Febvre* de La Barre qui succédait à Buade* de Frontenac. Le nouveau gouverneur, circonvenu par le groupe de commerçants qui enviait les
Buade de Frontenac. Si les Français entendaient par là ébranler l’allégeance du gouverneur anglais, ils n’eurent guère de succès, pas même dans les conditions pénibles qui sévissaient à la baie
fourrures en Nouvelle-France. Le 3 septembre de la même année, le gouverneur général de Buade de Frontenac, afin
Frontenac (Kingston, Ont.) et Niagara fussent largement approvisionnés en marchandises destinées à la traite et que la couronne subventionne leur commerce afin de les rendre aptes à faire concurrence aux
; R233-34-0, Ontario, dist. Frontenac (65), sous-dist. Kingston (A), div. 4 : 7 ; R233-35-2, Ontario, dist. Kingston (116), sous-dist. quartier Rideau (B) : 85 ; R233-36-4, Ontario
Montcalm* au siège du fort George (appelé aussi fort William Henry ; aujourd’hui Lake George, New York).
La chute du fort Frontenac (Kingston
réquisitoire contre l’accusé que le gouverneur de Frontenac [Buade*] tenta d’arrêter les débats. Mais La Martinière ne voulut rien rétracter et
recensement de 1681 indiquent qu’il est le plus important cultivateur du fief de Villemur. La même année, un mémoire de Frontenac [Buade*] signale
attaquer systématiquement les alliés les plus éloignés des Français, formant le dessein de tomber sur la colonie du Saint-Laurent lorsqu’ils l’auraient isolée. Sur ces entrefaites, Frontenac
compagnie secrète pour l’achat des fourrures, provenant des forts Niagara (près de Youngstown, New York), Frontenac (Kingston, Ontario) et Rouillé (Toronto), qui devaient être mises à l’encan et cédées aux
fut nommé sous-enseigne dans les troupes de la marine et l’année suivante le gouverneur Frontenac [Buade*] l’envoya prendre le commandement
Buade de Frontenac pendant un certain temps ; a donné son nom à la grande île du lac des Deux-Montagnes, au nord-ouest de l’île de Montréal ; né à Neuchâtel (Suisse) en 1642, fils de
, commandant des forts Niagara, Frontenac et Chambly, major de la ville de Trois-Rivières, baptisé le 26 avril 1655 à Orléans, en France, fils de Jean Blaise Des Bergères, maître des coches, et de Marie Boucher
1696 Sa Majesté lui accorda un brevet d’enseigne « pourvu qu’il ayt 18 ans ». Nicolas n’ayant pas atteint l’âge requis, ce n’est qu’en 1698 que Frontenac
Buade* de Frontenac, avec qui il servit pendant neuf ans, il ne semble pas que Champigny ait été doué d’un grand charme personnel. Sa correspondance officielle, ne donne que très peu de preuves
: Duchesneau et Frontenac [V. Buade] s’affrontaient ouvertement. Toutes les puissances, grandes et
prétexte de quelques affaires domestiques. En novembre 1672, le gouverneur de Buade de Frontenac demandait en vain au
armés, des miliciens des comtés voisins de Kingston, les Frontenac Light Dragoons (unité formée de membres de l’élite kingstonienne), un détachement de la Perth Artillery, une unité de marins réguliers
une place fort importante dans la vie et la carrière scientifique de Bonnécamps. Elle ne fut sûrement pas un fait isolé. Le 25 juin 1752, il était au fort Frontenac (Kingston, Ontario
pour affaires privées ; en 1734, il était nommé au fort Frontenac (Kingston, Ont.). L’année suivante, il fut envoyé au fort Niagara (près de Youngstown, N.Y.), et en 1736, lorsque le commandant du