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études à Trinity College, à Dublin, où il reçut un baccalauréat ès arts en 1819, et une maîtrise ès arts en 1832. Son père, ingénieur éminent qui travailla au prolongement du Grand Canal en Irlande, lui
précepteurs, Lambton s’inscrivit en 1805 à l’Eton College et y resta quatre années. Chose surprenante de la part d’un garçon de santé aussi délicate, au lieu de se diriger vers l’université à la fin de ses
 
de Montréal en municipalités et l’utilisation des biens des jésuites pour fonder un collège de langue anglaise. En juillet 1787, il devint capitaine dans la milice britannique à Québec. En avril 1789
. Massicotte, Faits curieux de l’histoire de Montréal (2e éd., Montréal, 1924), 86–98.— Maurault, le Collège de Montréal (Dansereau ; 1967).— Ouellet, Bas-Canada, 89
Davis* à St Andrews (Manitoba) puis au Wesleyan Female College de Hamilton, en Ontario. Lougheed avait fait sa connaissance au fort Calgary pendant qu’elle rendait visite à son oncle Richard
de l’urbanité. Il entreprend ses études dans une école primaire anglaise, puis en 1843 son père l’inscrit au collège de Chambly pour qu’il apprenne le français. Il fréquente le séminaire de Saint
. Étudiant au Clare College de l’University of Cambridge, où il obtint une licence ès arts en 1752 et une maîtrise ès arts trois ans après, Francis Maseres excellait en droit et en mathématiques. Promis de
veuve. Il fréquenta des écoles de Bristol, Bewdley, Hammersmith (Londres) et Chobham. Quand il entra au Wadham College d’Oxford, en 1822, il maîtrisait l’hébreu, le latin et le grec ; en 1826, il y
politique et ses préoccupations culturelles et sociales, comme en témoignent ses donations au Montreal General Hospital vers 1829 et au McGill College en 1857. La plupart du temps, on le retrouve en
. Richard Montgomery naquit dans une famille respectable de la petite noblesse irlandaise et, après ses premières classes, on l’envoya au Trinity College de Dublin, en 1754. Il n’y obtint point de diplôme
, Morice raconterait comment il s’était senti appelé « à se battre parmi les humbles d’Amérique et à les conquérir ». En guise de préparation à cette tâche, il fréquenta trois collèges. Pendant ses
Bishop’s College en 1955, de la Dalhousie University en 1956 et de l’université de Montréal en 1957. Il siégea au conseil d’administration de nombreuses sociétés, notamment ceux de la Compagnie du chemin de
travaux et qui lui fit obtenir, en 1854, une bourse lui permettant de demeurer au collège. Après avoir obtenu son diplôme de la St John’s Collegiate
croyaient que le poste devait être offert à Norris, ce qui montre qu’ils avaient beaucoup de respect pour lui. Ils finirent cependant par choisir le directeur du Manitoba Agricultural College, John
financement de ses études. Manifestement, il enseignait dans la réserve pendant les mois d’été. De 1857 à 1860, il étudia au Kenyon College, école épiscopale pour hommes située à Gambier, dans l’Ohio. D’après
penchant à l’Upper Canada College de Toronto, qu’il fréquenta de 1844 à 1846 et où il étudia le dessin, peut-être sous la direction de John George
terme. Il accélère la construction d’un nouvel hôtel de ville, sur l’emplacement de l’ancien collège des jésuites acquis par la ville en 1889 sous l’administration de François
déclara avoir été touché que l’on ait songé à honorer ses travaux. Peu après, le McGill College de Montréal, bastion de la suprématie anglo-protestante au Canada français, offrit un diplôme à Parkman, qui
 
famille bien en vue dans la région de Chatham, au Nouveau-Brunswick, James Horsfield Peters fit ses études au King’s College de Fredericton. Il étudia le droit auprès de John Ambrose Sharman
affaires et le gouvernement. William, qui après quelques années d’études au Hammersmith College à Londres était entré comme clerc chez un cousin, avocat de l’Inner Temple, dut renoncer à cette carrière. À
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