les seigneuries de Notre-Dame-des-Anges et de Beauport, telle que fixée au temps de Montmagny [Huault
.
Comme la résidence d’été du gouverneur en chef se trouvait à William Henry, Kelly fut à même d’informer Plessis et son successeur Panet de la manière dont lord Dalhousie
vers le pays agnier Tokhrahenehiaron, un des deux survivants, avec deux autres captifs libérés, pour porter une offre du gouverneur
Huault de Montmagny, désignait les gouverneurs de la colonie.
Léon Pouliot
bataillon de milice du comté de L’Islet, qui prend le nom de 61e bataillon d’infanterie de Montmagny et L’Islet en avril 1869. L’année suivante, il devient membre de la nouvelle Société de
-gouverneur et auteur, né le 24 décembre 1838 à Sainte-Rosalie, Bas-Canada, fils de Louis-Sébastien Langelier, cultivateur, et de Julie-Esther Casault ; le 2 février 1864, il épousa
, ces derniers en chasseraient les missionnaires catholiques et que c’en serait fait de la foi de leurs ouailles. Il était encouragé dans son attitude par les gouverneurs et les intendants de la Nouvelle
mort de sa mère en 1828, il est confié à ses grands parents maternels. Il vit sous leur toit au manoir de l’Île-aux-Grues, puis à Montmagny. À l’âge de 13 ans, il rentre chez son père afin de compléter
une autre concession du gouverneur Huault de Montmagny le 10 mars 1646 et l’abbé Le
. Guyart] le dit lieutenant du gouverneur de Montmagny. Sans doute remplaça-t-il dans cette fonction
officieusement ce titre. Au cours de l’année 1637, ayant établi un camp près de Québec, il chercha à s’attirer le bon vouloir du gouverneur
. Malapart fut commandant du fort de Trois-Rivières durant un certain temps. Il ne faut pas le confondre avec le Malepart qui arriva en juin 1636 avec Huault de Montmagny
Puiseaux de Montrénault. L’hiver fut marqué de quelques conflits avec le gouverneur Huault de
par le lieutenant-gouverneur Robert Shore Milnes* d’activités subversives en faveur de la France. En 1804, Marcoux vivait à Berthier dans
Charles Boucher* de Boucherville par le lieutenant-gouverneur Luc
d’arrestation ayant été émis contre lui, Morin se réfugia dans les bois de la paroisse Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud (Saint-François-Montmagny). Lorsqu’il fut arrêté le 28 octobre 1839, il resta peu de
d’arpenteur débuta véritablement en 1783 et, jusqu’en 1792, il arpenta toute la région de la Côte-du-Sud. Sa clientèle se retrouvait essentiellement dans les paroisses de Kamouraska, de L’Islet, de Montmagny
huronne à Jeune-Lorette (Wendake) et Antoine Côté dans la paroisse Saint-Thomas (à Montmagny). En 1816, il est président des souscripteurs de la Quebec Free School [V. Thaddeus
maladies telles le scorbut, la petite vérole et la dysenterie. La guerre terminée, Oliva exerça la médecine à Saint-Thomas-de-Montmagny (Montmagny, Québec), mais en 1792 il déménagea à Québec avec sa famille