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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              (nouveau style). La défense héroïque dont fit preuve Montorgueuil à cette occasion lui mérita les louanges de Frontenac [V. Buade] dans une dépêche adressée au ministre en novembre de la même année
               
               Jean Lechasseur* (secrétaire de Buade de Frontenac
               
              , c’est M. de Buade de Frontenac qui avait rempli la double fonction de gouverneur et d’administrateur. C’est peut
               
              que l’évêque combattait toujours et que Buade de Frontenac favorisait ouvertement. Le besoin indispensable d’un agent en France pour les intérêts
               
              Buade de Frontenac au lac Ontario et il participa fréquemment à de semblables entreprises par la suite. En 1683, il fut question de lui pour le poste de gouverneur de Montréal, mais il ne fut
               
              . Salignac] attaque Buade de Frontenac. En homme avisé, Dupuy croit plus prudent, à l’interrogatoire des
               
              dans la grande expédition de Buade de Frontenac contre les Iroquois
               
              Buade de Frontenac sont tous d’accord pour louer sa probité, son exactitude et sa fidélité. Il participa, en 1687, à l’expédition de Denonville qui allait écraser les Iroquois dans leur pays
               
              Buade de Frontenac à Cataracoui, à l’été de 1673, Garakontié fut le premier à se faire leur porte-parole. Il mourut de maladie à l’hiver de 1677–1678, à un âge avancé, et il fut inhumé à la
               
              qui opposa Buade de Frontenac et le Conseil souverain aux grands vicaires et au séminaire, en février-mars 1675
               
              qu’en la Nouvelle... ». En outre, le gouverneur de Buade de Frontenac lui concède en fief noble, en 1673, la
              gouverneur de Buade de Frontenac le recommandait à la générosité du roi « l’un des premiers qui soient venus en ce
               
              habitant de Batiscan, le mari châtia l’impertinent à coups de hache. De plus, au début de 1694, le turbulent officier fut dénoncé à Frontenac
              candidat à Frontenac [V. Buade], qui l’agréa. La mission confiée à Jolliet n’était pas tant de découvrir le
               
              de Frontenac le commandement du fort de « Gemisick » (Jemseg) et de la zone de la rivière Saint-Jean. On peut douter qu’il se trouvât alors un seul habitant blanc sur la Saint-Jean, et sa
               
              Jolliet au Labrador en 1694, et c’est lui que le roi envoie avertir Frontenac [V. Buade] d’une attaque
               
              . C’est pour son fils Joseph, âgé de six ans, qu’il reçut du gouverneur de Buade de Frontenac, en 1679, la
               
              trafic des fourrures avec les Amérindiens qui descendaient la rivière des Outaouais (Ottawa) jusqu’à Ville-Marie. En 1673, Frontenac [V
               
              , 229s.— Royal Fort Frontenac (Preston et Lamontagne), 34, 476.— Louis Hennepin, Voyage ou nouvelle découverte d’un très grand pays [...] (Amsterdam, 1704), 72–91.— Philéas
               
              couvent et l’église Notre-Dame-des-Anges. À l’automne de 1673, il se rend au fort Cataracoui (Frontenac) nouvellement construit où il remplit la charge d’aumônier pendant près de trois ans. Il revient
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