BENGOUGH, JOHN WILSON, caricaturiste, rédacteur en chef, éditeur, auteur, conférencier et homme politique, né le 7 avril 1851 à Toronto, fils de John Bengough et de Margaret Wilson ; le 30 juin 1880, il épousa dans cette ville Helena (Nellie) Siddall (décédée en 1902), puis le 18 juin 1908, à Chicago, Mme Annie Robertson Matteson ; aucun enfant ne naquit de ces mariages ; décédé le 2 octobre 1923 à Toronto.

Le 24 mai 1873, à l’âge de 22 ans, John Wilson Bengough lançait le premier numéro du Grip. Durant 20 ans, cet hebdomadaire torontois publierait des calembours, des blagues, des satires et surtout des dessins humoristiques sur à peu près tous les sujets dont on discutait au Canada à la fin du xixe siècle. Baptisé Grip comme le corbeau qui accompagne régulièrement le personnage central, simple d’esprit, de Barnaby Rudge, roman de Charles Dickens paru en 1841, ce petit magazine s’inspirait probablement du Punch de Londres, dont Bengough admirait beaucoup le caricaturiste, John Tenniel. Rédacteur en chef et éditeur du Grip, Bengough en était aussi le principal auteur. Sa présence s’y manifestait dans d’innombrables poèmes, dans des calembours choquants, dans des paragraphes satiriques de même que dans les « croassements et coups de bec » du corbeau. En général, son humour n’était pas des plus raffinés : « Pour cultiver le sentiment national au Canada, faites pousser de l’orge », « Menace fénienne : on craint une pénurie de whisky ». Toutefois, c’était surtout ses caricatures et dessins humoristiques qui retenaient l’attention dans le Grip. Certains occupaient une pleine page. Beaucoup révélaient l’influence de Thomas Nast, le grand caricaturiste républicain du Harper’s Weekly de New York. Ainsi, Bengough transforma l’éléphant républicain de Nast en symbole de la Politique nationale de sir John Alexander Macdonald*. D’autres, glissés çà et là comme pour remplir les blancs, étaient de savoureux commentaires sur la société ou sur des individus.

« Le calembour est plus puissant que l’épée », proclamait le Grip. Pour Bengough, faire rire visait un but déterminé. « Les forces légitimes de l’humour et de la caricature, expliqua-t-il en 1888, peuvent et doivent servir les plus hauts intérêts de l’État et […] la revue comique dont le seul but est d’amuser ses lecteurs sur le coup manque à sa mission la plus haute. » Aussi bien moraliste qu’humoriste, Bengough voulait non seulement divertir son public, mais aussi l’instruire. Étant donné ses antécédents et ses convictions, la chose ne surprend pas.

Issu d’un milieu modeste, Bengough ne fit pas de grandes études. Ses parents, des immigrants – un ébéniste écossais et sa femme irlandaise – l’envoyèrent à l’école publique et à la grammar school de Whitby, où la famille vécut un temps. Ensuite, il fit un court stage chez un avocat de cette localité. Après s’être initié à l’imprimerie à la Gazette de Whitby, il se rendit à Toronto, où il devint en 1871 ou en 1872 reporter subalterne au Globe de George Brown*. Amorcer sa carrière dans un journal du Parti libéral était normal dans son cas : son père était un militant reconnu de ce parti. Même s’il proclamerait haut et fort l’impartialité du Grip et soutiendrait parfois des candidats indépendants ou des représentants du Third Party d’Alexander Sutherland*, il retournerait toujours au Parti libéral, surtout après la fermeture de sa revue. Ses dessins paraîtraient dans une grande variété de périodiques canadiens et étrangers, mais une bonne partie de son revenu proviendrait de journaux libéraux et de publications du parti. Son ambition d’accéder au Sénat serait gentiment écartée par sir Wilfrid Laurier*, ce qui n’entamerait pas sa loyauté.

