Provenance : Lien
Brown, Walter George, ministre presbytérien et homme politique, né le 6 septembre 1875 à Athelstan, Québec, troisième fils de Charles Brown et de Christina White ; le 22 novembre 1904, il épousa au même endroit Martha Ann Rowat (1881–1981), et ils eurent un fils et trois filles qui vécurent au delà de la petite enfance ; décédé le 1er avril 1940 à Ottawa et inhumé trois jours plus tard à Athelstan.
Les grands-parents paternels de Walter George Brown, qui s’installèrent sur une concession statutaire dans le comté de Huntingdon, dans le Bas-Canada, venaient d’Irlande, tandis que les parents de sa mère étaient originaires d’Écosse. À la naissance de Walter George, son père, Charles Brown, était déjà un agriculteur bien établi. Enfant, Walter George contracta une cardiopathie rhumatismale ; il développa malgré tout une solide constitution en travaillant dur dans la ferme familiale. Il reçut une éducation de très grande qualité. Il se classa premier de sa promotion à la Huntingdon Academy et remporta une bourse d’études de quatre ans à la McGill University de Montréal, où il obtint une licence ès arts en 1899. Il s’inscrivit ensuite au collège presbytérien de la ville pour devenir ministre de l’Église presbytérienne au Canada (EPC). En 1902, il décrocha une licence en théologie et la médaille d’argent, et prononça le discours d’adieu lors de la remise des diplômes.
Au collège, mis à part le directeur partisan d’un calvinisme strict, Donald Harvey MacVicar*, les professeurs étaient modérément conservateurs. La position de l’établissement convenait apparemment très bien à Brown, qui demeurerait un conservateur centriste tout au long de son ministère. Ses écrits durant sa période de formation révèlent un étudiant consciencieux qui soutenait fermement les missions chrétiennes. Il montrait un désir sincère de travailler avec d’autres protestants, et participait à des exercices de coopération avec les collèges de théologie anglicans, méthodistes et congrégationalistes des environs. Pratiquant énergiquement les sports interuniversitaires (avec le lancer de poids comme spécialité), Brown incarnait le modèle par excellence d’un christianisme centré sur la santé du corps. Il manifesta très tôt un intérêt pour la politique, et ses jeunes idées annonçaient le radicalisme des Prairies qui caractériserait sa vie. Il décria les coûts croissants des études supérieures qui excluaient « le fils du pauvre » : « Toute chose qui crée un fossé entre les riches et les pauvres, qui ne traite pas l’homme comme un homme, est mauvaise en soi et doit complètement être réformée. »
Ordonné le 30 septembre 1902, Brown partit œuvrer en qualité de missionnaire dans des camps de bûcherons au nord de l’Ontario. Sa sympathie pour les personnes marginalisées, son physique d’athlète et sa maîtrise du français le rendaient tout à fait apte à la tâche. L’une de ses filles se souviendrait qu’il marchait régulièrement de 15 à 30 milles par jour pour atteindre l’endroit où il prêchait le soir. À la fin de son mandat, en avril 1903, il obtint une affectation comme missionnaire dans des campements de mineurs en Colombie-Britannique, surtout à New Denver. Dans un rapport de mars 1904, il nota que « le travailleur robuste moyen […] fréquentera une église, où il reçoit un accueil sans prétention, où le service est simple, le sermon bon, et le ministre un homme viril ». Grâce à ses efforts, la mission de New Denver, alors seulement dotée d’une église, acquit également une résidence. Cette situation plus stable permit à Brown d’épouser Martha Ann Rowat, fille du ministre presbytérien d’Athelstan. En 1906, on le nomma modérateur du consistoire presbytéral de Kootenay. La même année, il acheva avec succès un mémoire de maîtrise, intitulé « Socialism in British Columbia », pour le département d’économie et de science politique de la McGill University.
