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DAVID, LAURENT-OLIVIER, journaliste, propriétaire de journaux, auteur, avocat, fonctionnaire et homme politique, né le 24 mars 1840 à Sault-au-Récollet (Montréal), fils de Stanislas David, cultivateur et capitaine de milice, et d’Élisabeth Tremblay ; le 1er juillet 1869, il épousa à Québec Albina Chenet, et ils eurent un fils et dix filles, puis le 18 octobre 1892, à Boston, Ludivine Garceau, et le couple n’eut pas d’enfants ; décédé le 24 août 1926 à Outremont, Québec.
Après avoir terminé d’excellentes études classiques au petit séminaire de Sainte-Thérèse, où, selon ce qu’il écrira dans les Gerbes canadiennes, il a « peiné, étudié, ri souvent et quelquefois pleuré », Laurent-Olivier David s’inscrit à l’école de droit de François-Maximilien Bibaud*, au collège Sainte-Marie de Montréal. Après avoir été admis au barreau de Montréal, en avril 1864, il pratiquera sa profession avec Joseph-Alfred Mousseau*, futur premier ministre conservateur de la province de Québec. Il exercera avec ce dernier jusqu’en septembre 1872. Sa vie, cependant, sera plus que celle d’un avocat. Déjà a germé en David un élan de patriotisme qui ne le quittera jamais.
En effet, le jeune étudiant en droit et membre du Cercle littéraire (organisé par les fondateurs du Cabinet de lecture paroissial – lui-même créé pour s’opposer à l’Institut canadien de Montréal – qui veulent y attirer les étudiants en droit et en médecine) prononce, à la séance du 1er octobre 1861 du Cabinet de lecture paroissial, une conférence intitulée « Essai sur la littérature nationale ». Dans cet exposé, publié le 12 octobre suivant dans l’Écho du Cabinet de lecture paroissial de Montréal, l’auteur souhaite que la littérature devienne « l’expression fidèle des beautés naturelles de notre pays ».
En janvier 1862, avec entre autres Mousseau, Ludger Labelle*, Louis-Victor Sicotte* et Joseph-Adolphe Chapleau*, autre futur premier ministre conservateur de la province, David devient copropriétaire du Colonisateur, d’allégeance conservatrice. Au moment où le journal montréalais s’éteint, en juin 1863, David et André-Napoléon Montpetit en sont les seuls rédacteurs. Le jeune David est ensuite rédacteur au journal antifédéraliste l’Union nationale, fondé à Montréal en 1864 par Médéric Lanctot*, C.-E.-E. Bouthillier, Toussaint Thompson et Ludger Labelle. Le 3 septembre, le prospectus du journal mentionne que ses artisans « ont souvent combattu sous des couleurs différentes. Aujourd’hui, ils comprennent que la réconciliation des partis est le salut du pays. » Selon les rédacteurs de l’Union nationale, la confédération canadienne n’est nullement nécessaire et risque même de provoquer des conflits dans le Bas-Canada. C’est au sein de ce journal, qui cessera de paraître en novembre 1867, soit peu après l’entrée en vigueur de la Confédération, que David fait la connaissance de Wilfrid Laurier*. Leur amitié durera jusqu’à la mort de ce dernier.
Dans l’Union nationale, David se veut mordant en critiquant une conférence de Gonzalve Doutre* intitulée « le Principe des nationalités », prononcée le 1er décembre 1864 à l’Institut canadien de Montréal et publiée peu après par le Pays, journal libéral de la même ville. David se montre à cette occasion conservateur et fort éloigné des idées libérales du conférencier. Il faut dire que c’est une époque charnière pour le libéralisme. D’une part, les idées libérales françaises, le libéralisme britannique et un certain libéralisme religieux commencent à miner la pensée traditionnelle. D’autre part, l’Institut canadien, foyer du rougisme montréalais dont David loue les objectifs mais dont il ne fait pas partie, se dirige vers son déclin.