Dans les premières années, le Grip n’avait pas d’orientation politique précise. Accabler George Brown de sarcasmes lui permettait de se prétendre indépendant, mais il n’était pas tendre non plus avec les conservateurs. Sa sévérité envers eux s’accentua après le scandale du Pacifique, en 1873, qui permit à Bengough d’exprimer, surtout par des illustrations, une indignation sans bornes. Ce fut d’ailleurs à la faveur de cette controverse que le Grip conquit un vaste lectorat. Souvent reproduites, les caricatures dessinées par Bengough pendant cette période captaient les traits dominants de Macdonald. Son nez proéminent, son regard sournois, sa coiffure à la mode et son allure nonchalante contrastaient, par exemple, avec l’air intègre du presbytérien écossais Alexander Mackenzie*. « Je reconnais volontiers avoir pris l’argent et corrompu les électeurs, déclare le Macdonald de Bengough. Où est le mal ? » Bien sûr, il ne posait cette question que pour la forme.

Bengough continuerait de railler les conservateurs avec des mots et des images – Macdonald resterait sa cible favorite jusqu’à son décès en 1891 et, à cette occasion, Bengough lui rendrait hommage dans un poème –, mais au cours des années 1880, le programme réformiste du Grip se précisa. Celui-ci s’appuyait sur les vues religieuses de Bengough et rassemblait toutes sortes d’idées prônées à la fin du xixe siècle par les critiques de la société dans le monde anglophone. Diffusées par Bengough mais non pas conçues par lui, ces formules visaient à régénérer la société par l’adoption d’attitudes et de mesures parfois regroupées sous l’appellation de christianisme appliqué ou de Social Gospel.

Élevé dans le presbytérianisme, Bengough n’en avait retenu, semble-t-il, que quelques-uns des dogmes. Dans sa maturité du moins, son credo privilégia l’éthique aux dépens de la doctrine. À l’instar de bien d’autres réformateurs sociaux, il soutenait que la prédication basée sur la théologie reflétait un détachement du monde terrestre, attitude qu’il jugeait conservatrice, alors que la prédication moraliste portait sur l’ici et le maintenant. Dans un poème écrit en 1875, il critiqua les Églises « Dont les prédicateurs, par de bien trop doctes sermons / S’efforcent de rendre les hommes sages plutôt que bons ».

Cette religion avant tout morale ne s’enracinait pas dans une solide compréhension des courants intellectuels qui défiaient alors l’orthodoxie. Bengough rejetait aussi bien les prétentions des « praticiens de la critique historique », qui contestaient les interprétations littérales de la Bible, que celles des darwinistes, dont le matérialisme scientifique remettait la religion en cause de manière encore plus radicale. Dans un poème satirique intitulé The higher criticism, il exprima son attachement aux simples vérités religieuses que lui avait enseignées sa mère. Le Grip mettait en scène des personnages fictifs – par exemple le professeur Spencer E. Volushin et le très révérend archidiacre Diaphanous Dixie, docteur en théologie – qui illustraient le principe moral selon lequel les convictions religieuses se mesurent à l’aune de la conduite, non de la pureté doctrinale. On comprend aisément pourquoi des écrivains comme Charles Dickens plaisaient au caricaturiste torontois.

