabot, o.s.u
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