membre de la Poor Mans Friend Society et il se montra très généreux pour la société des aveugles et aussi pour les autres œuvres de charité qui, au xixe siècle
dans nombre de journaux et revues de son époque. Dans la liste suivante, nous mentionnons quelques-unes de ses plus importantes publications : « The man who made the Montreal Star : Hugh Graham
., Univ. of N.B., Fredericton, 1985), chap. 3–4.— K. F. Trombley [Tremblay], Thomas Louis Connolly (1815–1876) : the man and his place in secular and ecclesiastical history (Louvain
painted between 1842 and 1854 by the late Mrs William Kennedy [...] of St Andrews and Virden, Manitoba » conservé dans la Rare Book Room du Manitoba Museum of Man and Nature Library, à Winnipeg
Simpson, overseas governor of the Hudson’s Bay Company ; a pen picture of a man of action (Toronto et Vancouver, 1944), 194–199, 217–219.— Morton, Manitoba (1957).— A. Ross, Red
massacré M. l’abbé Darveau et Plantation d’une croix », les Cloches de Saint-Boniface, 13 : 185–186.— « Quatre événements importants à Camperville, Man. [...] », les
. Saywell, édit. (Toronto, 1960).— Waite, Man from Halifax.— W. S. Wallace, The memoirs of the Rt. Hon. Sir George Foster, p.c., g.c.m.g
de Sinclair, franchit à nouveau la Kootenay et, empruntant le col du White Man, il atteignit la vallée de la rivière Bow, non loin de l’endroit où s’élève aujourd’hui Canmore, en Alberta. De là, il se
avoir remis son épée de cérémonie (qui se trouve maintenant au Manitoba Museum of Man and Nature) ; il passa la frontière américaine au printemps de 1837. Pendant son séjour à la Rivière-Rouge, il
un parfait exemple du self-made-man. Pauvre au début de sa vie, il s’est enrichi en misant sur le développement résidentiel de la banlieue de Montréal et il a fait fructifier ce capital en diversifiant
théories des siècles passés, d’adopter à la légère, par amour de la nouveauté et par manie, toutes les hypothèses et les théories nouvelles que l’on pourrait imaginer [...] Au reste, il est connu dans tout
Township and town from the time of the red man to the present, [M. H. S. Wetherell, compil.] (Thorold, Ontario, 1897-1898), et dans [Edmond DeCew], « Reminiscences of Captain
the Secession Church (2 vol., Édimbourg, 1849), 2.— Isabel [Murphy] Skelton, A man austere : William Bell, parson and pioneer (Toronto, 1947).
, 1979).— D. R. Williams, «... The man for a new country » : Sir Matthew Baillie Begbie (Sidney, C.-B., 1977).— R. T. Wright, Barkerville, Williams Creek, Cariboo : a gold
., Norman, Okla., 1961), 2 : 369.— K. W. Porter, John Jacob Astor, business man (2 vol., Cambridge, Mass., 1931 ; réimpr., New York, 1966), 2 : 710.— Sylvia Van Kirk
Caribbean relations (Kingston, Jamaïque, 2001).— William Christian, Parkin : Canada’s most famous forgotten man (Toronto, 2008).— S. D. Clark, The Canadian Manufacturers
daté) et Song of the relief man (1933).
Les essais et les écrits en prose de Freeman attestent ses rapports étroits avec les cultures des
homme excentrique et plein de manies, reconnu pour sa violence verbale. Il n’épargnait à personne – patients, connaissances comme étrangers – son humour rêche et même brutal. Une fois, semble-t-il, il
première fois dans le foyer loyaliste de Shelburne. Un des hommes qu’il amena à la foi méthodiste, James Man*, devait connaître une longue et remarquable
. (Halifax), 8 (1892–1894) : 3–269 ; réimpr. sous le titre History of Halifax City (Belleville, Ontario, 1973).— Dominion Illustrated (Montréal), 26 avril 1891.— The old man