Le programme de Bengough contenait plusieurs articles familiers à ses contemporains désireux de réformer les mœurs. Convaincu que les boissons alcooliques avaient des effets particulièrement dévastateurs chez les ouvriers, Bengough en préconisait ardemment la prohibition. Toujours dans l’intérêt de cette classe sociale, il s’opposait à ce que les tramways circulent le dimanche afin que le jour du Seigneur continue d’être consacré au repos. De même, après avoir dénoncé « [les] redresseuse[s] de torts », il revint sur ses positions et prit parti dans les années 1880 pour le suffrage féminin et l’admission des femmes dans des professions, le droit entre autres. Il alla cependant au delà de ces modestes revendications, peut-être parce que, de plus en plus, il se rendait compte que des plaies sociales comme l’alcoolisme avaient des causes plus profondes. Dès les années 1880, il avait découvert et adopté l’analyse que l’Américain Henry George faisait des maux du capitalisme industriel, alors en pleine émergence. Dans Progress and poverty, paru en 1879, ce critique de la société, dont le ton moralisateur plaisait à Bengough, expliquait que l’existence de la pauvreté au milieu de l’abondance engendrée par la science et la technique découlait de l’injustice du régime fiscal. Ce régime n’imposait pas la plus-value des terres dont la valeur augmentait non pas à cause du travail du propriétaire, mais à cause de la hausse de la demande résultant de la croissance démographique. En même temps, le tarif protecteur favorisait artificiellement les monopoles et l’inflation. Le remède de George, appelé par Bengough « la solution définitive », allait de soi : impôt unique sur la plus-value foncière et libre-échange. La découverte des enseignements de Henry George transforma pour de bon Bengough en zélateur de l’impôt unique. Dans l’espoir que l’instauration de cette mesure régénérerait la société industrielle, « ce simulacre de christianisme », il la prôna par des dessins humoristiques, des écrits et des tournées de conférences dans tout le Canada et même en Australie. Au cours de cette croisade, il attaqua la Politique nationale de Macdonald, tonna contre les monopoles, épousa la cause des agriculteurs et des ouvriers, et vilipenda tous ceux qui restaient aveugles aux lumières de Henry George, y compris son ami George Monro Grant*, recteur du Queen’s College de Kingston, et son ennemi Goldwin Smith*. Un groupe enthousiaste de réformateurs s’associa à lui : Thomas Phillips Thompson*, socialiste et adepte d’Edward Bellamy, Samuel Thomas Wood*, auteur d’articles sur l’économie et la nature dans le Globe, ainsi que d’autres membres de la Toronto Anti-Poverty Society, des Chevaliers du travail et des Patrons of Industry.

Le « solide programme » du Grip renfermait plusieurs autres éléments qui révèlent un aspect moins reluisant du réformisme protestant et l’appui de Bengough au nationalisme « anglo-saxon ». Bengough préconisait l’indépendance sous une forme républicaine de gouvernement ainsi que l’alliance de toutes les nations anglo-saxonnes. Il rejetait à la fois la « fédération impériale » du lieutenant-colonel George Taylor Denison et l’annexionnisme de Goldwin Smith, tout en partageant leur foi en la solidarité anglo-saxonne. Évidemment dirigées contre les catholiques et les Canadiens français, ses prises de position pour la séparation complète de l’Église et de l’État et pour l’anglais comme seule langue officielle témoignent crûment de son nationalisme ethnique. Bengough attendait impatiemment le jour « où, dans tout le pays, c’en sera[it] fini de la monstruosité des deux langues officielles et du double système scolaire ». « Notre vraie vie nationale, ajoutait-il, commencera ce jour-là. » Bien qu’il ait déploré les injustices sociales et économiques subies par les peuples autochtones du Canada, il n’avait que mépris pour les efforts déployés par Louis Riel* pendant la rébellion de 1885 en vue d’unir Métis et Amérindiens. Sa publication spéciale, Canadian Pictorial and Illustrated War News, était d’un nationalisme pompeux, tout comme son poème en l’honneur de la victoire du major-général Frederick Dobson Middleton* à Batoche (Saskatchewan) :

Qui aux Britanniques reproche
De n’avoir plus le sang fougueux
Doit d’abord oublier Batoche
Et comment ils vainquirent en ce lieu!

Le Grip appuya vigoureusement la condamnation à mort de Riel tout en ajoutant que les vrais auteurs de la rébellion devaient être « dénoncés et punis, qu’ils s’avèrent être d’intrigants spéculateurs de Prince Albert ou des ministres somnolents d’Ottawa ».