À New Denver, Brown ferait le plus court de ses pastorats. En 1907, on l’autorisa à démissionner pour s’inscrire au United Free Church College de Glasgow. Au terme d’une session, il retourna à Athelstan. Armé de trois diplômes – et du prestige d’avoir mené des études universitaires supérieures en Écosse –, il reçut des offres d’influentes chaires de tout le Canada. Il choisit plutôt de servir l’église presbytérienne Knox de Red Deer, dans l’arrière-pays sauvage de l’Alberta. Formé récemment, soit en 1904, le consistoire presbytéral de Red Deer ne disposait initialement d’aucune charge pastorale autonome. À l’arrivée de Brown, en avril 1908, l’église Knox, qui comptait 143 communiants, était la plus importante et donnait le meilleur salaire. Dans ce jeune consistoire rudimentaire, Brown se sentait dans son élément ; il y demeurerait pendant 17 ans.
Brown était avant tout un pasteur infatigable. Organisateur des missions intérieures du consistoire, il travailla aussi sans relâche pour établir des postes éloignés dans le centre de l’Alberta. On attribue généralement l’ouverture de l’Ouest canadien au presbytérianisme au révérend James Robertson*, premier surintendant des missions de l’EPC dans cette contrée. Malgré un talent indéniable, ce dernier n’aurait cependant pu mener ses réalisations à bien sans une phalange d’hommes forts de corps et d’esprit, dotés de l’idéalisme et du zèle évangélique nécessaires pour résister aux rudes conditions de vie dans les régions éloignées. Brown, de la même trempe que Robertson, l’aida à développer ses premiers efforts. Il s’impliqua aussi énergiquement dans sa communauté à l’échelle locale et provinciale. Non content de servir son Église et ses établissements d’enseignement dans divers postes de direction, il se joignit également à un certain nombre d’organismes voués à l’amélioration de la ville et à la réforme sociale, dont le Bureau de commerce de Red Deer et le Social Service Council of Alberta. Il appartenait en outre à des clubs sportifs et à d’autres associations de Red Deer.
En 1909, Brown s’affichait déjà au sein de l’EPC comme opposant à l’unification des Églises. À l’aube du nouveau siècle était apparu un mouvement, de plus en plus puissant, qui prônait la formation d’une seule Église protestante au Canada. Une importante minorité de presbytériens désapprouvaient l’idée [V. Clarence Dunlop Mackinnon ; Ephraim Scott]. Brown et de nombreuses autres personnes tiraient une grande fierté de l’héritage écossais de leur Église et n’avaient pas hâte de le voir s’affaiblir. Les tactiques autoritaires des forces en faveur de l’unification les rebutaient encore davantage. Afin d’éviter une union organique, Brown proposa une forme de fédéralisme qui envisageait une coopération planifiée entre les confessions. En outre, il organisa et défendit un modèle de travail pour la collaboration dans les territoires de mission du nord de l’Alberta. Ses efforts restèrent vains : plus de la moitié des paroisses et des ministres presbytériens du pays se joignirent à la nouvelle Église unie du Canada en 1925. Les presbytériens dissidents entreprirent alors de reconstruire leur Église. Si celui qu’on appelait Brown of Red Deer faisait partie des figures éminentes de l’EPC avant l’union, il deviendrait un géant dans l’Église qui perdura. Il avait agi à titre de délégué dans l’assemblée générale déterminante qui avait assisté à la fracture du presbytérianisme canadien. Dans l’assemblée qui poursuivit ses activités, on le choisit comme membre du conseil général des missions.
Pendant son combat contre l’unification des Églises, Brown s’était senti particulièrement offensé par la manière dont (en usant de manœuvres procédurales) on avait convaincu certains presbytériens, notamment ceux de la Saskatchewan, de soutenir le projet. À Saskatoon, seule une des quatre églises presbytériennes n’intégra pas l’Église unie. Les dissidents des trois autres s’associèrent pour former une nouvelle congrégation – l’église presbytérienne St Andrew – et lancèrent un défi audacieux à Brown, principal ecclésiastique de l’Ouest opposé à l’unification. Toujours prêt à se battre, il l’accepta.
Brown joua un rôle crucial dans la reconstruction du presbytérianisme en Saskatchewan, tout en poursuivant ses tournées pastorales régulières et ses activités communautaires habituelles. La congrégation, plus grande, de St Andrew, mina ses efforts. Restée autonome, l’EPC subsistante constituait un mélange plutôt instable des éléments les plus invétérés de l’organisation d’avant 1925. Elle comprenait des partisans du libéralisme moderniste d’une part, et des défenseurs d’un confessionnalisme étroit et d’un millénarisme fondamentaliste de l’autre. Walter Williamson Bryden*, du Knox College de Toronto, y menait le mouvement de renouveau théologique et embrassait les idées de l’affable théologien suisse Karl Barth. Sans les tentatives d’autres presbytériens importants, dont Brown, pour trouver un équilibre entre le libéralisme et le conservatisme au sein de l’Église, Bryden n’aurait cependant exercé aucune influence.
