CANADIEN, JEAN-BAPTISTE, dit Big John Canadien (Raientonni, Aiontonnis, qui signifie « il travaille le bois » ; baptisé Jean-Baptiste Raientonni, il fut surtout connu sous le nom de Jean-Baptiste

, anglophones surtout, qui s’adaptaient mal à la vie du séminaire. En 1868, il se porta volontaire auprès du corps des zouaves canadiens, alors sur le point d’aller défendre les États pontificaux contre les

1885, Saint-Pierre, qui n’a que 16 ans, devient rédacteur au Progrès de Windsor, en Ontario, et participe à la lutte contre les conservateurs canadiens. En 1888, avec son ami Charles Guérin, du

. Sans aucun doute, ce fut en partie sous son influence que Lorimier acquit la conviction que le droit civil était l’un des remparts des valeurs canadiennes-françaises et catholiques. Pour bien comprendre

, en 1893. Pendant qu’il exploitait ces manufactures, Louis Côté acquit la notoriété en tant que principal inventeur canadien de machines à fabriquer

-Hyacinthe, et l’abbé Joseph-Sabin Raymond*, son vicaire général, réclament l’implantation en terre canadienne depuis au moins 1854. L’image

mandaté pour organiser un stand de livres canadiens à l’Exposition universelle de Paris. À cette occasion, il publie un livre intitulé France-Canada : bibliographie canadienne ; catalogue d’un

des leaders de la communauté afro-canadienne de Halifax, et il orthographiait son nom de famille Johnston. En outre, elle vécut de nombreuses années avec leur mère, deux fois veuve, Clarissa Johnson

style néo-classique, et la modeste église de Duck Lake, entreprise en 1908, selon les plans signés Sénécal et Hudon, attestent encore de la renommée de l’architecte manitobain dans l’Ouest canadien

Guerre mondiale, désirant faire partie du Corps expéditionnaire canadien, il déclara avoir déjà servi 13 ans avec cette unité. Il détenait à ce moment-là le grade de lieutenant. Selon l’historien du 89

métropole canadienne de la chaussure. Pendant les 30 années suivantes, il fabriquera des bottes et des chaussures dans une usine située dans le secteur est du Vieux-Montréal, le cœur géographique de cette

existantes dans la province de Québec dans l’intérêt des Canadiens français ; il brigua les suffrages, quoique sans succès, sous la bannière libérale dans Laprairie aux élections fédérales de cette année

nationalistes tels l’Institut canadien et la Société de colonisation de Québec, l’aidèrent peut-être à obtenir ces postes dans l’administration publique. Il avait d’ailleurs quelque expérience directe de la

canadienne (Montréal). Il fit ses études classiques au petit séminaire de Sainte-Thérèse de 1850 à 1858, puis, bien que sa mère espérât qu’il entre dans les ordres, il étudia le droit à l’université Laval

la carte de l’ouest de l’Arctique canadien qu’il avait dessinée à la main et reçut une médaille d’argent. Le ministère français de l’Instruction publique lui décerna les palmes académiques et le

 construction de ce bâtiment marqua un point tournant dans l’architecture canadienne : après avoir résisté farouchement aux méthodes et matériaux nouveaux, les architectes canadiens assimilèrent la technique

titre de supérieur de l’obédience canadienne des Clercs de Saint-Viateur. Pendant dix ans, il cumulera les charges de supérieur provincial et de curé. Le père Lajoie complète la structure administrative

comme la meilleure et la plus complète au Canada. La publication à compte d’auteur, en 1895, du catalogue raisonné de la bibliothèque de Gagnon, intitulé Essai de bibliographie canadienne

année, ses premiers vers publiés, Reste toujours petit, font connaître le jeune poète de 20 ans aux lecteurs de la Revue canadienne. Durant l’année 1873–1874, Chapman est étudiant à la