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. i : 173–187.— Tanguay, Dictionnaire, VI : 337s.— J.-E. Roy, Histoire du notariat, I : 48.— P.-G. Roy, La ville de Québec, I : 293
 
Québec, RAPQ, 1943–44 : 113.— Les notaires au Canada, RAPQ, 1921–22 : 32.— Tanguay, Dictionnaire, I : 507.— J.-E. Roy, Histoire du
 
Famille Renaud d’Avène Des Méloises (Lévis, 1907).— Tanguay, Dictionnaire, I : 514 ; VI : 538
 
aucune trace de cette communauté et, à part Gauthier et Mgr Tanguay qui ne font que mentionner le fait, les auteurs et les archives demeurent muets au sujet d’une telle fondation
 
(O’Callaghan et Fernow), IX.— Webster, Acadia.— Le Jeune, Dictionnaire, II : 454.— Tanguay, Dictionnaire, I : 523 ; VII : 9.
Juchereau, Annales (Jamet).— A. Roy, Inv. greffes not., VII : 89.— Tanguay, Dictionnaire.— Casgrain, Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec, 321
 
Tanguay, fille de Georges Tanguay, homme d’affaires de Québec, et ils eurent trois fils ; décédé le 9 juillet 1928 à l’hôpital Royal Victoria de Montréal
 
Tanguay*, Claverie n’a pas remplacé Estèbe au Conseil supérieur en 1755 ou 1756. En effet, ce n’est que le 1er février 1758 qu’Estèbe abandonnait cette charge, alors que Claverie était déjà
 
, iiie partie, 346–356, 409–420.— Le Jeune, Dictionnaire.— Tanguay, Répertoire, 109 (Tanguay fait erreur sur la personne de Daudin et le
 
confusion entoure Constantin Delhalle. Cyprien Tanguay* l’a confondu avec le père Nicolas-Bernardin
 
Tanguay), dans la paroisse Notre-Dame de Montréal ; elle mourut à l’île Sainte-Thérèse le 24 octobre 1687. Dugué fut inhumé à Montréal le 18 décembre 1688. Sept de ses neuf enfants lui survécurent
 
. Donald Chaput Selon Tanguay, Dictionnaire, IV : 382, un Louis Groston de Saint-Ange fut baptisé le 16 oct
 
semble bien que les archives ne fassent plus état de l’activité de Guion. De toute façon sa carrière fut brève puisque, selon Tanguay, il était déjà mort à la naissance de son cinquième enfant en juillet
 
contemporain de Lambert. Tanguay* rapporte le changement de nom, tandis que Morisset relate qu’il s’agissait d’une pratique courante du début du
 
. Les origines de Pierre-Gabriel Le Prévost sont obscures. D’après Cyprien Tanguay*, il serait le fils de Jacques Le Prévost et de
 
siècle (6 vol., Paris, 1828–1845 ; réimpr. Turin, Italie, 1968).— Tanguay, Dictionnaire, V : 390 ; Tanguay identifie la femme de Levasseur comme étant Marie-Anne Desmarest, ce
 
LOZEAU (Loiseau, Lozaus), JEAN-BAPTISTE (Jean) (Cyprien Tanguay* et
 
des Canadiens français (1608–1760) (2 vol., Montréal, 1958), II.— P.-G. Roy, Inv. jug. et délib., 1717–1760, III, IV, passim.— Tanguay
 
 ; Inv. ord. int., I : 136 ; III : 42, 199.— Tanguay, Dictionnaire.— Vachon, Inv. critique des notaires royaux, RHAF, XI (1957–1958) 94, 272.
 
, 129.— P.-G. Roy, Inv. concessions, IV : 75.— Tanguay, Dictionnaire.— Ægidius Fauteux, La famille d’Ailleboust (Montréal, 1917), 116–120.— P.-G
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