story of Tom Thomson (Toronto, 1930) et Tom Thomson ; the story of a man who looked for beauty and for truth in the wilderness ([éd. rév.],Vancouver, 1967) ; R. H
, « sujet [...] au contrôle du Parlement [britannique], sans toutefois (comme l’Irlande, [l’île de] Man, et autres) être assujetti aux lois sanctionnées par le même Parlement, à moins d’y être expressément
« calomniateur le plus dur et le plus téméraire qui ait jamais manié la plume ». Il fut échevin du quartier St David de 1847 à 1849, fit partie de la commission que le gouvernement créa afin d’enquêter sur la
, notamment : E. S. Grosvenor, « A man for all times », AT&T Focus (????), oct. 1991 ; E. S. Grosvenor et Morgan Wesson, Alexander Graham Bell
Man*. La vallée de la Saint-Jean était très négligée et ses habitants étaient « profondément initiés aux mystères de l’antinomisme ». L’Île-du-Prince-Édouard n’avait accueilli aucun
Tremlett*. Le journalisme était une autre de ses occupations. On fonda le Newfoundland Mercantile Journal en 1815, et dès lors il y publia sous le pseudonyme de Man une série d’articles
. E. Cail, Land, man and the law : the disposal of crown lands in British Columbia, 1871–1913 (Vancouver, 1974).— Canada, Commission d’enquête sur la condition des mineurs et des
; Johnstone family papers ; Simon Bradstreet Robie papers ; Sir Charles Tupper papers ; White family papers ; Halifax Poor Mans Friend Society, Proceedings, 1820–1826.— PRO, CO 217/175
.— DNB.— G.-B., WO, Army list, 1783–1854.— Morgan, Sketches of celebrated Canadians, 266–268.— Wallace, Macmillan dict.— Elizabeth Graham, Medicine man to missionary
absorbés par leur quête de la « conscience sociale », en ont-ils découvert au moins des lueurs dans deux poèmes de Lampman, To a millionaire et Epitaph on a rich man ! Dans
, Riel and the rebellion : 1885 reconsidered (Saskatoon, Saskatchewan, 1983).— H. C. Klassen, « L. H. Holton : Montreal business man and politician, 1817–1867
m.a., Univ. of Manitoba, 1979).— Lila Staples, « The Honourable Alexander Morris : the man ; his work », SHC Report, 1928 : 91–100.
m.a., Univ. of Victoria, 1972).— R. E. Cail, Land, man, and the law : the disposal of crown lands in British Columbia, 1871–1913 (Vancouver, 1974).— Olive
certains cercles, il avait la réputation d’être trop sérieux et d’avoir la manie des statistiques, il savait être maître de son auditoire dans diverses circonstances. À un banquet d’honneur tenu en 1896 pour
world politics (Toronto, 1955) ; Diplomacy in the nuclear age (Toronto, 1959) ; Peace in the family of man : the Reith Lectures, 1968 (Toronto et New York, 1969
, the undersigned : a historical overview of New Brunswick women’s political and legal status, 1784–1984 (Moncton, 1985).— Waite, Man from Halifax.— W. S
insatiable besoin de flatterie, qui donnait à ses adulateurs toute latitude dans l’exercice de leurs talents, agaçaient profondément Champigny qui ne montrait que du mépris pour toutes ces manies. Par contre
, ne présenteraient « aucune trace d’agnosticisme ». Ils reparurent en 1873 à Londres dans un recueil intitulé The story of the earth and man, qui connut une douzaine d’éditions
, Man.) ; d’autres, probablement des membres de son équipe, construisirent le fort Bourbon, au nord-ouest du lac Ouinipigon, et le fort Paskoya, au nord-ouest du lac des Cèdres. Ces forts étaient
Toronto and Guelph Railway, 1840–1855 » (note de recherche, Toronto, [1986]). — H. C. Klassen, « L. H. Holton : Montreal business man and politician, 1817–1867