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WELDON, RICHARD CHAPMAN, éducateur, avocat et homme politique, né le 19 janvier 1849 à Sussex Parish, Nouveau-Brunswick, fils de Richard Chapman Weldon et de Catherine Geldart ; le 11 juillet 1877, il épousa à Stellarton, Nouvelle-Écosse, Sarah Maria Tuttle (décédée en 1892), et ils eurent quatre fils et une fille, puis le 28 décembre 1893, à Halifax, Louisa Frances Hare (décédée en 1957), et de ce second mariage naquirent deux fils et cinq filles ; décédé le 26 novembre 1925 à Dartmouth, Nouvelle-Écosse.
Les Weldon faisaient partie des méthodistes du Yorkshire qui s’établirent dans les Maritimes au xviiie siècle. Élevé dans une ferme de Penobsquis, au Nouveau-Brunswick, avec les sept autres enfants de sa famille, Richard Chapman Weldon devint un jeune homme grand et bien bâti, amateur de plein air. Vu son goût pour les choses de l’esprit, il ne pouvait manquer d’être attiré par le Mount Allison Wesleyan College de Sackville. Après y avoir obtenu une licence ès arts en 1866 à l’âge de 17 ans, il enseigna deux ans près de Sussex. Il retournerait à Mount Allison pour enseigner et faire une maîtrise ès arts en économie (1870). Suivant les traces de son frère aîné, il étudia en 1868–1869 et en 1871–1872 au Yale College de New Haven, au Connecticut, où Richard Henry Dana et Theodore Dwight Woolsey lui enseignèrent le droit constitutionnel et le droit international. Il reçut un doctorat en science politique en 1872.
Les encouragements de ses mentors à Yale convainquirent Weldon d’aller parfaire sa formation en droit international à la Ruprecht Karl Universität de Heidelberg, en Allemagne. Doué pour les langues (il parlait couramment l’allemand), il s’imprégna de culture européenne. L’architecture médiévale l’émerveillait ; pour assister à des répétitions d’opéra, il se rendait à pied à Mannheim, non loin de Heidelberg. Peut-être ce régime culturel était-il trop riche pour lui : une forme quelconque de dépression l’obligea à rentrer au pays au début de 1873 et l’empêcha de travailler jusqu’en 1875. Cette année-là, par suite d’une offre du directeur David Allison, il accepta un poste de professeur de mathématiques et d’économie politique à Mount Allison. Premier détenteur d’un doctorat à enseigner dans cet établissement, il acquit vite une réputation d’excellence malgré le fait que, à l’occasion, des matières aussi diverses que la botanique, la zoologie et la géologie s’ajoutaient à sa charge. Weldon était un fervent partisan de la consolidation des collèges des Maritimes en une seule université. Il appartint à la University of Halifax jusqu’à la dissolution de ce corps d’examinateurs en 1881.
Dans les années 1870 et au début des années 1880, on tentait de créer une école de droit à Halifax – plus précisément à la Dalhousie University, même si elle était au bord de la faillite. Benjamin Russell*, qui avait été un condisciple de Weldon à Mount Allison et serait un de ses amis toute sa vie, le tenait au courant des progrès de l’affaire. Les derniers obstacles s’évanouirent lorsque George Munro*, philanthrope néo-écossais expatrié, décida de doter cinq chaires à Dalhousie. En mars 1883, dans la lettre où il offrait 40 000 $ au conseil d’administration pour une chaire de droit constitutionnel et international, Munro nota que « des juges compétents [avaient] recommandé [Weldon] comme étant tout à fait apte à diriger la faculté de droit ». En acceptant l’offre du conseil d’administration, Weldon devint le premier professeur de droit à temps plein dans le Canada d’après la Confédération. Un mouvement en sa faveur s’était peut-être dessiné dès 1880, soit à l’époque où, professeur de mathématiques, il avait entrepris son stage chez un avocat de Sackville. Il fut reçu au barreau le 9 décembre 1884 après que la Nova Scotia Barristers’ Society eut reconnu sa qualification.
