PERRAULT, MAURICE (baptisé Jean-Marie-Julien-Maurice), architecte, ingénieur civil, homme politique et fonctionnaire, né le 12 juin 1857 à Montréal, deuxième des 14 enfants de Henri-Maurice Perrault et de Marie-Louise-Octavie Masson ; le 24 septembre 1879, il épousa au même endroit Sara Hébert, fille de Charles-Polycarpe Hébert, et ils eurent plusieurs enfants dont seules trois filles atteignirent l’âge adulte ; décédé le 11 février 1909 à Longueuil, Québec, et inhumé le 13 au cimetière Notre-Dame-des-Neiges, à Montréal.

Maurice Perrault vit le jour au sein d’une famille éminemment respectable de Montréal, active dans plusieurs domaines, dont la politique, la religion, le commerce et le bâtiment. Son grand-père était le demi-frère du député patriote Charles-Ovide Perrault, mort à la bataille de Saint-Denis, sur le Richelieu, en 1837. Son père Henri-Maurice, arpenteur et architecte, était le fils et le petit-fils d’importants marchands de bois ; il avait pour oncle l’architecte John Ostell* et pour cousin germain Mgr Édouard-Charles Fabre*, premier archevêque de Montréal.

Élève au petit séminaire de Montréal, de 1867 à 1875, Perrault montra un talent certain pour la musique, dont il était peut-être redevable à son parrain, le sulpicien et musicologue Joseph-Julien Perrault*. Il se lia d’amitié avec Paul Bruchési*, futur archevêque de Montréal qui, plus tard, allait lui faciliter ses entrées auprès de certains membres du clergé. Puis, il acquit les règles de l’arpentage chez Perrault et Rielle, et les rudiments de l’architecture auprès de son père de 1875 à 1879.

À 22 ans, sa formation terminée, Perrault jouissait de la confiance entière de son père. Ce dernier lui abandonna la direction de son bureau en janvier 1880, tout en prenant soin de l’associer avec le dessinateur en chef Albert Mesnard, de 12 ans son aîné. La nouvelle société, connue sous le nom de Perrault et Mesnard, devait s’imposer rapidement sur la scène montréalaise, et se spécialiser en architecture religieuse et institutionnelle. Grâce à la clientèle, au réseau de relations et aux conseils de Perrault père, les deux associés ne tardèrent pas à se voir commander les plans de vastes églises : Sainte-Cécile, à Salaberry-de-Valleyfield (1882–1884), Sainte-Anne, à Varennes (1883–1887), Saint-Antoine, à Longueuil (1884–1887), Saint-Charles, à Lachenaie (1888–1890). Même si leurs réalisations sont concentrées dans la grande région de Montréal, ils ont aussi à leur actif quelques édifices dans les autres provinces canadiennes et le Nord-Est américain.

En général, Perrault se chargeait de l’administration du bureau et de la conduite des chantiers, tandis que Mesnard veillait à la conception des projets, mais ils inversaient parfois leur rôle. Perrault a pu développer ainsi un art à son image. Partisan de la ligne droite en tout, comme il le rappela plus d’une fois, il pratiquait un style clair plutôt dépouillé, quelque peu rigide même. Ses compositions s’ordonnent selon un schème classique hérité de son père : un large rectangle à l’intérieur duquel s’inscrit un second rectangle plus étroit. Les élévations s’animent grâce à des renfoncements ou à des saillies dans le parement et non par la multiplication des effets pittoresques chère à Mesnard. La distance qui sépare le style des deux architectes se mesure facilement si l’on compare l’opulent décor de la chapelle Notre-Dame du Sacré-Cœur, à l’église Notre-Dame de Montréal (1889–1891), attribuable à Mesnard, aux façades dénudées de Perrault, où quelques éléments gothiques font écho au décor de l’église dans un souci d’unité. On peut accorder encore à Perrault les agrandissements du collège Sainte-Marie (1892). Le bureau acceptait de plus des travaux de génie civil. En 1885, Perrault supervisa l’aménagement du système d’aqueduc de la ville de Longueuil.

