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Titre original :  Henry Langley (Architect) 1836 - 1907.jpg

Provenance : Lien

LANGLEY, HENRY, architecte, né le 26 novembre 1836 à Toronto, fils de William Langley et d’Esther Anderson ; décédé dans cette ville le 9 janvier 1907.

Venu d’Irlande avec sa femme et trois enfants, le père de Henry Langley, cordonnier de son état, s’était installé à York (Toronto) en 1832. Après 1846, Henry entra à la Toronto Academy, école privée non confessionnelle qui partageait des locaux avec le Knox College. Anglais, français, humanités, mathématiques, matières commerciales et principes du dessin linéaire (enseignés par Edward Claxton Bull) figuraient au programme.

Vers 1854, Langley commença un apprentissage de sept ans chez l’architecte d’origine écossaise William Hay*, qui concevait avec talent des édifices publics et des églises dans les genres les plus en vogue. Langley acquit auprès de lui un style de dessin clair, inspiré des audacieux tracés néo-médiévaux prônés par l’architecte britannique contemporain William Burges. Il s’initia aussi à l’architecture néo-gothique, et notamment aux règles du grand apologiste de ce retour aux sources, Augustus Welby Northmore Pugin, et à la « science de l’ecclesiology » (construction et décoration conformes à la mentalité de la Haute Église d’Angleterre), mise au point par la Cambridge Camden Society (future Ecclesiological Society). Hay se spécialisait dans un style néogothique quasi comparable, en principe, à l’œuvre de Frank Wills* (qui avait introduit l’ecclesiology en Amérique du Nord britannique) et des grands architectes torontois Frederic William Cumberland* et William George Storm*. Cette formation se révéla un atout inestimable pour Langley, qui, dit-on, eut à construire dans le courant de sa carrière pas moins de 70 églises en Ontario et même une à Saint-Jean au Nouveau-Brunswick.

En 1862, Hay retourna en Écosse et laissa son cabinet à Thomas Gundry, architecte et ingénieur civil formé en Angleterre à qui il s’était associé plus tôt dans l’année. Gundry prit immédiatement Langley comme associé, ce qui démontre que le talent de celui-ci était déjà prometteur. Langley dessinait les plans alors que Gundry, disait-on, était surtout compétent en matière de devis et d’évaluation. Grâce à la réputation que Hay s’était faite en architecture religieuse, Gundry et Langley exécutaient des commandes pour toutes les confessions. À ce moment-là, le symbolisme du néo-gothique en était venu à convenir tant aux Églises sacramentalistes qu’aux Églises évangéliques, qui mettaient l’accent sur la prédication. Cependant, en raison des différences de liturgie, des variantes particulièrement marquées à l’intérieur des temples témoignaient de la faculté d’adaptation de Langley. Ainsi, l’église baptiste Alexander Street de Toronto (construite en 1866 mais démolie depuis) consistait en une salle dégagée avec tribune centrale entourée de sièges sur trois côtés. Par contre, l’église catholique St Patrick, rue Dummer, construite en 1869–1870 (aujourd’hui Our Lady of Mount Carmel, rue St Patrick), s’ouvre, comme l’exigeaient à l’époque les rites de la messe, sur une longue nef flanquée de bas-côtés étroits, qui donne sur un sanctuaire surélevé et arrondi en abside. À l’est de Toronto, trois églises anglicanes de la même décennie illustrent comment Langley jouait des contraintes de matériau et d’échelle tout en respectant le schéma de l’ecclesiology : All Saints à Whitby, assez grande église de brique construite en 1865–1866, St John à Port Hope, église de pierre de dimensions moyennes construite en 1867–1868 et St Thomas à Brooklin, chapelle modeste mais exemplaire en planches et couvre-joints construite en 1869–1870.