Après l’adoption du projet de Confédération, David change d’allégeance politique : de conservateur, il devient libéral et entre en politique active. Aux élections provinciales de 1867, il est défait dans la circonscription d’Hochelaga par Louis Beaubien*, « cultivateur instruit, à la parole vigoureuse, qui eut naturellement l’appui de la classe agricole », écrira-t-il dans la Jeunesse et l’Avenir […] – qu’il publiera à Montréal en 1926 –, dans un scrutin où l’influence des mandements des évêques et des sermons des curés est très importante. Il continue à pratiquer le droit jusqu’en 1870, année où il fonde l’Opinion publique, hebdomadaire de Montréal, avec Mousseau et George-Édouard Desbarats*. Il en sera le rédacteur en chef du 1er janvier 1870 jusqu’à sa démission en 1873.
Dans cette publication d’une grande qualité, David donne toute sa mesure et véhicule l’essentiel des constantes et des ambiguïtés intellectuelles qu’il gardera toute sa vie durant. L’allégeance politique de l’hebdomadaire est difficile à cerner : nationaliste et teinté d’une tendance libérale parfois fort ténue, le périodique semble à l’image de son rédacteur en chef. Sous la plume de David se trouvent des réflexions sur la politique, le commerce, l’économie, la colonisation, l’industrialisation, les relations avec les États-Unis. Au sujet du réseau d’éducation dans la province, David croit qu’il produit trop de prêtres, trop de membres des professions libérales et qu’il correspond peu aux besoins du pays. « À quoi servira aux Canadiens-Français de parler le grec et le latin, si on les trouve incapables de remplir tous les emplois lucratifs, si on leur refuse les meilleures positions, si on leur ferme la porte de toutes ces maisons de commerce où des milliers de nos compatriotes anglais trouvent une existence honorable », lance-t-il le 5 février 1870. Pourtant, dans Au soir de la vie, recueil d’essais qui paraîtra à Montréal en 1924, David traitera avec plaisir de Cicéron, de Pline le Jeune, de Socrate, de Platon, d’Aristote. Ses articles sur la religion rendent compte de sa fidélité à l’Église.
Dans l’Opinion publique, David commence aussi sa « Galerie nationale », série de portraits de personnalités diverses, telles que Mgr Ignace Bourget*, Joseph-Rémi Vallières* de Saint-Réal, Emma Albani [Lajeunesse], articles qui seront repris sous forme de plaquettes ou de volumes. Il y fait paraître également « les Hommes de 37–38 », ensemble de textes qui serviront de toile de fond aux Patriotes de 1837–1838, volume qu’il publiera à Montréal en 1884. Jean-Olivier Chénier*, Ludger Duvernay* et Bonaventure Viger* y figurent entre autres. Dans ses articles sur les patriotes, l’essayiste transforme ces derniers en héros qui ont défié l’autorité, ce qui a provoqué, le 24 octobre 1837, la publication d’un célèbre mandement de Mgr Jean-Jacques Lartigue*. À l’évêque qui les a alors qualifiés de brigands, de rebelles et de bandits, David répondra dans une brochure intitulée le Clergé canadien : sa mission, son œuvre, publiée à Montréal en 1896 : « Disons en passant que quelques-uns de ces bandits devinrent plus tard les chefs du parti conservateur et les idoles du clergé devant lesquelles on fit un devoir au peuple de se prosterner. » Constamment présentes dans les écrits de David, ses réflexions sur les patriotes laissent croire qu’il encourage la rébellion et le refus de l’autorité. D’ailleurs, en 1892, le curé Louis-Eugène Duguay se plaindra à Mgr Louis-François Laflèche* du fait que les Patriotes de 1837–1838, livre séditieux, soit donné en prix dans les écoles de son diocèse. À la fin de l’année 1873, David quitte ce journal où il a laissé le plus clair de ses idées. Il démissionne parce qu’il ne veut pas, au contraire de ses associés, défendre le gouvernement embourbé dans le scandale du chemin de fer canadien du Pacifique. « Que de déboires et d’ennuis m’a valu cette conception exagérée de l’honneur dans cette affaire », confessera-t-il dans Souvenirs et Biographies, 1870–1910.
