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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              Brisay* de Denonville dans son expédition contre les Tsonnontouans et il signa, le 19 juillet, le procès-verbal de la prise de possession de leur pays. Frontenac [V
               
              rentra en France, Richard décida de rester au Canada. Peu après, on le nommait sergent dans les troupes canadiennes, et il accompagna le gouverneur de Frontenac [V
               
              , Jacques Leneuf de La Poterie, le 7 juillet 1671. Le gouverneur de Buade de Frontenac lui concéda aussi
               
              . Villebon avait pu échapper aux Anglais mais, ayant perdu toute sa cargaison, il avait décidé de se rendre par terre à Québec demander du renfort au gouverneur de Frontenac [V
               
              Buade de Frontenac, le nouveau gouverneur, songeait déjà à priver Villeray de sa charge de receveur de l’impôt. Tout en admettant que celui-ci était intelligent et instruit, il le trouvait
               
              recevait du roi le brevet, en date du 29 mai 1674, qui le nommait procureur général, au grand mécontentement de Frontenac [V
              de Frontenac, deux ans plus tard, établit un poste de traite à l’embouchure de la Cataracoui, là où s’élèverait la ville de Kingston. Quand Louis XIV finit par voir une carte de la région, il s’étonna
               
              et due forme. À cette occasion, le gouverneur de Buade de Frontenac écrit, le 9 janvier 1673 : « Le
               
              . » Il est l’un des habitants consultés par le gouverneur Buade de Frontenac en 1678 à propos de la vente de l’eau
               
              Buade de Frontenac et l’abbé de Fénelon [V. Salignac
              colonie eut du surabondant : en 1667 et 1668, on exporta aux Antilles des pois verts et blancs, du houblon et de l’orge ; en 1672, Frontenac [V
              présenta bientôt. En 1673, il accompagna le gouverneur de Buade de Frontenac dans son voyage au lac Ontario. Bien
               
              Callière* envoya Tareha à Québec, où Frontenac [V. Buade] consentit à l’échange. L’Indien avait présenté au
               
              –1762) (Québec, 1897), 31–48, 139–143 (extrait du récit de Thury sur la destruction de Pemaquid, d’après Charlevoix).— Parkman, Count Frontenac and New France (1st ed.), passim
               
              Brisay* de Denonville s’empara traîtreusement de chefs païens à Cataracoui (fort Frontenac) et les envoya aux galères. Au mois de juillet, il attaqua les Tsonnontouans et brûla leurs villages. Le
              des relevés à Trois-Rivières et à Montréal ; il se rend à Cataracoui et prend des esquisses du fort Frontenac et de ses environs. Entre-temps, l’intendant de
               » abénaquise, bastion avancé de la France catholique au contact immédiat de la Nouvelle-Angleterre puritaine. Et tandis qu’il faisait son rapport au château Saint-Louis, Frontenac
               
              l’expédition contre les Agniers (Mohawks), selon toute vraisemblance.) Le 3 novembre 1673, quand le gouverneur Frontenac [Buade*] le nomma
               
              débarqué pour entreprendre son second mandat de gouverneur, Buade* de Frontenac l’envoya en toute hâte à Cataracoui (fort Frontenac) afin d’empêcher
               
              . Jean Blain Estat des employs vaquans ausquels Monsieur le comte de Frontenac [...] a pourvue en l’année 1690 [...], BRH
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