Dans les années 1880, la formation universitaire moderne en droit en était encore à ses balbutiements. Plongée dans la torpeur avant la guerre de Sécession, l’école de droit de Harvard en était sortie en 1870 grâce à la nomination du doyen Christopher Columbus Langdell, qui revêtit, du manteau de la science, l’étude du droit et insista pour qu’il y ait plus d’échanges et d’analyse dans les classes. Néanmoins, Harvard avait tendance à mettre l’accent sur le côté pratique du droit. De par sa propre formation, Weldon s’intéressait à l’aspect culturel. Il inscrivit au programme des cours sur le droit international, l’histoire constitutionnelle et les conflits de lois. Son adjoint Benjamin Russell et un groupe de membres talentueux du barreau de Halifax, dont Robert Sedgewick* et John Sparrow David Thompson*, enseignaient les matières plus traditionnelles, liées à l’exercice de la profession. En outre, Weldon réussit à obtenir pour un an les services de John Thomas Bulmer*, qui mit la bibliothèque sur pied et, en un court laps de temps, la garnit de quelque 5 000 volumes. Le discours inaugural de Weldon fait état des rêves qu’il caressait pour la toute jeune école de droit. Il encourageait son auditoire à « bâtir dans [la] ville de Halifax une université avec des facultés des arts, de médecine, de sciences appliquées et de droit […] qui influencera[it] la vie intellectuelle au Canada comme Harvard et Yale [avaient] influencé la vie intellectuelle de la Nouvelle-Angleterre ».
À peine l’école de droit avait-elle pris son élan, Weldon entreprit une seconde carrière, politique celle-là. Aux élections fédérales de 1887, il remporta la victoire sous la bannière conservatrice dans Albert, au Nouveau-Brunswick, où il possédait une ferme. L’étudiant en droit Richard Bedford Bennett* sillonna la circonscription avec lui pendant la campagne de 1891, à l’issue de laquelle il fut réélu. Comme Weldon siégeait à Ottawa, l’école de droit décida que l’année universitaire irait de septembre à février. Ce nouveau calendrier continua de s’appliquer après la défaite de Weldon en 1896 – les libéraux remportèrent une victoire décisive et Russell fut élu député à son tour – et se prolongea « par la seule vertu de l’inertie universitaire » (selon les termes de John Willis, l’historien de l’école de droit) jusqu’en 1911, sept ans après la nomination de Russell à la magistrature.
Weldon éprouvait pour la chose publique une passion qu’il s’efforçait de transmettre à ses étudiants. D’après les critères d’aujourd’hui, sa carrière politique ne fut pas tellement productive, mais à son époque c’était un parlementaire très estimé. À un moment donné, on crut même qu’il pourrait devenir premier ministre du pays. Son nom reste attaché surtout à une loi de 1889 qui rendait passibles d’extradition les fugitifs provenant de pays avec lesquels le Royaume-Uni n’avait pas conclu de traité en cette matière et qui allongeait la liste des crimes pour lesquels les fugitifs américains au Canada pouvaient être extradés aux États-Unis. Les dispositions de ce que ses contemporains appelaient la loi Weldon se trouvent dans la version la plus récente de la Loi sur l’extradition. En 1894, Weldon fut à l’origine de l’adoption d’une mesure privant du droit de suffrage, pour sept ans, toute personne trouvée coupable d’avoir vendu son vote aux élections fédérales. Lui-même avait été accusé de tentative de corruption d’électeurs pendant les campagnes de 1887 et de 1891 par John Thomas Hawke, rédacteur en chef d’un journal libéral de Moncton, le Daily Transcript, mais il l’avait poursuivi pour diffamation et avait gagné son procès. Porté à jouer en quelque sorte le rôle de critique de son propre parti, il s’opposa à l’adoption d’une loi réparatrice par le Parlement fédéral pour le règlement de la question des écoles du Manitoba et pressa le gouvernement d’Ottawa de refuser de reconnaître une loi néo-écossaise de 1893 qui accordait à l’industriel bostonien Henry Melville Whitney des droits généreux sur le charbon de la province. Au début de 1896, il prit une part active à des manœuvres clandestines visant à trouver un autre candidat que sir Charles Tupper* pour succéder à sir Mackenzie Bowell* au poste de premier ministre du Canada. Il se présenta de nouveau au Parlement en 1900 et en 1906, mais il subit la défaite.