En 1931, Brown fut élu modérateur de l’EPC pour un mandat d’un an. Normalement, la personne désignée à cette fonction présidait la réunion annuelle de l’assemblée générale, puis faisait des tournées au Canada ; elle voyageait aussi souvent à l’étranger pour constater en personne le travail de l’Église outre-mer. En janvier 1932, en dépit de douleurs arthritiques de plus en plus intenses, Brown – qui ne se laissait jamais tenter par la voie facile – s’embarqua pour Formose (Taiwan), le Japon, la Corée et la Mandchourie (république populaire de Chine). Dans le nord de Formose, il célébra le soixantième anniversaire de la mission que George Leslie Mackay* y avait fondée. Le Japon avait récemment envahi la Mandchourie, et le passage de Brown dans ce territoire chinois contesté coïncidait avec les réunions d’une commission de la Société des nations au sujet de la crise. Brown critiqua durement la timidité de l’organisme, qui ne recommandait pas explicitement de mesures pour faire cesser l’agression japonaise.
Brown fut le premier modérateur en activité de l’EPC à visiter la terre de mission florissante située dans le nord de Formose, cédée en 1926 aux presbytériens qui avaient refusé de se joindre à l’Église unie. Sur l’île, un certain nombre de missionnaires canadiens et de collègues nourrissaient des sentiments pro-union ; Brown perçut leur manière de présenter le libéralisme théologique et d’entraver les efforts des presbytériens comme profondément choquante. Le 11 septembre 1933, il livra contre eux un témoignage virulent devant le comité de l’assemblée générale chargé d’évaluer le travail effectué sur l’île. Dans son exposé, Brown se qualifia de « 100 pour cent évangélique ». Il ne voulait pas ainsi signifier qu’il jugeait historiquement exactes toutes les Saintes Écritures, ni qu’il partageait le point de vue des millénaristes, mais plutôt qu’il croyait que « la raison [d’être] principale et la pertinence des missions étrangères [résidaient dans] le caractère unique de la voie du salut des pécheurs par Jésus-Christ ».
Les déplacements les plus simples devenaient de plus en plus pénibles pour Brown. Sa condition l’obligea à transmettre son message sans nécessairement se présenter en personne. Il commença donc à diffuser son sermon dominical du matin ou du soir sur les ondes de la radio CFQC de Saskatoon, ce qui lui donna accès à un plus grand auditoire. En outre, il se mit à utiliser l’imprimerie : en 1937, il publia une série de 15 tracts, chacun consistant en un prêche qui avait connu un succès particulier. Ces tracts laissent entrevoir l’âme de Brown et représentent avec justesse le contenu passablement dense de ses homélies sur des questions théologiques et d’autres thèmes. Il ne considérait manifestement pas la chaire comme un forum conçu pour traiter exclusivement de préoccupations purement spirituelles.
Ayant étudié dans deux universités (il refusa toutefois les doctorats honorifiques en théologie que voulurent lui décerner le collège presbytérien de Montréal et le Knox College), Brown se tenait au fait des écrits de son époque dans le domaine de la théologie. Il se pencha aussi sur la relation entre la science et la foi. Sa critique du darwinisme, quoique superficielle, montre une certaine connaissance des débats intellectuels contemporains. Il ne tenta pas d’interpréter les 11 premiers chapitres du livre de la Genèse de manière strictement historique, mais chercha à trouver un compromis entre deux visions : croyance en la création du monde en six jours (dont il ne fait pas mention), et approbation philosophique du développement de la vie sur terre par le fruit du hasard.
