DAVIE, GEORGE TAYLOR

DAVIS, ROBERT ATKINSON, instituteur, homme d’affaires et homme politique, né le 9 mars 1841 à Dudswell, Bas-Canada, fils de Thomas

protestante dirigée par le chef libéral Louis Henry Davies*. Nommé au cabinet de Davies avec trois autres conservateurs (George Wastie

(beaucoup non datées), et sur une entrevue avec Edith Armstrong Nelson Davis, de Saint-Jean, N.-B., fille du sujet.  [n. f. v

l’année suivante au profit de Dave Sullivan, Dixon affronta celui-ci le 11 novembre 1898 ; Sullivan fut disqualifié parce que ses soigneurs avaient enfreint le règlement en entrant dans le

canton de Cramahe, Haut-Canada, fils de James Cochrane et de Mary Davis ; le 5 août 1856, il épousa Mary Hicks, puis le 29 avril 1876, Ellen Louisa Bule, née Thorne, et finalement

. Gwendolyn Davies La lettre de Margaret Gill Currie à J. V. Ellis, adressée à « E. V. Ellis » et datée

. Davis et W. A. Alderson, The true story of « Ramona » ; its facts and fictions, inspiration and purpose (Toronto, 1914), 234–255.— DNB.— Hy. Sandham

Davie*. En lisant, à cette occasion, un manifeste qui mettait en relief les revendications locales, Maxwell fit figure de vedette, ce qui le prépara à jouer, l’année suivante, un rôle prépondérant

Davies*, qui avait pour but de mettre fin à l’instruction confessionnelle dans les écoles publiques. Ferguson accéda enfin à l’Assemblée en juin

), sect.ii : 137–185. The memoirs of a Canadian secretary : a posthumous paper a paru sous l’édition fictive « Ephraim Davis », « Toronto, 1928

reflète cette conscience et cet engagement. Gwendolyn Davies

vifs avec ses confrères protestants. En réponse à un discours prononcé en 1864 par le révérend John Davis* sur la nécessité d’envoyer des

Davis*. À la fin de sa vie, il affirmerait avoir reçu un doctorat en droit civil, mais aucun document ne permet de confirmer cette assertion

, puis en 1872, Catherine Anne Davies, de Pictou, Nouvelle-Écosse, et ils eurent six enfants ; décédé le 24 juin 1908 à St John’s. Comme

Davie*, d’user d’une « amicale diplomatie » pour « amener le juge Crease à demander la mise à la retraite ». Crease quitta son siège six mois plus tard, le 20 janvier

University, the first hundred years (Toronto, 1950).— J. J. Talman et Ruth Davis Talman, « Western » – 1878–1953 : being the history of the origins and

Michael Davie, Beaverbrook : a life (Londres, 1992).— CPG, 1880–1896.— Dominion annual reg., 1879–1883.— J. D. Frost, « The business and political

Antisemitism in Canada : history and interpretation, Alan Davies, édit. (Waterloo, Ontario, 1992), 67–91.  [r. c.]