L’école de droit de Dalhousie attirait des étudiants de la côte Ouest, ce qui permettait à Weldon d’avoir des relations intéressantes. En 1910, Richard McBride*, ancien élève de cette école et premier ministre de la Colombie-Britannique, lui demanda de présider une commission qui choisirait l’emplacement de la future University of British Columbia. Après avoir visité 12 localités, les commissaires optèrent pour Point Grey. Un autre voyage fait en Colombie-Britannique par Weldon en 1900 avait été moins fructueux : parti à la recherche d’une mine de mica dans laquelle il avait investi une partie des économies de sa famille, il avait découvert qu’elle n’existait pas.
À son entrée en fonction, Weldon avait obtenu un salaire de 2 000 $, ce qui était très généreux pour l’époque (le premier ministre de la Nouvelle-Écosse gagnait 2 400 $ en 1883), mais quand il prit sa retraite, une trentaine d’années plus tard, son traitement n’était que de 3 000 $. Nommé conseiller fédéral de la reine en 1890, il fut avocat-conseil auprès de la firme Harris, Henry, and Cahan à compter de 1897. Sans jamais être riche, il fut en mesure de loger sa nombreuse famille dans deux des imposantes demeures de Dartmouth, Lakeside et The Brae ; cette dernière était la résidence du début de l’ère victorienne où il mourut. En outre, les Weldon habitèrent quelques années dans une agréable maison de la rue Inglis, à l’extrémité sud de Halifax.
L’historienne Della Stanley a raison de noter que les premières années de l’école, « que l’on peut qualifier de créatrices et [riches en] expérimentation, furent suivies d’une longue période de consolidation, après quoi la routine s’installa ». Les étudiants de la nouvelle génération qui fréquentaient l’école dans les dernières années du décanat de Weldon voulaient plus d’heures d’enseignement et réclamaient que ses cours d’histoire constitutionnelle et de droit international soient remplacés, par exemple, par des cours de procédure civile et de droit du mandat. Leur agacement s’exprime dans ces vers publiés par la Gazette de Dalhousie en 1914, l’année où Weldon prit sa retraite :
« Je connais les jugements rendus par toutes les [hautes cours,
Qu’ils figurent dans les recueils du quatorzième siècle [ou les Dominion Law Reports ;
Vraiment, la jurisprudence n’a plus de secret pour [moi,
Mais comment préparer un procès ? Je ne le sais [pas. »
Le barreau était d’accord pour mieux adapter le programme à l’exercice de la profession. Le nouveau doyen, Donald Alexander MacRae, l’était aussi. Il révisa le programme, qui devint un modèle : l’Association du barreau canadien l’adopta en 1920, tout comme les écoles universitaires de droit qui faisaient leur apparition un peu partout au pays. Sans la faire disparaître, ces réaménagements reléguèrent à l’arrière-plan la tradition libérale implantée par Weldon.
Durant les 31 ans de son décanat, Weldon fut le seul professeur à temps plein de l’école de droit. On a comparé ses relations de travail avec Russell, son collègue à mi-temps – qui le surnommait « dimidium animae meae, l’autre moitié de moi-même » –, à celles de Langdell et de James Barr Ames à Harvard et à celles d’Albert Venn Dicey et de William Martin Geldart à Oxford. Le tandem Weldon-Russell enseignait les matières qu’il estimait essentielles et comptait sur le barreau de Halifax pour le reste. Souvent, quand même, Weldon était appelé à combler des lacunes : il donna des cours sur le crime durant plus de dix ans, dut prendre en charge en 1893 le droit maritime, qu’il enseigna jusqu’en 1914, et ajouta les délits civils à son répertoire en 1905 – toujours en continuant de donner les cours « de son cru ». Vu les très maigres ressources dont ils disposaient, les efforts déployés par Weldon et Russell pour donner une formation juridique dans un cadre universitaire tenaient de l’héroïsme. Si le décanat de Weldon présente un point faible, c’est l’absence de femmes parmi les élèves. On ignore s’il les dissuadait d’étudier le droit, mais il ne pouvait les y encourager. Il ne semble pas non plus avoir insisté auprès de la Nova Scotia Barristers’ Society pour qu’elle revoie la tradition qui excluait les femmes de la profession. L’école de droit n’admit sa première étudiante qu’en 1915. Cependant, deux étudiants de race noire obtinrent leur diplôme pendant le décanat de Weldon ; le premier fut James Robinson Johnston* en 1898.