Au début des années 1890, Perrault et Mesnard comptaient parmi les architectes francophones les plus réputés du Québec. Ils méritèrent d’ailleurs les prestigieuses commandes du Monument national (1891–1894) et de l’université Laval à Montréal (1893–1895). À la même époque, en 1892, ils s’adjoignirent le dessinateur en chef Joseph Venne* à titre d’associé en second, auquel succéda Georges-Alphonse Monette comme chef d’atelier. La société fut cependant dissoute en 1895. L’intention bien arrêtée de Perrault d’entreprendre une carrière politique n’est sûrement pas étrangère à cette dissolution.

Perrault participa entre-temps aux activités de plusieurs sociétés professionnelles. Le 10 octobre 1890, il prit part à l’assemblée de fondation de l’Association des architectes de la province de Québec et en fut élu conseiller. Il obtint un second mandat l’année suivante et devait être de nouveau conseiller en 1899. Désireux de renforcer les droits des architectes partout au Canada, il se fit l’apôtre d’une association pancanadienne dès 1896. Ses efforts, conjugués à ceux de nombreux collègues des autres provinces, aboutirent à la création de l’Institut d’architecture du Canada, reconnu juridiquement en 1908. À la séance inaugurale, Perrault reçut l’un des sièges de vice-président. Il fut aussi admis à l’American Public Health Association en 1894 et à la Société canadienne des ingénieurs civils en 1898.

Pratiquant seul, Perrault aborda tous les genres de bâtiments. Leur construction, où transparaissent des influences américaines, faisaient souvent appel aux techniques nouvelles du travail de l’acier. À partir de 1900, ses commandes les plus importantes lui vinrent des gouvernements fédéral et provincial. En 1900, il effectua l’agrandissement de la prison des femmes de Montréal. En 1905, il dessina un nouvel hôtel des postes, resté sans lendemain, ainsi qu’une succursale postale, construite rue Sainte-Catherine l’année suivante. Il dirigea aussi le chantier de l’agrandissement du vieil hôtel des postes de Montréal (1908–1910). En juillet 1908, il fut nommé architecte de l’École technique de Montréal conjointement avec John Smith Archibald*. En compagnie de ce dernier, il se rendit aux États-Unis étudier des établissements semblables. Au retour, les deux architectes dressèrent chacun un avant-projet. Archibald obtint finalement le mandat de tracer les plans définitifs du bâtiment, si l’on en juge par l’absence de similitudes avec les édifices antérieurs de Perrault.

Les activités politiques que Perrault menait parallèlement à sa profession le contraignirent à négliger cette dernière. Plusieurs de ses projets d’architecture ont souffert de son manque d’attention et lui ont attiré des revers. Il mettait sans doute à contribution les talents du dessinateur en chef de son bureau, Alphonse Venne*, mais celui-ci manquait encore d’expérience. Son projet pour le nouvel hôpital Notre-Dame (1902) fut repoussé par le conseil d’administration, qui le jugea d’une conception dépassée. En riposte, Perrault abandonna son titre d’administrateur à vie de l’hôpital, qui lui avait valu le contrat. En 1907, il se classa treizième sur 29 au célèbre concours pour un édifice administratif à construire sur la colline parlementaire à Ottawa. Son projet pour l’École technique ne se révéla guère plus heureux. La reconstruction de la cathédrale de Saint-Hyacinthe (1908–1910) demeure la réalisation marquante de Perrault. Dans une volonté de créer une église d’allure française et au goût du jour, il s’inspira de l’architecture romane du nord de la France dans un traitement vigoureux, hors du commun, emprunté à l’Américain Bertram Grosvenor Goodhue. Le client, cependant, l’obligea à maintenir des formules victoriennes, comme les hautes flèches.

Reconnu pour son expérience et sa probité, Perrault, qui ne cachait pas ses sympathies libérales, avait cherché, dès la fin des années 1880, à entrer dans l’administration publique provinciale. En 1888, il s’était vu confier par le gouvernement d’Honoré Mercier* le poste d’architecte en chef pour le district de Montréal, qu’il garda jusqu’à la victoire électorale des conservateurs en 1892. Ce poste lui valut le projet de l’agrandissement du palais de justice de Montréal, conçu sur le modèle du capitole de Boston, ainsi qu’un projet de prison, vite rejeté par le nouveau gouvernement. En même temps, il fut appelé à présider la commission chargée des expropriations de la ville de Montréal, de 1889 à 1895. À la faveur de l’élection de Wilfrid Laurier* en 1896, il aspira à remplir la prestigieuse fonction d’architecte en chef du département des Travaux publics à Ottawa [V. Joseph-Israël Tarte]. La volonté de ne pas heurter de front la haute fonction publique fédérale, anglophone et d’allégeance conservatrice, incita cependant Laurier à éviter tout remaniement d’importance.

