Cavelier* de La Salle : la dite concession est bornée par celle du sieur You, sergent de la garnison du fort Frontenac. Pierre You accompagnera par la suite La Salle dans ses expéditions
obtint aussi des subventions plus considérables de la province et fit campagne chaque année pour recevoir des petits subsides du comté de Frontenac et des villages avoisinants
fonctions 12 jours après sa mort.
Pendant son séjour à Kingston, en 1792, White avait été élu à la chambre d’Assemblée comme député de Leeds et Frontenac
avec Bomoseen à la tête de partis d’Indiens abénaquis lors de l’attaque d’Oyster River (Durham, N. H.) en juillet. Buade* de Frontenac
des relevés à Trois-Rivières et à Montréal ; il se rend à Cataracoui et prend des esquisses du fort Frontenac et de ses environs. Entre-temps, l’intendant de
plans de l’école Frontenac et ceux de l’école Baril. Jusqu’en 1914, il décrochera cinq des six contrats conclus par cette dernière commission scolaire. En 1912, la commission scolaire de la ville Saint
papier du Québec, Caron frères, incorporé, et la Brasserie Frontenac, ou qu’il dirige, comme la Compagnie de ciment nationale. La compagnie Versailles, Vidricaire, Boulais, Limitée souscrit aussi aux
, and Peterborough counties », 1866 to 1869 (1870), 143–171 ; « Abstract of a report on the geology of parts of the counties of Frontenac, Leeds, and Lanark, Ont. », 1870
grandes fabriques de meubles au Canada et la plus importante à l’est de Toronto. Il fournit, à Québec principalement, l’ameublement de nombreuses résidences, du château Frontenac, de plusieurs institutions
.
Turgeon fait aussi partie de plusieurs conseils d’administration : il est notamment président des entreprises Laurentian Water and Power Company, Frontenac Realty Company, Nor-Mount Realty Company
canot la rive nord du lac Érié dans l’espoir de retrouver quelques-uns des hommes de La Salle, qui auraient dû être en route pour le fort Frontenac (Kingston, Ont.), après un an de commerce dans la
TONTY, ALPHONSE (de), baron de PALUDY, commandant des forts Michillimakinac, Frontenac et Pontchartrain (Détroit), capitaine dans
entre les Grands Lacs et le Mississipi. Il servit brièvement comme commandant du fort Frontenac (Kingston, Ont.) en 1746 et retourna à Montréal, où il mourut le 9 juillet 1749
Brisay* de Denonville s’empara traîtreusement de chefs païens à Cataracoui (fort Frontenac) et les envoya aux galères. Au mois de juillet, il attaqua les Tsonnontouans et brûla leurs villages. Le
–1762) (Québec, 1897), 31–48, 139–143 (extrait du récit de Thury sur la destruction de Pemaquid, d’après Charlevoix).— Parkman, Count Frontenac and New France (1st ed.), passim
la décision de Thomson de se présenter comme réformiste modéré aux élections générales de 1824, où il se classa en tête du scrutin en tant que l’un des deux députés de la circonscription de Frontenac
Niagara et des environs, puis dans le comté de Frontenac pendant quelque temps. Il se peut qu’il ait été greffier de la ville et du canton de Niagara en 1842 et 1843. Il fut également capitaine en
, s’enquiert de leurs problèmes, intervient dans leurs débats.
Sous les pseudonymes de Jean Bart et de Frontenac, Thibault rend compte de ses voyages aux
participe à l’expédition lancée par Frontenac [Buade*] du côté d’Orange (Albany, N. Y.) et au sac de Corlaer (Schenectady, N. Y.). Il fait
, Le Febvre* de La Barre prit Tekanoet en otage au fort Frontenac. Comme ses troupes étaient affaiblies par la maladie et incapables de résister à une attaque, il fut bien obligé de le