Un ouvrage tel que l’église anglicane St Peter, située rue Carlton à Toronto et datant de 1865–1866, témoigne des efforts déployés par Gundry et Langley pour adapter les modèles ruraux de l’ecclesiology à un cadre urbain. Cette construction de type chapelle – sans bas-côtés à l’intérieur et au profil simple à l’extérieur, si l’on excepte un porche bas sur les côtés sud et ouest, et un campanile sur le pignon ouest – s’inspirait de l’église St Michael de Longstanton, près de Cambridge, en Angleterre, prototype du xiiie siècle dont les disciples de Pugin et les ecclesiologists approuvaient depuis longtemps l’imitation. Le corps de l’église St Peter, en brique rouge avec détails de l’appareil en brique blanche, était un exemple de la polychromie prônée depuis peu pour les églises urbaines par un ecclesiologist influent, George Edmund Street. L’église St-Stephen-in-the-Fields de Toronto, construite par Thomas Fuller* en 1858 et restaurée par Gundry et Langley après un incendie en 1865, était d’un modèle semblable, sauf qu’elle était en brique rouge et granit gris.

Langley eut l’honneur de terminer les deux cathédrales de Toronto. En 1865, pendant son association avec Gundry, il dessina un clocher et une flèche pour la cathédrale catholique St Michael. Leur silhouette très ornementée, ponctuée de crochets, complétait bien la structure inspirée du gothique rayonnant construite de 1845 à 1848 d’après des plans de William Thomas*. En 1872, Langley exécuta aussi un clocher et une flèche, plus sobres, pour la cathédrale anglicane St James, et en finit les porches par la même occasion. Dans ce cas, cependant, il semble avoir emprunté aux plans de William George Storm.

Outre les bâtiments religieux, une des principales commandes de Gundry et Langley fut la résidence du lieutenant-gouverneur à Toronto, construite de 1867 à 1869 et démolie à présent. Cette commande représentait une marque de faveur de la part du gouvernement provincial. La résidence, plutôt austère, était un exemple imposant du style Second Empire, un des premiers au pays. Le bâtiment, auquel un toit mansardé donnait une silhouette remarquablement élancée, se déployait symétriquement de chaque côté d’une tour. Langley disait que la résidence était « conçue dans le style d’architecture française moderne qui a[vait] largement été adopté dans les villes américaines et gagn[ait] rapidement de la faveur en Angleterre », énoncé qui indique que les architectes canadiens s’inspiraient de plus en plus de sources américaines.

Parmi les ouvrages commerciaux de Gundry et Langley, il en est un qui mérite une mention : l’entrepôt de marchandises sèches de John Macdonald*, construit à Toronto en 1862–1863. Remarquable par son « imposante organisation et [ses] proportions gigantesques », cet immeuble en pierres de cinq étages, de style gothique italien, écrasait ses voisins de la rue Wellington. Quand la commande en avait été passée, on avait crié à l’extravagance, mais bientôt, il suscita l’envie. Nombre d’hommes d’affaires se firent construire des entrepôts ou des édifices à bureaux immenses et ostentatoires, dont beaucoup par le cabinet de Langley.

Après la mort précoce de Gundry en 1869, Langley exerça seul durant trois ans ; ce fut l’une des périodes les plus productives de sa carrière. Son neveu Edmund Burke* et Frank Darling*, qui avaient commencé leur apprentissage chez lui vers 1865 et allaient se ranger parmi les architectes les plus réputés du pays, l’assistaient. Après un concours décevant en 1868–1869, Langley, bon deuxième, arracha au gagnant, William George Storm, la commande de l’église Metropolitan du square McGill, à Toronto. Ce qu’il proposa était virtuellement une cathédrale du méthodisme dans le style gothique français du xive siècle. L’extérieur, en brique blanche agrémentée de pierre, donnait l’impression d’un plan basilical classique, avec transepts peu profonds et abside semi-polygonale. Cependant, l’intérieur était fait d’un vaisseau rectangulaire entouré d’une galerie, et la portion absidiale était occupée tout entière par des salles réservées à des conférences et à l’école du dimanche. Construite de 1870 à 1872, l’église fut considérablement modifiée après un incendie en 1928 ; aujourd’hui, la tour est le seul élément où l’on reconnaît la marque de Langley. Extérieur néogothique traditionnel et plan en vaisseau continuèrent de caractériser ses églises évangéliques jusque vers la fin des années 1880, après quoi Edmund Burke, alors associé en second, adopta un style néo-roman sous l’influence de l’architecte américain Henry Hobson Richardson.