Perrault prit peut-être conscience, à ce moment, que ses chances d’être titulaire de ce département étaient plus grandes que celles d’en être fonctionnaire. En vue d’occuper une meilleure position au sein du Parti libéral aux futures élections fédérales, il se porta candidat à la mairie de Longueuil, où il habitait depuis 1880 environ. Il y était assez connu, ayant bâti l’église, aménagé l’aqueduc et mis sur pied une fanfare au cours des années 1880. Il fut élu sans concurrent le 2 février 1898.

L’intention de Perrault d’être un jour député apparut dès son entrée en fonction. Il donna lecture d’un véritable discours du trône, dans lequel il décrivait le programme qu’il espérait réaliser, et fit de même chaque année par la suite. Il voulait assainir les finances de la ville, et favorisait un meilleur service des équipements municipaux et l’établissement de communications plus faciles avec Montréal, dont dépendait l’essor de Longueuil. Ce second thème lui attira ennuis et frustrations. Résolu à agir rapidement et méprisant ou ignorant la lourdeur des grandes fonctions publiques, le nouveau maire se rendit à Ottawa, chez le premier ministre, dès avril ou au début de mai 1898. Il le pressa d’envoyer un dragueur dégager la baie de Longueuil, afin d’y faciliter la circulation des traversiers. Mal lui en prit, car cette démarche fut interprétée comme un aveu de défiance envers le gouvernement et le Parti libéral. Il revint certes avec un engagement ferme de Laurier, mais aussi avec la réputation de trouble-fête. Le cheminement de sa carrière politique devait souffrir longtemps de cette excursion outaouaise.

Perrault dirigeait le conseil municipal de Longueuil avec fermeté. Il n’hésitait pas à brandir la menace de sa démission pour inciter les conseillers récalcitrants à s’aligner sur ses vues, ni à prendre parti dans les débats alors que sa position commandait l’impartialité. Tout en veillant à la bonne marche de l’administration, il fit améliorer l’aqueduc municipal, construire un poste de pompiers, et attira quelques industries grâce à des subventions. Après une réélection difficile en 1900, il renonça à la fonction de maire au terme de son second mandat en août 1902.

À l’occasion du scrutin fédéral de 1900, Perrault aurait souhaité briguer les suffrages sous la bannière libérale dans les circonscriptions unies de Chambly et Verchères. On l’invita plutôt à soutenir la candidature de Victor Geoffrion, membre influent du parti. En prix de consolation, lui échut l’investiture pour les élections provinciales dans Chambly, qu’il remporta en décembre de la même année. Il devait être élu de nouveau en 1904 et 1908.

Perrault se révéla un parlementaire audacieux, critique face au gouvernement, et sensible aux questions sociales et nationales. Sa pensée politique avait été marquée par sa participation, en 1899, à une commission chargée par la ville de Montréal de vérifier si les compagnies respectaient les règles de taxation. Les recommandations de la commission avaient été censurées par les puissantes compagnies plus soucieuses de protéger leurs profits que d’acquitter les taxes municipales. Devenu méfiant à l’égard du grand capital, le nouveau député se rappela le programme de Mercier qui favorisait l’autonomie du gouvernement provincial tant au point de vue financier que politique. De plus, Henri Bourassa* venait de se distinguer en quittant le Parti libéral après y avoir défendu des opinions contraires à celles de Laurier. Il était devenu le héros des députés nationalistes, au nombre desquels figurait Perrault. Celui-ci, à l’instar de Bourassa, plaidait en faveur d’un Québec agriculturiste et catholique, ouvert à la petite industrie. Il est donc vraisemblable que la Ligue nationaliste canadienne, fondée en 1903 par Olivar Asselin*, pour la promotion d’un programme fidèle à la pensée de Bourassa, ait vu le jour dans les bureaux même de Perrault, comme le rapporte l’historien Robert Rumilly*. Les deux hommes entretinrent d’ailleurs quelque temps des liens étroits, mais tôt rompus à cause de leurs attitudes opposées. Autant Asselin brûlait d’ardeur pour ses convictions, autant Perrault louvoyait. De fait, ses positions eurent souvent pour corollaire la défense d’intérêts bien personnels.