Il est extrêmement difficile d’évaluer l’influence du Grip sur l’opinion ou sa situation financière, car les archives sont incomplètes. Vers 1885, au plus fort de sa popularité, la revue affirmait vendre de 7 000 à 10 000 exemplaires et compter 50 000 lecteurs. Des indices prouvent que les autorités du pays lui portaient quelque attention. Alors publiée par la Grip Printing and Publishing Company, au conseil de laquelle Bengough appartenait, la revue avait connu plusieurs administrations successives, Bengough ayant d’abord été associé à Andrew Scott Irving*, puis à son frère George, et enfin à son frère Thomas et à Samuel John Moore*. Toutefois, son existence fut toujours précaire et la dépression du début des années 1890 la tua. En 1892, Bengough quitta le poste de rédacteur en chef et la nouvelle administration le remplaça par Thomas Phillips Thompson. Il reprit sa fonction un an plus tard, mais fut incapable de relancer sa revue.

Pendant un autre quart de siècle, Bengough publia des dessins humoristiques dans des périodiques très variés : le Globe de Toronto, le Toronto Daily Star, le Star de Montréal et le Saturday Night de Toronto. Il collabora aussi à des publications en faveur de l’impôt unique tels le Public de Chicago et le Square Deal de Toronto. Inaugurées dès 1874, ses « conférences illustrées au tableau noir », où il reprenait les principaux éléments du Grip – dessins, calembours, satire et défense de la réforme sociale – attiraient les foules. Il en donna dans beaucoup de grandes et petites localités du Canada ainsi qu’aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Australie et en Nouvelle-Zélande. À cela s’ajoutent ses propres publications, nombreuses. Paru en 1886, un ouvrage en deux volumes, Caricature history of Canadian politics, reprenait bon nombre des meilleures caricatures politiques du Grip. En 1898, The gin mill primer exposait ses arguments prohibitionnistes. The up-to-date primer (1896) et The whole hog book (1908) étaient des opuscules en faveur de l’impôt unique. Chalk talks (1922) rassemblait une bonne partie de ses conférences les plus populaires et exposait sa pensée réformiste. Enfin, Motley : verses grave and gay (1895) et In many keys : a book of verse (1902) présentaient des poèmes de divers tons – humour, satire politique, pathos, sentimentalisme religieux et patriotisme – qui, dans l’ensemble, ne méritent pas de passer à l’histoire.

Comme la politique avait toujours été le principal champ d’intérêt du journaliste Bengough, il était naturel qu’une participation directe à la vie publique l’ait attiré. Dans les années 1890, il fut président de la Single Tax Association de Toronto et milita au People’s Forum. Par la suite, il se joignit à la Canadian Peace and Arbitration Society et appartint au conseil d’administration de l’Industrial Exhibition de Toronto. Élu échevin du quartier no 3 de Toronto en 1907, 1908 et 1909, il profita de cette nouvelle tribune pour défendre des causes auxquelles il était associé depuis longtemps : réforme fiscale, protection des droits des locataires, amélioration des conditions d’hygiène, étatisation de l’hydroélectricité, limitation des permis d’alcool. Peut-être déçu du maigre appui reçu par certaines de ces mesures, il quitta le conseil municipal avant la fin de son troisième mandat pour se remettre à faire des tournées de conférences.

Lorsque le Canada entra en guerre, en 1914, Bengough n’était plus au faîte de sa notoriété, mais il n’avait pas sombré dans le mutisme. Il promut l’effort de guerre et appuya la conscription, qu’il tenait, à l’instar de bien des réformistes anglophones, pour l’expression la plus claire du patriotisme. Néanmoins, il resta fidèle au Parti libéral et particulièrement à William Lyon Mackenzie King*, dont il accueillit avec enthousiasme Industry and humanity […], paru en 1918. Il mit ses talents de dessinateur au service du nouveau chef libéral pendant la campagne électorale de 1921, puis retourna donner des conférences. En 1922, au retour d’une épuisante tournée dans l’Ouest, il se rendit dans les Maritimes et s’effondra en pleine représentation à Moncton, au Nouveau-Brunswick. Il mourut subitement l’année suivante chez lui, au 58 rue St Mary, à Toronto, tandis qu’il faisait une caricature pour une campagne contre le tabac. Jamais il n’avait abandonné la bonne vieille cause de la réforme morale.