Le renouveau de l’EPC en Saskatchewan avait d’abord obtenu un succès considérable : le nombre de « lieux de prédication », dont les missions, passa de 15 au moment de l’union à 94 en 1929. Le climat d’insécurité profonde que déclenchèrent la grande dépression et une sécheresse persistante dans les Prairies vint toutefois freiner le progrès. Brown géra les conséquences de ces événements pour l’Église et s’impliqua activement dans les efforts pour atténuer le sort pénible des chômeurs, dont beaucoup s’étaient retrouvés à la rue par la force des choses. « Au plus profond de son cœur, observerait-on dans une nécrologie, il ressentait la misère […] de ceux qui avaient subi des pertes dans la débâcle économique générale. » La réaction inhumaine des institutions de tous les ordres de gouvernement l’indignait : « Pourquoi en tant que peuple, demanda-t-il, ne nous levons-nous pas et ne réclamons-nous pas du gouvernement, qui est notre serviteur, une aide immédiate pour ces hommes itinérants ? » Les appels au capitalisme de non-intervention le troublaient tout autant. S’étant intéressé très tôt au socialisme, il défendait désormais une coopération du juste milieu. Le mouvement coopératif, qui rejetait la nationalisation, proposait que les travailleurs amassent eux-mêmes le capital pour l’agriculture et l’industrie, et qu’ils participent en partie à sa gestion. Ainsi, Brown s’engagea dans le mouvement des ouvriers agricoles qui s’unissaient alors pour former des entités telles que la Fédération du Commonwealth coopératif [V. James Shaver Woodsworth*]. Il reçut cependant peu d’appuis au sein de l’EPC pour son militantisme social.
Brown était un idéaliste. En conclusion d’un sermon qui constituait essentiellement un réquisitoire contre le capitalisme, il énonça ce qu’il appela une « prophétie », et prédit l’arrivée, « en l’espace de vingt ans », de l’âge d’or d’un renouveau religieux individuel et d’une coopération nationale et internationale. Ses remarques demeurent difficiles à interpréter. Il anticipa correctement les horreurs de la Deuxième Guerre mondiale (« nous nous précipitons dans l’enfer du diable et de ses démons qui changera ce monde en boucherie humaine »), et croyait peut-être réellement que l’humanité comprendrait la leçon et fonderait une nouvelle société sur de meilleurs principes. À propos de la participation à la guerre, il sollicita une position médiane et émit une mise en garde contre les « chauvinistes, qui [voulaient] faire la guerre à tout prix », et les « pacifistes, qui ne combattr[aient] en aucune circonstance ». Brown souhaitait que ses fidèles soient des « militants, qui cro[yaient] à la paix et la demand[aient] et soient prêts à lutter pour obtenir les conditions qui rend[raient] la paix possible ». La « lutte » signifiait pour lui un travail acharné, de la part des dirigeants et des membres ordinaires des Églises chrétiennes, en faveur du désarmement, de la coopération internationale et d’une compréhension mutuelle. Dans sa façon d’aborder la guerre, comme dans les questions doctrinales et économiques, Brown essayait de naviguer entre les extrêmes.
Captivé par la politique, Brown finit par céder aux pressions immenses de ses admirateurs et brigua un siège au Parlement sous la bannière indépendante du United Reform Movement, coalition ad hoc de travailleurs et d’agriculteurs membres de la Fédération du Commonwealth coopératif, du Crédit social et du Congrès des métiers et du travail du Canada. Il remporta facilement l’élection partielle du 18 décembre 1939 à Saskatoon. Son entrée en politique arriva toutefois à un moment inopportun : les hostilités avaient éclaté en Europe le 3 septembre 1939 et le Canada s’était engagé dans le conflit le 10 septembre. Le premier ministre William Lyon Mackenzie King* réunit le Parlement afin de le dissoudre ; il souhaitait déclencher de nouvelles élections dans le but, affirma-t-il, d’obtenir un mandat pour diriger le Canada pendant la guerre. Ainsi, le Parlement siégea seulement une journée, le 25 janvier 1940. Brown (présenté notamment par Agnes Campbell Macphail*) faisait partie des nouveaux venus. Il était alors si malade qu’il devait rester à Ottawa chez sa fille mariée. Grâce à ses partisans, il sortit à nouveau vainqueur des élections générales du 26 mars 1940, et avec encore plus de voix. Il mourut cependant le 1er avril suivant, emporté par la cardiopathie rhumatismale qui l’affligeait depuis longtemps ; sa femme, Martha Ann, lui survivrait plus de 40 ans.
