FORGET, AMÉDÉE-EMMANUEL (baptisé Emmanuel-Amédée-Marie)
succédait à Amédée-Emmanuel Forget. Jusqu’à sa retraite en 1915, sa femme le seconda dans l’exercice de ses
Forget). « Votre longue fidélité au parti, écrivait Laurier, vous donne droit à ce que le parti est en mesure de vous offrir de mieux. » Bulyea accepta et prêta le serment d’office le
indiennes [V. Amédée-Emmanuel Forget] et les crédits alloués à l’éducation des autochtones. Il ne croyait pas
Nous avons éliminé les doublons dans les résultats. Le total des résultats trouvés peut donc ne pas correspondre au total des résultats affichés