En avril 1874, à Montréal, David devient cofondateur et copropriétaire du Bien public avec Cléophas Beausoleil*. Le journal est l’organe officiel du Parti national formé en 1871 (entre autres par Wilfrid Laurier, Louis-Amable Jetté*, Frédéric-Ligori Béïque* et Honoré Mercier*) et à propos duquel David affirmera, dans Mes contemporains, qu’il n’a été « qu’un leurre, un mouvement stratégique imaginé pour faire arriver le parti libéral ». Dans le Bien public, David et Beausoleil se montrent un peu trop libéraux à l’égard des relations entre l’Église et l’État. Constamment aux aguets, les ultramontains ne tardent pas à riposter. Le journal, décrié en chaire, cesse de paraître le 20 mai 1876, par fidélité, écrira David dans ses Mélanges historiques et littéraires, « à son programme en faveur d’un tarif protecteur ». Selon Mason Wade, dans les Canadiens français, de 1760 à nos jours, ouvrage qui sera publié à Ottawa en 1966, le journaliste trouve plutôt « refuge contre la tempête ultramontaine dans un poste de traducteur à Ottawa », emploi obtenu en mai 1876, pour deux ans, grâce à Laurier. Six mois après la mort du Bien public, Mgr Laflèche – celui-là même qui a officiellement encouragé François-Xavier-Anselme Trudel* à promouvoir le Programme catholique, rédigé en 1871 pour combattre le libéralisme – dénonce à Rome ce journal qui a prôné « la maxime si essentiellement libérale de la séparation de l’Église et de l’État ».
Entre-temps, David a fondé le Courrier de Montréal avec Beausoleil ; le périodique a paru de septembre 1874 à octobre 1876. David a aussi été candidat libéral dans la circonscription d’Hochelaga aux élections provinciales de 1875 et a encore été défait par Louis Beaubien. Biographies et Portraits paraît en 1876 afin « d’encourager la jeunesse à imiter les exemples de vertu et de patriotisme » dont des hommes tels Mgr Joseph-Octave Plessis*, Évariste Gélinas* ou Joseph Papin* ont su faire preuve. Le volume reprend 21 textes parus d’abord dans divers journaux ou en brochure entre 1870 et 1876. Dans la même veine, David fera paraître, en 1894, Mes contemporains, recueil de biographies élogieuses pour la plupart déjà parues dans le Bien public. Souvenirs et Biographies, 1870–1910, publié en 1911, ajoutera des personnages importants (Médéric Lanctot, Wilfrid Laurier, Louis-Rodrigue Masson*, et plusieurs autres) à son volume précédent, Mes contemporains. À travers tous ces portraits, David exploite quelques-uns de ses thèmes favoris : le talent, la santé, le travail, la persévérance, le besoin d’écoles commerciales pour permettre aux Canadiens français de rivaliser avec les Canadiens anglais, les dangers de la politique, les difficultés du journalisme, le succès matériel. Les trois ouvrages sont publiés à Montréal.
En septembre 1878, David tente encore une fois de se faire élire dans Hochelaga aux élections fédérales ; il est battu par Alphonse Desjardins*. Il reprend du service comme journaliste à la Tribune, dont il est le propriétaire et le rédacteur d’octobre 1880 à mai 1884. Dans ce journal libéral de Montréal, il continue à lutter pour unir les libéraux et les conservateurs sur la scène provinciale.
En 1885, David prend part à l’affaire Riel, entre autres en animant avec Georges Duhamel*, à Montréal, le comité des amis de Riel. L’année suivante, aux élections provinciales, il est élu député libéral dans la circonscription de Montréal-Est, devant Louis-Olivier Taillon (du Parti conservateur) et Adélard Gravel (du Parti national). Dans Au soir de la vie, il qualifiera cette réussite électorale de dédommagement pour ses efforts dans l’affaire Riel. Pendant son mandat, il représente, avec Narcisse-Henri-Édouard Faucher* de Saint-Maurice, la province de Québec au dix-septième congrès des Canadiens français tenu à Nashua, dans le New Hampshire, en 1888. Il ne se représente pas aux élections provinciales de 1890, mais brigue en revanche les suffrages aux élections fédérales de l’année suivante, où il est battu par Alphonse-Télesphore Lépine dans Montréal-Est, et aux élections provinciales de 1892 dans la circonscription de Napierville, où Louis Sainte-Marie est élu.