En mars 1901, le député de Chambly fit sanctionner, par le lieutenant-gouverneur en conseil, le tarif de l’Association des architectes à la satisfaction de ses collègues. Stimulé par ce succès, il soumit à la Chambre un projet de loi visant à réduire de dix à cinq ans la responsabilité des architectes. Sans le clamer ouvertement, il cherchait à se protéger contre une éventuelle poursuite de la fabrique de la paroisse Saint-Charles, à Lachenaie, dont l’église présentait des signes précoces de vétusté. Le projet fut rejeté par l’Assemblée et condamné publiquement par un collègue de l’association.

Dans le but d’enrayer le déficit chronique de la province, Perrault songea à ramener devant la Chambre les propositions interprovinciales de 1887, qui exigeaient l’augmentation du subside fédéral et la révision de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique afin d’accroître l’autonomie financière des provinces [V. Honoré Mercier]. Son projet s’attira aussitôt la réprobation de Laurier. Le premier ministre Simon-Napoléon Parent*, par contre, qui escomptait tirer profit de cette initiative toute personnelle, soutint son député. Perrault présenta donc sa motion en mars 1902. Celle-ci fut bien accueillie par les parlementaires, mais seul le premier volet, relatif au subside fédéral, gagna la sympathie du gouvernement. Perrault espérait par cette démarche mériter la confiance de Parent et rafler peut-être une place au sein du cabinet, où s’amorçait déjà la partie de bras de fer qui allait provoquer la démission du premier ministre en 1905.

Au risque d’être classé parmi les « partisans plus ou moins difficiles à diriger », comme il se décrivait, Perrault dénonça ce qu’il appelait la « tutelle » de la Banque de Montréal sur les finances de la province, en 1903, et incita le trésorier à convertir la dette publique en un seul emprunt. Toujours en vue de supprimer le déficit annuel, il suggéra au gouvernement en 1904 de confier la colonisation et l’instruction publique aux municipalités de comté. En 1905, il se fit le défenseur des ouvriers en préconisant une réduction des heures de travail. Son discours ne s’avéra cependant qu’un coup d’épée dans l’eau, puisque la question était de compétence fédérale.

En février 1906, Perrault livra son plus important discours. Souhaitant contrer les monopoles qui exploitaient les travailleurs, il demanda la nationalisation des tramways, de l’électricité et du gaz, à l’exemple de certaines villes d’Angleterre et des États-Unis où des services publics avaient été municipalisés. Son projet apparut toutefois vite irréalisable, car il prévoyait le recours au crédit du gouvernement fédéral pour emprunter les sommes nécessaires au rachat des monopoles. En réalité, Perrault reprenait à son compte un élément important du programme du Parti ouvrier de Montréal, exposé dans le cadre de l’élection partielle dans la circonscription fédérale de Maisonneuve, où les ouvriers, les nationalistes et les conservateurs faisaient cause commune. Cette prise de position favorable à l’adversaire doit être interprétée comme une attitude vindicative à l’endroit du gouvernement de Lomer Gouin*. Perrault n’avait pas obtenu le poste de trésorier qu’il convoitait, au moment du remaniement ministériel causé par la démission de Parent. Chose certaine, Perrault en garda rancune au trésorier Charles Joseph Sarsfield McCorkill resté en fonction. Le candidat ouvrier Alphonse Verville* fut tout de même élu à la Chambre des communes, où il soumit, l’année suivante, un projet de loi sur les heures de travail qui rappelait étrangement la proposition de Perrault de 1905.

En mai 1907, le représentant de Chambly préconisa l’agrandissement de la bibliothèque du Parlement provincial ; peut-être espérait-il en avoir le contrat, qui alla finalement à l’architecte Jean-Omer Marchand*. En contraignant le gouvernement à surveiller de près les finances de la province et ses accointances avec les milieux financiers, Perrault assuma en partie le rôle de l’opposition et mérita à juste titre la réputation d’excellent débatteur.

