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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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               » abénaquise, bastion avancé de la France catholique au contact immédiat de la Nouvelle-Angleterre puritaine. Et tandis qu’il faisait son rapport au château Saint-Louis, Frontenac
               
              l’expédition contre les Agniers (Mohawks), selon toute vraisemblance.) Le 3 novembre 1673, quand le gouverneur Frontenac [Buade*] le nomma
              , et une trentaine d’hommes. Aernoutsz et ses 50 hommes (Buade de Frontenac parle de « 110 corsaires
               
              débarqué pour entreprendre son second mandat de gouverneur, Buade* de Frontenac l’envoya en toute hâte à Cataracoui (fort Frontenac) afin d’empêcher
               
              gouverneur Frontenac [Buade*] l’envoya patrouiller les environs du fort Frontenac (Kingston), à la recherche d’Iroquois, dans l’espoir d’obtenir d’eux
               
              . Jean Blain Estat des employs vaquans ausquels Monsieur le comte de Frontenac [...] a pourvue en l’année 1690 [...], BRH
               
              Buade de Frontenac dut lui obtenir du roi une pension de 150#. Le gouverneur Louis d’Ailleboust étant mort sans enfants, Charles-Joseph
               
              décennie du siècle, Argenteuil fit de nombreux voyages dans la région de Michillimakinac. Il conduisit plusieurs convois de fourrures à Montréal et s’attira maintes fois l’éloge de Frontenac
               
              et comprenait les comtés actuels de Frontenac, de Lennox et Addington, et de Hastings ; il correspondait en gros aux deux premières rangées de cantons, dont la première avait front sur eau. John
              , Frontenac [V. Buade] nous l’apprend dans une lettre à Colbert (13 novembre 1673) : « Je me suis servi du
               
              . En 1695, Aloigny accompagne Antoine de Crisafy dans une expédition pour restaurer le fort Frontenac. Au
              qu’il présente une requête – qui sera agréée – à Frontenac [Buade*] et à
               
              confiance des Indiens, malgré sa petite taille. Après un apprentissage comme commandant en second au fort Frontenac (Kingston, Ont.) en 1727 et 1728, il fut affecté au poste de Détroit en 1731. À
              politique d’expansion, prônée par le gouverneur Buade* de Frontenac, faisait que le Canada produisait beaucoup plus de fourrures que le marché
               
              donation seigneur de Mille-Vaches. Comme son père, il se voua au commerce. En 1697, il eut des difficultés avec Buade* de Frontenac au sujet d’un
               
              détails touchant la carrière de Louis Aubert de La Chesnaye. Il eut pour parrain et marraine des personnages aussi importants que le gouverneur Frontenac
              , commissaire de la Marine. En 1696, il participa, à titre de major général, à l’expédition dirigée par Frontenac [Buade*] contre les Onnontagués
               
              franc-maçonnerie, de la St George’s Society, de l’institut des artisans et des sociétés d’agriculture et d’horticulture du comté de Frontenac. Il participa aussi à la fondation de l’église anglicane
              régions des forts Frontenac (Kingston, Ont.) et Niagara (près de Youngstown, N.Y.), et celle de l’Ohio puis rentra à Montréal le 10 novembre. Il avait constaté que les nations indiennes passaient de plus en
               
              BAUDEAU (Boudeau), PIERRE, chirurgien major, né en 1643, arrivé en Nouvelle-France en 1692 (suivant une note de Frontenac
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