Ces défaites électorales mettent fin à la carrière politique active de David, qui ne compte plus dès lors que sur la pratique de sa profession d’avocat et sur ses talents littéraires pour gagner la vie de sa famille. De 1888 à 1893, il préside l’Association Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Appuyé par Béïque et Joseph-Xavier Perrault*, il survit à la saga financière du Monument national, inauguré à Montréal en 1893. David y fera jouer, en 1901, sa pièce intitulée le Drapeau de Carillon : drame historique en trois actes et deux tableaux, publiée à Montréal l’année suivante et qui prône la bonne entente entre les Canadiens francophones et anglophones.
En 1890, David devient membre de la Société royale du Canada. Deux ans plus tard, il obtient un emploi de greffier au conseil de ville de Montréal, poste qu’il occupera jusqu’en avril 1918. À la fin de l’été de 1896, peu après l’accession de Laurier au pouvoir, il fait paraître, avec l’assentiment et l’aide financière du nouveau premier ministre, le Clergé canadien : sa mission, son œuvre. Le contenu de la brochure incendiaire, qui pourfend l’action du clergé catholique depuis les 50 dernières années, dénonce son influence indue dans les élections et son attitude dans la question des écoles du Manitoba [V. Adélard Langevin*], semble constituer la réponse, longuement mûrie, des libéraux de Laurier au clergé ultramontain, en particulier à Mgr Laflèche. La réplique de P. Bernard, pseudonyme du dominicain Dominique-Ceslas Gonthier*, qui, sans tarder, paraît en deux tomes à Québec sous le titre Un manifeste libéral : M. L.-O. David et le clergé canadien, est terrible. L’affaire ne dure pas longtemps. À la fin du mois de décembre, après avoir reçu des délégations d’accusateurs et de défenseurs, Rome porte la brochure au catalogue de l’Index. L’Électeur, journal de Québec qui a commencé à publier des extraits de l’ouvrage, doit changer de nom (il devient le Soleil) pour éviter les foudres du clergé. David se soumet rapidement en retirant sa brochure, mais, dans une lettre qu’il adressera en 1899 à Mgr Paul Bruchési*, archevêque de Montréal, il écrira qu’il mourra « convaincu » que l’Église a commis une « grave erreur » en condamnant son écrit. Il ne voulait, expliquera-t-il dans ses Mélanges historiques et littéraires, que mettre en garde le clergé contre lui-même, car « il n’y a rien de plus beau et de meilleur sur la terre que le sacerdoce catholique ». Dans l’Union des deux Canadas, 1841–1867, publié à Montréal en 1898, David reprend les mêmes thèmes : après avoir dénoncé l’influence indue du clergé en politique ainsi que lord Durham [Lambton*] et son désir d’assimiler les Canadiens français, il tente de faire la preuve que ces derniers ne sont pas « un peuple sans histoire ni littérature ». Cinq ans plus tard, son ami Laurier le nomme sénateur pour la division des Mille-Isles. En 1905, David lui consacre un volume, publié à Montréal sous le titre Laurier et son temps, et dont il fera paraître une nouvelle édition à Beauceville en 1919, Laurier : (sa vie, ses œuvres), peu après le décès de l’homme politique. Il y décrit ce qu’il estime être les grands moments de la vie de celui qu’il a « tant aimé et admiré ».
Après avoir fait paraître trois autres volumes à Montréal, l’Histoire du Canada depuis la Confédération, 1867–1887 en 1909, Mélanges historiques et littéraires en 1917 et les Gerbes canadiennes en 1921, David se révèle dans Au soir de la vie. L’octogénaire, pacifique, traditionnel et conservateur dans ses idées, s’exprime en particulier sur des questions modernes (le statut constitutionnel de la province de Québec dans le Canada, les grèves, le droit de vote des femmes). Deux ans plus tôt, son fils unique, Athanase*, qui connaîtra une carrière politique remarquable, a créé en l’honneur de son père le prix littéraire David.