Dans quelques éloges funèbres, on qualifia Brown d’homme courageux, éloquent et direct. « Il se battait durement pour les causes qu’il tenait pour justes, selon un commentateur, et, toute sa vie, défendit bravement les opprimés. » Brown s’exprima ainsi à son propre sujet : « Je me définis moi-même comme un orthodoxe radical. Par là, j’entends que je suis orthodoxe en religion ; je crois aux grandes doctrines fondamentales de notre foi chrétienne comme elles sont généralement comprises. En ce qui a trait à la réforme sociale, économique et politique, je suis un radical. » La personnalité de Brown consistait en un curieux mélange d’extrême confiance en soi et d’humilité. « Je tire la majeure partie de ma philosophie de vie de ma propre expérience ou des réflexions sur mes observations de l’expérience d’autrui. » L’accent que mettait Brown sur le jugement individuel et l’expérience personnelle sonne étrangement contemporain. Il montre à la fois la force de ses enseignements, nés de ses convictions intimes, et leur faiblesse, qui se traduit par un trop grand éclectisme. S’il pouvait se forger des opinions, ses auditeurs le pouvaient aussi.
Walter George Brown mena une vie bien remplie à titre d’érudit, de missionnaire, de pasteur, de réformateur social et de député. L’article nécrologique paru dans le procès-verbal de l’assemblée générale de l’EPC en 1940 résume bien le personnage : « Comme il fut peut-être le ministre le plus connu de toute notre Église, nous n’avons pas besoin de mentionner ses qualités exceptionnelles, il suffit de dire qu’il se comportait comme un homme responsable, qu’il était un bon soldat […] de Jésus-Christ, qu’il était éloquent et versé dans les Écritures, qu’il venait en aide aux Timothée et aux Tite, et qu’il s’occupait des pauvres et des indigents. »
Un recueil de 15 sermons de Walter George Brown a paru sous le titre Series of sermon pamphlets ([Saskatoon, 1937]). La seule autre publication connue de Brown, rédigée en collaboration avec A. C. Macphail, a été publiée par le United Reform Movement of Saskatoon, sous le titre Unity means victory ! (Saskatoon, [1940 ?]).
Des documents d’archives relatifs à Brown sont conservés à BAC (R5953-0-5) ; à l’église presbytérienne Knox, Red Deer, Alberta ; aux Arch. de l’Église presbytérienne au Canada, Toronto (Walter G. Brown fonds) ; et à l’église presbytérienne St Andrew, Saskatoon. En mai 2014, Donald Grace, petit-fils de Brown, et Andrew Billingsley, petit-neveu de Brown, nous ont fourni des renseignements personnels.
Calgary Herald, 1908–1925.— Edmonton Journal, 1908–1925.— Red Deer News, 1908–1925.— Saskatoon Star-Phoenix, 1925–1940, en particulier 3 avril 1940.— J. R. Brown Montgomery, « Brown of Red Deer : a daughter remembers », Presbyterian Record (Toronto), novembre 1996 : 23–25.— N. K. Clifford, The resistance to church union in Canada, 1904–1939 (Vancouver, 1985).— Église presbytérienne au Canada, General Assembly, Acts and proc. (Toronto), 1903–1940.— D. C. McLelland, « The response of the Presbyterian Church in Canada to the economic depression of the years 1929–1939 with special reference to official documents » (mémoire de m.th., Knox College and Univ. of Toronto, 1970).— J. M. Pitsula, « W. G. Brown : “righteousness exalteth a nation” », Saskatchewan Hist. (Saskatoon), 33 (1980) : 56–70.— Presbyterian College Journal (Montréal), 1899–1904.— Ephraim Scott, « Rev. W. G. Brown », Presbyterian Record, mai 1940 : 131–133.
Dan Shute, « BROWN, WALTER GEORGE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 2 mai 2025, https://www.biographi.ca/fr/bio/brown_walter_george_16F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/brown_walter_george_16F.html |
Auteur de l'article: | Dan Shute |
Titre de l'article: | BROWN, WALTER GEORGE |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2025 |
Année de la révision: | 2025 |
Date de consultation: | 2 mai 2025 |