Malgré son attitude critique, Perrault se rallia ouvertement à Gouin au cours de l’assemblée de Châteauguay en août 1907 et s’afficha ainsi contre Bourassa et la création d’un parti nationaliste. Les chefs de file de la Ligue nationaliste canadienne y virent l’influence de quelque promesse d’un ministère après les élections, et ils n’hésitèrent pas à qualifier de « mufle » le député de Chambly. Comme s’il avait voulu leur donner raison, Perrault se fit discret par la suite. Réélu de justesse le 8 juin 1908, il n’eut pas l’occasion de siéger de nouveau au Parlement. Malade dès les débuts de la campagne électorale, il mourut à Longueuil d’un cancer à la gorge le 11 février 1909, à l’âge de 51 ans.

À l’affût des innovations techniques et soucieux de garder à jour sa production, Maurice Perrault fut un honnête architecte. Cette réussite professionnelle lui permit d’entreprendre une carrière politique pendant laquelle il devint l’un des premiers à défendre en Chambre des positions progressistes, à caractère social et nationaliste. Sincère ou opportuniste, cette attitude lui vaut de passer à l’histoire.

André Laberge

AC, Montréal, État civil, Catholiques, Cimetière Notre-Dame-des-Neiges (Montréal), 13 févr. 1909.— AN, MG 26, G : 4015, 60943, 67931, 67933, 78688, 79981, 79984 ; MG 28, 1277, dossier Maurice Perrault ; RG 11, 1823 ; 1892–1894.— ANQ-M, CE1-1, 12 févr. 1888 ; CE1-12, 13 juill. 1880, 18 sept. 1886 ; CE1-33, 27 févr. 1876 ; CE1-51, 19 juill. 1855, 12 juin 1857, 3 mars 1860, 23 mai 1862, 16 mars 1864, 3 févr. 1866, 14 juill. 1867, 9 juill. 1869, 19 juin 1870, 9 nov. 1871, 24 févr. 1873, 24 sept. 1879, 12 févr. 1885. ; CN1-295, 24 juill. 1825 ; P-124, Délibérations du conseil, 1 ; 3 ; 5.— Arch. de la chancellerie de l’archevêché de Montréal, 355.137, 895–2, 899–5 ; 355.138, 898–2.— Arch. de la ville de Longueuil, Québec, Délibérations du conseil, 1892–1902.— La Minerve, 7 janv. 1880.— Le Nationaliste (Montréal), 24 mai 1908.— La Patrie, 11 févr. 1909.— La Presse, 26 sept. 1889, 27 oct. 1890, 8 oct. 1896, 14 mars 1906, 6 mai, 5 août 1907, 11 févr., 5 avril 1909, 11 mars 1910, 22 avril 1911.— Le Prix courant (Montréal), 14 sept. 1900 : 865.— Contract Record (Toronto), 17 févr. 1909.— L.- O. David, les Patriotes de 1837–1838 (Montréal, 1884 ; réimpr., [1937]).— Ellen James, John Ostell, architecte, arpenteur, Cécile Grenier et Jocelyne Marquis, trad. (Montréal, 1985).— Alexandre Jodoin et J.-L. Vincent, Histoire de Longueuil et de la famille de Longueuil [...] (Montréal, 1889).— André Laberge, « Un nouveau regard sur l’ancienne chapelle Notre-Dame du Sacré-Cœur de la basilique Notre-Dame de Montréal », Annales d’histoire de l’art canadien (Montréal), 8 (1984–1985) : 26–47.— Maurault, le Collège de Montréal (Dansereau ; 1967).— Québec, Assemblée législative, Débats, 1901–1906.— Jacques Rouillard, « l’Action politique ouvrière, 1899–1915 », Idéologies au Canada français, 1900–1929, sous la dir. de Fernand Dumont et al. (Québec, 1974), 267–312.— J.-L. Roy, Édouard-Raymond Fabre, libraire et patriote canadien (1799–1854) : contre l’isolement et la sujétion (Montréal, 1974).— RPQ.— Robert Rumilly, Hist. de la prov. de Québec, 11 ; Histoire de Longueuil (Longueuil, 1974).

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André Laberge, « PERRAULT, MAURICE (baptisé Jean-Marie-Julien-Maurice) », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 4 déc. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/perrault_maurice_13F.html.

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Auteur de l'article:    André Laberge
Titre de l'article:    PERRAULT, MAURICE (baptisé Jean-Marie-Julien-Maurice)
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1994
Année de la révision:    1994
Date de consultation:    4 déc. 2024