À son décès, survenu le 24 août 1926, Laurent-Olivier David a droit à d’immenses funérailles. Dans une lettre qu’il a écrite au poète Jean Charbonneau le 12 février 1917, il a résumé les objectifs de sa carrière en affirmant que « non seulement [il écrivait] pour des fins politiques mais aussi pour démontrer la nécessité de favoriser la colonisation, l’établissement d’écoles techniques, industrielles et commerciales, l’amélioration en général [du] système d’éducation, pour réclamer [la] liberté dans le domaine politique et combattre les exagérations religieuses ». Avec plus ou moins d’adresse, il a été de tous les combats et est demeuré fidèle, toute sa vie durant, aux idées qu’il a commencé à défendre dans sa jeunesse : religion et patrie.
Les principaux écrits de Laurent-Olivier David ont déjà été cités dans la biographie. Pour compléter cette information, on consultera les ouvrages suivants : Hamel et al., DALFAN, 377–379 ; DOLQ, 1 ; 2.
ANQ-M, CE601-S4, 24 mars 1840.— ANQ-Q, CE301-S97, 1er juill. 1869.— Arch. du séminaire de Trois-Rivières, Québec, 0016 (fonds Louis-François Richer-Laflèche).— Centre de recherche en civilisation canadienne-française (Ottawa), P2 (fonds Jean-Charbonneau).— Mass., State Dept. of Public Health, Registry of vital records and statistics (Boston), Marriage records, Lowell, Mass., 18 oct. 1892.— Le Bien public (Montréal), 20 mai 1876.— Le Canada (Montréal), 25 nov. 1911.— Le Courrier du Canada (Québec), 18 oct. 1861.— Le Devoir, 24–25 août 1926.— Le Monde illustré (Montréal), 4 déc. 1886.— L’Opinion publique (Montréal), 5 févr. 1870.— La Presse, 29 déc. 1896.— L’Union nationale (Montréal), 8 sept. 1864.— DPQ.— Thérèse Dufresne, « Bibliographie de M. L.-O. David » (école de bibliothécaires, univ. de Montréal, 1944).— J. Hamelin et al., la Presse québécoise, 2 ; 3.— Pierre Hébert et Patrick Nicol, Censure et Littérature au Québec (Saint-Laurent, Québec, 1997).— Jacques Lacoursière, Histoire populaire du Québec (4 vol. parus, Sillery, Québec, 1995– ), 3.— Marcel Lajeunesse, les Sulpiciens et la Vie culturelle à Montréal au xixe siècle (Montréal, 1982).— Yvan Lamonde, Gens de parole : conférences publiques, essais et débats à l’Institut canadien de Montréal (1845–1871) (Montréal, 1990).— L. L. LaPierre, Sir Wilfrid Laurier : portrait intime, Jacques Vaillancourt, trad. ([Montréal], 1997).— Edmond Lareau, Histoire de la littérature canadienne (Montréal, 1874).— Jean-Marc Larrue, le Monument inattendu : le Monument-National de Montréal, 1893–1993 (LaSalle, Québec, 1993).— Le Jeune, Dictionnaire.— Dorylas Moreau, « le Débat L.-O. David–P. Bernard (1897–1898) à propos du libéralisme » (mémoire de m.a., univ. Laval, 1972).— [Alexis Pelletier], Coup d’œil sur le libéralisme européen et sur le libéralisme canadien : démonstration de leur parfaite identité (Montréal, 1876).— Jacques Rouillard, Histoire du syndicalisme au Québec : des origines à nos jours (Montréal, 1989).— Robert Rumilly, Hist. de Montréal ; Histoire des Franco-Américains (Montréal, 1958).— Arthur Savaète, Voix canadiennes : vers l’abîme (12 vol., Paris, [1905–1922]), 3 ; 7.— Un catholique [Alexis Pelletier], la Source du mal de l’époque au Canada ([Montréal, 1881])
Jean Landry, « DAVID, LAURENT-OLIVIER », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 9 nov. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/david_laurent_olivier_15F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/david_laurent_olivier_15F.html |
Auteur de l'article: | Jean Landry |
Titre de l'article: | DAVID, LAURENT-OLIVIER |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2005 |
Année de la révision: | 2005 |
Date de consultation: | 9 nov. 2024 |