Le bureau de poste no 8, qui fut bâti de 1872 à 1874, fut mis en chantier pendant la construction de l’église Metropolitan, mais pour cet ouvrage, Langley choisit plutôt une version enrichie du style Second Empire. L’édifice couronnait la perspective qu’offrait la rue Toronto à la hauteur de la rue Adelaide, au cœur du district commercial. Le gouvernement du Canada avait d’abord obtenu des plans d’Alfred B. Mullett, architecte surveillant du département du Trésor américain. En 1870, ces plans furent remis à Langley, à qui on indiqua de conserver « les dimensions et les éléments de l’aménagement intérieur [adaptés] aux fins de la poste ». Le plan qu’il produisit reprenait des caractéristiques de l’archétype adopté par Mullett pour les édifices fédéraux de tous les États-Unis, par exemple des ordres jumelés à tous les niveaux de la façade, des pavillons en moellons rainurés et un dôme central en forme de bulbe. Que le gouvernement ait requis l’assistance de Mullett confirme encore une fois la tendance à s’inspirer de modèles américains, tendance de plus en plus accentuée vers la fin du siècle. Malheureusement, on a démoli en 1958 ce repère du paysage torontois.

En 1873, donc pendant l’exécution de ces importants ouvrages, Langley forma la Langley, Langley, and Burke avec son frère Edward, constructeur, et Edmund Burke. En 1883, Edward mit fin à sa participation et s’installa en Californie ; la société prit alors le nom de Langley and Burke. Le nombre d’employés de la salle de dessin augmenta considérablement en raison du volume des commandes, et les méthodes de travail se mirent à ressembler à celles de certains des grands bureaux d’architectes des États-Unis. Outre Burke et Darling, on retrouve sur la liste des dessinateurs plusieurs futurs grands architectes de la génération qui suivait celle de Langley, dont Murray Alexander White et John Charles Batstone Horwood.

Dans les années 1870, le cabinet de Langley exécuta une quantité prodigieuse d’immeubles commerciaux à Toronto, et ce, dans des styles divers : la Banque de l’Amérique septentrionale britannique, construite de 1871 à 1873 et l’Imperial Chambers, en 1874, dans le style Second Empire ; les bureaux de la Union Loan and Savings Company, de 1878 à 1880, et de la Building and Loan Association, en 1878, en gothique haut victorien ; des édifices commerciaux inspirés des palais italiens pour les tailleurs Stovel and Armstrong en 1873 et pour la Thomas May and Company en 1877 ; un immeuble néo-grec américain pour la Compagnie d’assurance du Canada sur la vie en 1874–1875. Tous ont été démolis, sauf la banque, qui ne présente plus la même allure symétrique depuis que l’entrée donne sur la rue Yonge et non plus sur la rue Wellington. Ces ouvrages préfiguraient les réalisations les plus novatrices du cabinet de Langley, parmi lesquelles l’Army and Navy Store. Construit en 1887–1888 pour William A. Thompson (les dimensions en furent doublées vers 1890–1891), il s’élève toujours rue King est, presque en face de la cathédrale St James. Le fer et la terre cuite y sont d’importants éléments structuraux et décoratifs. Une arche monumentale part des vitrines du premier étage (rez-de-chaussée), se prolonge au deuxième étage, entièrement vitré, et se termine au haut du troisième étage. La surface de vitrage est donc grande par rapport à la surface de mur plein. Un groupe de fenêtres plus classique, au quatrième, couronne le bâtiment.

Une bonne partie des travaux de cette période qui ont été attribués à Langley, dont l’Army and Navy Store, le McMaster Hall de la rue Bloor, bâti en 1880–1881, l’église méthodiste Sherbourne Street, en 1886–1887, et l’église méthodiste Western (par la suite Trinity), élevée en 1888–1889 à l’angle des rues Bloor et Major, sont en fait l’œuvre d’Edmund Burke, qui était alors son dessinateur associé. Des commentaires de Burke, sa longue association avec la famille de William McMaster*, certains procès-verbaux des comités de construction de ces ouvrages et un plan du bureau de Langley and Burke, publié dans le Canadian Architect and Builder en 1890, étayent cette conclusion. Le plan en question montre que, dans le bureau de Burke, qui surplombait la salle de dessin et y était reliée directement, se trouvaient une table à dessin et un secrétaire, alors que dans celui de Langley, il n’y avait qu’un secrétaire, ce qui permet de supposer que, à cette époque, il ne faisait guère plus que de l’administration. Néanmoins, en tant que gestionnaire, il contribuait largement au succès de l’entreprise.

