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. Le père d’Arthur Buies, qui habite à New York au moment de sa naissance, s’installera avec sa femme à Berbice (Guyana) en 1841, laissant à Québec son jeune garçon et sa fille Victoire (née à New York
 
charmant, au monde, que celui-ci, terre des châteaux princiers de France et des Très riches heures du duc de Berry, mais Cadet et sa femme, deux Canadiens exilés, d’un certain âge, avaient la
débarqua à Sydney en compagnie de deux des enfants qu’elle avait eus avec DesBarres. On sait peu de chose de cette femme, qui était née à Shrewsbury, en Angleterre. On ignore par exemple si DesBarres avait
1752—1753 et lui démontra ses qualités d’ingénieur, émigra en Angleterre en 1754 pour chercher de l’avancement sous le drapeau britannique, laissant sa femme aux Pays-Bas. Appuyé par le duc, qui
britannique. Il y épousa la jeune Margaret Shippen, fille d’un ancien juge en chef de la Pennsylvanie, une femme dont la beauté, à ce qu’on a prétendu, devait éblouir George III. Mais, à Philadelphie
Canada. L’année suivante, sa femme et ses autres enfants furent emprisonnés par les rebelles, et Butler ne les revit que grâce à un échange de prisonniers en 1780. À Montréal, Johnson proposa au gouverneur
petite ferme paternelle aux abords d’Amherst. Son père, coministre à l’église baptiste locale, et sa mère, « femme pieuse et fervente », lui enseignèrent les vertus du travail acharné et de la
de 1859 à 1861 et en 1863–1864. Il exploitait un magasin général en 1866. Après son mariage en 1860 avec une femme de la région, O’Brien rangea son
. John Fitzwilliam Stairs se maria deux fois. Sa première femme, Charlotte Jane Fogo, mourut de la diphtérie en 1886. En 1895, il épousa une veuve de 32 ans, Mme Helen Eliza Gaherty, dont il avait presque
distingué de 36 ans eut la chance d’épouser Jean Wedderbum, âgée de 21 ans. Femme attrayante, intelligente et courageuse de surcroît, elle allait être à l’origine, en bonne partie, de son bonheur futur, de
avaient fini par s’installer dans le futur comté de Bruce, où leur petite-fille Mary Florence était née en 1872. William Thomas Diefenbaker et sa femme
sur plusieurs propriétés avoisinantes. Il eut quatre enfants avec sa femme, Elizabeth Johnson, surnommée Eliza, mais aucun ne survécut jusqu’à l’âge adulte. Ils adoptèrent de manière informelle le fils
 ; décédé dans cette ville le 7 mars 1914. En 1831, James Ross, cordonnier à Tain, en Écosse, immigra dans le Haut-Canada avec sa femme, leurs
Brant a été reprise par l’historien Lyman Copeland Draper. En 1879, une vieille Agnière du nom de Katy Moses, parente éloignée de la troisième femme de Brant, informa Draper que la mère de Brant
poète, qui savait voir, écouter et raconter, n’a pas craint de parsemer son récit d’anecdotes, telles que celles de la femme remariée avant même que son mari n’eût été enterré, et de Martine
qu’opposé au concours des femmes à la vie publique, il appuie en vain leur admission au barreau [V. Samuel William
). John Kelsey laissa trois fils, et Henry est le premier nommé dans son testament. Notre identification repose principalement sur les faits suivants : la femme d’Henry Kelsey était originaire d’East
mariage ne donne que 40 ans au mari. Dans les registres, il vieillira toutefois à un rythme plus accéléré que sa femme, car si celle-ci n’a toujours que 25 ans au recensement de 1716, 4 ans après le mariage
femme, de même que de Chipman, de Jonathan Odell, de Gabriel George Ludlow et d’autres fonctionnaires
hommes, sans compter les femmes et les enfants, et qu’ils avaient réduit un si grand nombre de personnes en esclavage qu’on pouvait les aligner sur un front de quatre arpents. Dans son mémoire à Maurepas
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