*, propriétaire de la Frontenac Gas Company, il créa en novembre de la même année la Quebec Railway, Light, Heat and Power Company. Souvent surnommée « le merger » (regroupement d’entreprises), ce
’Amérique septentrionale, années 1709 et 1710, Camille de Rochemonteix, édit. (Paris, 1904).— Jean Delanglez, Frontenac and the Jesuits (Chicago, 1939), 65.— Hamelin, Économie et
. En 1721, il accompagna un groupe d’officiers supérieurs dans une tournée d’inspection au lac Ontario. À partir du fort Frontenac (Kingston, Ontario), ils côtoyèrent la rive nord du lac, examinant les
Sabrevois*, Sault-Saint-Louis (Caughnawaga, Québec) et le fort Frontenac (Kingston, Ont.). À mesure qu’il avançait vers l’ouest, guidé par Jacques Hertel de Cournoyer, Charlevoix, à chaque étape du voyage
Society et vice-président de la Frontenac Agricultural Society.
Dans le Haut-Canada, pour faire partie du meilleur monde, on ne pouvait guère se passer
brouiller non seulement avec le gouverneur de la Nouvelle-France, M. de Frontenac [Buade*], qui voulait faire jouer Tartuffe à Québec et qui dut
, 25 : 225 (mfm aux AN).— Frontenac Land Registry Office (Kingston, Ontario), Abstract index to deeds, Barrie Township, concession 8, lot 27 ; concessions 9–10, lot 28 ; concession 10, lot
fort Frontenac (Kingston, Ont.). Montcalm les rejoignit le 29 juillet. Avant de quitter Montréal, celui-ci avait exprimé de sérieux doutes sur l’expédition, mais la question la plus importante
abandonna son poste en 1668, et Talon*, puis Frontenac [Buade*], lui concédèrent des
. Au cours d’une réunion tenue le 8 février au château Frontenac, une nette majorité des députés libéraux signèrent une pétition pour demander la démission du premier ministre. Quand la législature
. Ainsi, Thomas Dalton*, candidat dans Frontenac, estimait que le Haut-Canada devait être libéré de l’oppression exercée par les progouvernementaux
.
Radisson arrive à Québec à la fin du mois de septembre 1681. Le gouverneur Frontenac [Buade*] refuse
compagnie secrète pour l’achat des fourrures, provenant des forts Niagara (près de Youngstown, New York), Frontenac (Kingston, Ontario) et Rouillé (Toronto), qui devaient être mises à l’encan et cédées aux
afferma aussi les postes de traite gouvernementaux de Tadoussac, des forts Frontenac (Kingston, Ontario) et Niagara (près de Youngstown, New York) à des entrepreneurs privés comme Cugnet et François Chalet
classes à la station de radio privée CKCV, au carré D’Youville, puis à CBV, station régionale de Radio-Canada, au château Frontenac, la guerre éclate. Comme beaucoup de Québécois de sa génération qui
Kingston, où son père s’était enrichi, était conservateur par tradition. Mowat lui-même avait servi dans la milice de Frontenac pendant la rébellion de 1837–1838. En 1857, son ancien employeur, Macdonald