Voué à l’excellence artistique, Langley fut, dans les années 1860, juge à la section des beaux-arts des expositions tenues par l’Agricultural Association of Upper Canada. En 1873, il devint membre de l’Ontario Society of Artists et son cabinet commença à participer aux expositions annuelles. Trois ans plus tard, il appartint au comité de sélection pour l’Exposition universelle de Philadelphie ; une lithographie présentée par Langley and Burke remporta l’une des quatre médailles de bronze décernées à cette occasion par la délégation canadienne. En 1880, Langley fut admis parmi les membres fondateurs de l’Académie royale des arts du Canada ; son morceau de réception était une perspective (rendue par Frank Darling) de l’église Metropolitan. De 1881 à 1901, il fut vérificateur de l’académie, et pendant plusieurs années, membre de son conseil.

Langley se préoccupait du statut professionnel de l’architecte : son rôle dans la création d’une association d’architectes à Toronto en 1876 en témoigne. Moins d’un an plus tard, cette association prit le nom de Canadian Institute of Architects, mais elle disparut après février 1878. Au cours de la décennie suivante, Langley fut l’un des premiers membres de l’Architectural Guild of Toronto, fondée en 1887. Il collabora aussi à la formation de l’Ontario Association of Architects en 1889 et, la même année, à la dotation d’une chaire d’architecture à la School of Practical Science sur le campus de la University of Toronto. Les critères en vigueur à son bureau incitaient ses élèves à s’intéresser à la profession aussi activement que lui.

Langley fut un praticien exceptionnel par les dimensions inhabituelles de certaines de ses commandes, l’importance de sa pratique et le nombre d’architectes qu’il forma. Par ses églises, il a laissé sa marque sur la ligne d’horizon d’un grand nombre de villes ontariennes. En même temps, son travail était représentatif, car en tant qu’architecte, il s’aventurait rarement hors des sentiers battus. Qu’il ait été si conservateur n’est pas surprenant étant donné qu’il appartenait à la première génération d’architectes nés et formés au Canada anglais. Sa carrière fait le lien entre l’époque où les architectes venaient de Grande-Bretagne en apportant avec eux une tradition établie et celle où ils étaient instruits des nouvelles techniques de construction et se tenaient au courant des tendances nord-américaines. Quand Burke, au cours d’un ralentissement de la construction en 1892, se dissocia de Langley pour acheter le cabinet de feu William George Storm et terminer les commandes laissées en suspens au décès de celui-ci, le fils de Langley, Charles Edward (premier diplômé du département d’architecture de la School of Practical Science) entra au bureau de son père, qui prit le nom de Langley and Langley.

La santé de Henry Langley commença à décliner vers 1898, et il mourut en 1907, mais son naturel sympathique et son dévouement pour la profession restèrent dans les mémoires. Ses collègues se souvenaient de lui comme d’« un homme au grand cœur, honnête dans toutes ses transactions [...] et qui, du commencement jusqu’à la fin, [avait] défendu et pratiqué honorablement la profession [qu’il avait] choisie ». Bien que, de toute évidence, il ait été chaleureux, c’était un homme réservé. On ignore ses opinions politiques. Il était membre du Bureau de commerce de Toronto. Dans la plupart des recensements, on indique qu’il était affilié à la secte darbyste des frères de Plymouth, alors que ses parents étaient baptistes. Vers 1866, il épousa une Anglaise, Anne Booth, et on dit qu’ils eurent sept enfants, dont cinq vécurent jusqu’à l’âge adulte. Un de ses fils, Ernest Felix, devint professeur de linguistique au Dartmouth College, à Hanover, New Hampshire. Un autre, Frederick William, pratiqua l’architecture à Chicago. Charles conserva le bureau de son père et s’associa en 1907 à un ancien élève de celui-ci, William Ford Howland. Henry Langley fut inhumé au Necropolis ; il en avait dessiné la chapelle, le pavillon du gardien et les grilles d’entrée en 1871–1872.