La réputation de John Wilson Bengough repose surtout sur son œuvre maîtresse, le Grip, et sur les caricatures qu’il réalisa pour cette petite revue réformiste qui mettait du piquant dans le Toronto austère de la fin de l’époque victorienne. Ce n’était pas un grand artiste. Souvent bien exécutés, ses dessins étaient néanmoins surchargés, et il résistait rarement à la tentation d’expliquer et de sermonner. Quelques-unes de ses illustrations les plus frappantes étaient des emprunts, mais les caricatures qu’il publia sous le pseudonyme de L. Côté montrent qu’il pouvait avoir des styles contrastés. Grâce à son talent, l’image que l’on se fait de nombreux personnages politiques de son époque, tout particulièrement sir John Alexander Macdonald, est probablement fixée pour toujours. En outre, la passion avec laquelle il défendait son point de vue donnait du mordant à ses dessins. Les questions qu’il abordait s’en trouvaient donc simplifiées et ses lecteurs saisissaient le dilemme moral devant lequel il voulait les placer. Le recteur Grant n’était pas loin de la vérité lorsqu’il a dit de lui : « À certains moments, on pourrait le croire utopiste […] Dans le meilleur sens du terme, il est religieux. » Oui, Bengough était un faiseur de calembours animé d’une vision des « choses-telles-qu’elles-devraient-être ».

Ramsay Cook

Les papiers de John Wilson Bengough, en grande partie composés de brouillons d’articles et de discours ainsi que de coupures de journaux de diverses sources, sont conservés à la McMaster Univ. Library, Div. of Arch. & Research Coll., Hamilton, Ontario.

Les principales publications de Bengough, à part le Grip (1873–1894), comprennent : The Grip cartoons, vols. I and II, May 1873 to May 1874 (Toronto, 1875) ; The decline and fall of Keewatin : or, the free-trade redskins ; a satire (Toronto, 1876) ; Bengough’s popular readings : original and select (Toronto, 1882) ; Canadian Pictorial and Illustrated War News (Toronto), 4 avril–4 août 1885 ; A caricature history of Canadian politics [...] (2 vol., Toronto, 1886 ; une édition abrégée en un volume, préparée et présentée par Douglas Fetherling, a paru en 1974) ; The Prohibition Aesop : a book of fables, publiée à Hamilton entre1889 et 1897 ; The up-to-date primer [...] (New York et Toronto, 1896 ; réimpr. avec une introduction de Douglas Fetherling en 1975) ; The whole hog book : being George’s thoro’ going work « Protection or free-trade ? » rendered into words of one syllable, and illustrated with pictures ; or, a dry subject made juicy (Boston, 1908) ; et Bengough’s chalk talks : a series of platform addresses on various topics, with reproductions of the impromptu drawings with which they were illustrated (Toronto, 1922).

Parmi les sources secondaires, le mémoire de Stanley Paul Kutcher intitulé « John Wilson Bengough : artist of righteousness » (mémoire de m.a., McMaster Univ., 1975) est le plus complet. L’ouvrage de Carman Cumming, Sketches from a young country : the images of « Grip » magazine (Toronto, 1997), est un examen critique du journalisme du Grip, tandis que celui de Ramsay Cook, The regenerators : social criticism in late Victorian English Canada (Toronto, 1985), met Bengough en contexte avec ses contemporains. [r. c.]

AO, RG 22-305, nos15572, 48698 ; RG 80-5-0-94, nº 13355 ; RG 80-8-0-262, nº 3212 ; RG 80-8-0-912, nº 6264.— Daily Mail and Empire, 3 oct. 1923.— Globe, 2 juill. 1880.— World (Toronto), 19 juin 1908

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Ramsay Cook, « BENGOUGH, JOHN WILSON », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 11 déc. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/bengough_john_wilson_15F.html.

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Auteur de l'article:    Ramsay Cook
Titre de l'article:    BENGOUGH, JOHN WILSON
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    2005
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