Étant donné à la fois sa charge d’enseignant et d’administrateur et les exigences de sa carrière politique, on ne doit peut-être pas s’étonner que Weldon n’ait pas fait sa marque en matière d’érudition. Évidente dès 1906, la grave détérioration de son état mental (probablement due à la maladie d’Alzheimer) l’empêcha tout à fait de se consacrer à la recherche une fois à la retraite. Ces considérations mises à part, on peut penser que Weldon n’avait pas, de la constitution canadienne, une vision globale qu’il se sentait tenu de coucher sur papier. Dans tout ce qui s’est écrit à son sujet comme dans ses discours et activités politiques, il est difficile de discerner une théorie constitutionnelle bien à lui. Tout ce que l’on peut dire, c’est qu’il croyait au fédéralisme et aux conceptions britanniques, plutôt qu’américaines, du droit et de la politique. (Il resterait un fervent impérialiste et, toute sa vie, il se méfia de tout ce qui était américain.) Quoi qu’il en soit, dans les premières années de l’école de droit, la priorité devait être la formation elle-même. Sur ces fondations, les doyens suivants et les membres de la faculté n’auraient aucun mal à bâtir une superstructure de recherche.
C’est de Richard Chapman Weldon l’éducateur qu’on se souvient encore aujourd’hui, à juste titre, et c’est en songeant à cet aspect du personnage que l’historien Peter Busby Waite a déclaré qu’il était, « de tous les généreux dons faits par Munro à Dalhousie, peut-être […] le plus fructueux ». Avec le soutien du barreau de Halifax, Weldon ancra fermement la formation juridique dans un milieu universitaire et créa un modèle qui rayonnerait dans tout le Canada au xxe siècle. Il donnait ses cours dans un style solennel – au lieu d’employer la méthode socratique, devenue en vogue à l’époque – et exerçait du magnétisme sur les étudiants. Jamais ces derniers n’oubliaient cet homme en qui s’alliaient puissance intellectuelle, allure impressionnante et sollicitude – qualités qui nourrirent un mythe resté longtemps vivace après son décès. Sans doute l’enthousiasme de ses étudiants était-il celui qu’éprouve quiconque participe à une aventure nouvelle, mais c’était Weldon qui leur insufflait le sens de cette aventure. Il les encourageait à regarder au delà des frontières de leur milieu et même de leur profession parce que, au cœur de son projet, il y avait la nécessité de pratiquer les vertus civiques, de servir le pays. Comme le premier ministre de la province, Angus Lewis Macdonald*, le déclarerait à l’occasion du cinquantenaire de l’école, célébré en grande pompe en 1933, Weldon donna à Dalhousie « non pas simplement une école de droit mais une pépinière de fonctionnaires et d’hommes publics ». De fait, beaucoup d’anciens élèves exerceraient alors de hautes fonctions dans la magistrature, le droit, la politique ou les affaires, soit au Canada, soit à l’étranger. Lorsque la Dalhousie University inaugura le nouvel édifice de l’école de droit en 1966, il était non seulement inévitable mais juste qu’elle lui donne le nom du doyen fondateur. À l’occasion de son centenaire en 1983, l’école de droit créa un prix – le Weldon Award for Unselfish Public Service – à l’intention d’un diplômé ayant accompli un geste remarquable. Peu après que le doyen eut pris sa retraite, d’anciens élèves avaient commandé un portrait de lui à Edmund Wyly Grier*. Ce tableau domine le hall d’entrée, et chaque génération d’étudiants est initiée à la « tradition de Weldon ».
