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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              . F, 67–73 (« Latourasie » et « Lattoras »).— Recensement de 1693 (Acadie).— Murdoch, History of Nova-Scotia, I.— Parkman, Count Frontenac and New France (24th ed
               
              , lieutenant puis capitaine des gardes du gouverneur de Frontenac [V. Buade], né à Mirande (Guyenne), en 1644, de Jean de
               
              Buade de Frontenac à Montréal en qualité d’aumônier. Là, il reçut de M. Dollier* de Casson, supérieur des Sulpiciens, une
              Frontenac [V. Buade]. La période était tragique car les Iroquois, victorieux des autres tribus, devenaient menaçants
              Buade de Frontenac se rendit au lac Ontario jeter les bases de l’établissement de Cataracoui. A l’automne de 1682, il participa à
              Buade de Frontenac décide de répliquer aux attaques conduites contre la Nouvelle-France par les Iroquois et encouragées par les Anglais. Il met sur pied trois corps expéditionnaires, recrutés
               
              # par testament. Legardeur continue sa carrière de conseiller sous le gouvernement de Buade de Frontenac qui le
               
              Denonville* avaient renoncé à donner de ces représentations dramatiques. Frontenac [V. Buade], au début de son second commandement, imita leur discrétion. Cependant, l’année 1693 avait été
               
              enfäns du dit bourg du fargy ». Le 9 décembre suivant, le gouverneur de Buade de Frontenac le nommait notaire
               
              de Frontenac. Ces fonctions et la jalousie dont les Récollets étaient l’objet de la part des autorités ecclésiastiques ne contribuèrent pas peu à paralyser son travail apostolique. Il s’en plaignit
               
              vaisseaux, et s’embarqua dans celui du gouverneur de Buade de Frontenac pour repasser en France
               
              , Historic Caughnawaga [...] (Montréal, 1922).— Eccles, Frontenac, 157–172, 181–185.— Lanctot, Histoire du Canada, II : 117–119, 138–140.
               
               ; IX : 236–239, 247, 255–258, 362, 384–386, 388–393.— Eccles, Frontenac, 169s., 189.— Lanctot, Histoire du Canada, II : 118, 142.
               
              Buade de Frontenac, né vers 1650, mort en 1698. Ourehouare était un des chefs des villages goyogouins qui avaient été établis sur la baie de
               
              Frontenac, et d’après laquelle ils empiétaient sur l’autorité civile. En 1679, il obtint le poste important d’intendant des Antilles françaises, où il s’efforça de stimuler le commerce entre les Îles et le
               
              abandonner la partie. En 1673, Frontenac [V. Buade] établit au
               ; mais, au cours des derniers mois, le gouverneur de Buade de Frontenac avait considérablement renforcé la défense
               
              Contrecœur parmi les officiers qui accompagnent le gouverneur de Buade de Frontenac à la fondation du fort Cataracoui
               
              Buade de Frontenac. Un procès s’ensuivit qui valut au prédicateur de retourner en France. M. Pérot n’approuva pas son confrère, mais avoua qu’il en avait lui-même dit tout autant dans ses
               
              Frontenac, soldat, cartographe, architecte du fort Cataracoui (Frontenac), né probablement à Écully, France, vers 1646–1648, fils d’Estienne Randin et d’Hypolite Saurel
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