Douglas Richardson et Angela Carr

AN, MG 28, I 126, vol.7, 17 ; RG 11, 307, no 881 ; 313, no 883 ; RG 31, C1, 1861, Toronto, St Andrew’s Ward, dist. 1 : 29 ; 1871, St James’ Ward, dist. 47 : 37.— AO, Architectural Drawings Coll., C 11, dont MU 3985, clauses d’une entente entre Edward Langley, Sr, Edward Langley, Jr, et Edmund Burke, 24 oct. 1892 ; F 1140, MU 2254, 23 déc. 1873, 1er avril 1876 ; F 1403, 3 oct. 1887, 11 oct. 1888 ; RG 22, Ser. 305, no 4657, 78574 ; RG 55, partnership records, York County declarations, no 694 CP.— Arch. privées, Robert Hill (Toronto), « The biographical dictionary of architects in Canada, 1800–1950 », Robert Hill, édit. (travail de recherche en cours).— MTRL, Henry Langley papers.— Toronto Necropolis and Crematorium, Burial records, lots O-255, O-261.— Globe, 1883–1884.— World (Toronto), 10 janv. 1907 : 5.— G. M. Adam, Toronto, old and new : a memorial volume [...] (Toronto, 1891 ; réimpr. 1972).— ARAC exhibitions (McMann).— E. [R.] Arthur, Toronto, no mean city, S. A. Otto, rév. (3e éd., Toronto, 1986).— Stephen Beszedits, Eminent Toronto architects of the past : their lives and works (Toronto, 1983).— Christina Cameron et Janet Wright, « Second Empire style in Canadian architecture », Canadian Hist. Sites : Occasional Papers in Archaeology and Hist. (Ottawa), no 25 (1980).— Canadian Architect, 20 (1907) : 14.— A. K. Carr, « From William Hay to Burke, Horwood & White : a case history in Canadian architectural draughting style », Soc. for the Study of Architecture in Canada, Bull. (Edmonton), 15 (1990), no 2 : 41–51 ; « On the highest plane of his possibilities » : the career of Toronto architect Edmund Burke (1850–1919) » (thèse de ph.d., Univ. of Toronto, 1990).— William Dendy, « Government House, Toronto, 1866–70 », Canadian Collector (Toronto), 12 (1977), no 5 : 21–25 ; Lost Toronto (Toronto, 1978).— William Dendy et al., Toronto observed : its architecture, patrons, and history (Toronto, 1986).— Ralph Greenhill et al., Ontario towns ([Ottawa, 1974]).— H.-C., Board of Agriculture and Agricultural Assoc., Trans. (Toronto), 5 (1860–1863) : 252, 364 ; 6 (1864–1868) : 175.— Illustrated Toronto, past and present, being an historical and descriptive guide-book [...], J. Timperlake, compil. (Toronto, 1877).— Marion MacRae et al., Hallowed walls : church architecture of Upper Canada (Toronto et Vancouver, 1975).— M. L. Mallory, « Three Henry Langley churches : Victorian Gothic architecture and the diversity of sects in Ontario » (thèse de m.a., Univ. of Toronto, 1979).— The Methodist churches of Toronto : a history of the Methodist denomination and its churches in York and Toronto, with biographical sketches of many of the clergy and laity, T. E. Champion, édit. (Toronto, 1899).— Ontario, Agricultural and Arts Assoc., Trans. (Toronto), 7 (1869–1871) : 77, 259.— Robertson’s landmarks of Toronto.— Judith St John, Firm foundations : a chronicle of Toronto’s Metropolitan United Church and her Methodist origins, 1795–1984 (Winfield, C.-C.-B., 1988).— Geoffrey Simmins, Ontario Association of Architects : a centennial history, 1889–1989 (Toronto, 1989).— Toronto, Board of Trade, « Souvenir ».— William Westfall, Two worlds : the Protestant culture of nineteenth-century Ontario (Kingston, Ontario, 1989).

Bibliographie générale

Comment écrire la référence bibliographique de cette biographie

Douglas Richardson et Angela Carr, « LANGLEY, HENRY », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 18 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/langley_henry_13F.html.

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Auteur de l'article:    Douglas Richardson et Angela Carr
Titre de l'article:    LANGLEY, HENRY
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1994
Année de la révision:    1994
Date de consultation:    18 mars 2024