Richard Chapman Weldon a laissé peu de papiers personnels, sinon quelques souvenirs à ses descendants à Halifax. Les Dalhousie Univ. Arch. possèdent très peu d’information sur Weldon. Les Dalhousie Law School Arch. n’en ont guère plus ; on y trouve cependant des notes de Weldon rattachées à un cours d’histoire constitutionnelle, ainsi que des notes d’un étudiant, Stephen Edgar March, prises dans un cours de droit constitutionnel de Weldon en 1891–1892. Le discours de ce dernier prononcé à l’inauguration de l’école de droit a été publié dans A. G. Archibald et R. C. Weldon, The inaugural addresses, &c. delivered at the opening of the law school in connection with Dalhousie University, Halifax, Nova Scotia, at the beginning of the first term in 1883 (Halifax, 1884). À part ce texte et ses brefs discours reproduits dans Canada, Chambre des communes, Débats, 1887–1896, Weldon n’a laissé aucune publication, ce qui a ajouté à sa légende. La meilleure analyse de son rôle à Dalhousie est celle de John Willis, A history of Dalhousie law school (Toronto, 1979). Della Stanley présente probablement la biographie la plus exhaustive et examine quelques-unes des contradictions qui ont marqué la vie de Weldon dans « Richard Chapman Weldon, 1849–1925 : fact, fiction and enigma », Dalhousie Law Journal (Halifax), 12 (1989) : 539–566. On obtient un certain éclairage sur le rôle de Weldon dans les pressions exercées auprès des milieux politiques en vue d’obtenir une exemption de l’application des règlements antipollution pour un propriétaire de scierie de sa circonsription du comté d’Albert dans Gilbert Allardyce, « “The vexed question of sawdust” : river pollution in nineteenth century New Brunswick », Dalhousie Rev. (Halifax), 52 (1972) : 177–190. Pour avoir de l’information sur le contexte à Dalhousie, on consultera P. B. Waite, The lives of Dalhousie University (2 vol., Montréal et Kingston, Ontario, 1994–1998), 1. En ce qui concerne les années de Weldon à Mount Allison, voir J. G. Reid, Mount Allison University : a history, to 1963 (2 vol., Toronto, 1984). L’ouvrage de Benjamin Russell intitulé Autobiography [...] (Halifax, 1932) contient plusieurs longs passages sur Weldon et comprend le texte complet de l’hommage qu’il a publié dans l’Evening Mail (Halifax) à l’occasion de la retraite de Weldon. [p. g.]
NSARM, RG 39, ser. M, 13, nº 11.— Atlantic Weekly (Dartmouth, N.-É.), 2 févr. 1895.— Dalhousie Gazette (Halifax), 7 nov. 1923.— Dartmouth Free Press, 22 mars 1967.— Evening Mail (Halifax), 27 nov. 1925.— Halifax Herald, 27–28 nov. 1925.— Morning Chronicle (Halifax), 27 nov. 1925.— Alumni News (Halifax), déc. 1925.— Canada, Statuts (Ottawa), 1889, c. 36 ; 1894, c. 14.— Canadian Bar Rev. (Toronto), 11 (1933) : 402s.— J. E. Read, « Jurist and mentor of jurists » [compte rendu de livre], Canadian Bar Rev., 11 : 68s.— B[enjamin] Russell, « Richard Chapman Weldon », Canadian Bar Rev., 4 (1926) : 197–200.
Philip Girard, « WELDON, RICHARD CHAPMAN », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 12 déc. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/weldon_richard_chapman_15F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/weldon_richard_chapman_15F.html |
Auteur de l'article: | Philip Girard |
Titre de l'article: | WELDON, RICHARD CHAPMAN |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2005 |
Année de la révision: | 2005 |
Date de consultation: | 12 déc. 2024 |