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SMITH (Smyth), sir DAVID WILLIAM, officier, fonctionnaire et homme politique, né le 4 septembre 1764 à Salisbury, Angleterre, unique enfant de John Smith et d’Anne Waylen ; en 1788, il épousa Anne O’Reilly, et ils eurent huit enfants, puis en 1803 Mary Tyler, et de ce mariage naquit une fille ; décédé le 9 mai 1837 près d’Alnwick, Angleterre.
Fils d’un soldat de carrière, David William Smith eut des militaires pour précepteurs et obtint en 1779 une commission d’enseigne dans le 5th Foot (qui devint le Northumberland Regiment). En 1790, après un congé de mariage, il partit pour Detroit, où son régiment venait d’être affecté sous le commandement de son père. Il exerça une série de fonctions administratives régimentaires à cet endroit d’abord puis, après la mutation du 5th Foot en juin 1792, au fort Niagara (près de Youngstown, New York). En outre, du 26 décembre 1791 au 7 juin 1792, il occupa le poste de greffier du conseil des terres du district de Hesse.
À la création de la province du Haut-Canada, en 1791, on n’avait pas prévu de poste rémunéré d’arpenteur général, car le secrétaire d’État aux Colonies, Henry Dundas, estimait que les trois arpenteurs adjoints qui y travaillaient pouvaient relever de l’arpenteur général de Québec, Samuel Johannes Holland*. Le nouveau lieutenant-gouverneur, John Graves Simcoe*, appuyé en cela par Holland, voulait cependant un département distinct. À cause de la compétence dont Smith avait fait preuve au conseil des terres du district de Hesse, et aussi parce qu’il tenait le 5th Foot pour le régiment le mieux administré de la province, Simcoe prit l’initiative de lui offrir un poste intérimaire d’arpenteur général adjoint qui ne rapporterait ni salaire ni honoraires jusqu’à ce qu’on approuve la nomination. Smith accepta. À la ratification de son titre d’arpenteur général du Haut-Canada, le 1er janvier 1798, on calcula ses arriérés de salaire non seulement à compter du 28 septembre 1792, date où Simcoe lui avait confié son mandat, mais à partir du 1er juillet 1792, moment de son entrée en service. Il réclama en vain des arriérés d’honoraires, mais n’obtint qu’une modeste commission sur tous les honoraires payés par l’entremise de son bureau.
Financièrement, Smith avait bien parié en servant pendant plus de cinq ans sans salaire autorisé. Quand il dressa son dernier état de comptes aux fins de vérification (au 30 juin 1803), ses propres honoraires totalisaient £2 209 14s 6d (cours d’Angleterre). En vertu de la réglementation foncière, il put aussi, avec sa famille, accumuler plus de 20 000 acres réparties dans 21 cantons, dont 7 800 dans celui de Pickering. On l’accusa d’ailleurs de profiter de son poste pour s’approprier les meilleures terres : « Les lots marqués D.W.S. ne peuvent manquer d’être de tout premier ordre », écrivait en 1803 lord Selkirk [Douglas*]. Pourtant, en optant pour un emploi civil, Smith agissait autant par goût que par intérêt. Les membres du 5th Foot étaient reconnus pour être des gens sociables et, à Niagara, la beauté et le charme de Mme Smith suscitaient l’admiration. Cependant, Smith n’aimait ni la routine ni la monotonie sociale de la vie de garnison. C’était un homme élégant et bien élevé, mais au tempérament réservé, prudent, voire soupçonneux. « Je n’ai pas de compères », écrivait-il à son ami de Detroit John Askin*, le 17 janvier 1793. Il étudia le droit au cabinet du procureur général John White* et figura sur la première liste des avocats autorisés à pratiquer (7 juillet 1794), mais plaider au tribunal ne le tentait pas. On le promut capitaine en 1795 mais, la même année, son père mourut ; l’année suivante, son régiment fut appelé à Québec pour rentrer en Angleterre. Il quitta l’armée dès la ratification de sa nomination civile.
Avec John McGill* et William Osgoode*, qui avaient pourtant dix ans de plus que lui, Smith était le plus sûr, le plus énergique et le plus compétent des subordonnés de Simcoe. C’était son avis qui déterminait l’emplacement des cantons à arpenter et à ouvrir au peuplement. C’est lui qui dressa la « liste [des loyalistes] de l’Empire uni » exemptés de payer des frais de concession et, quand Londres sanctionna enfin cette exemption, le 15 décembre 1798, il obtint qu’on l’étende aux enfants des loyalistes. Le plan quadrillé destiné à la répartition des réserves dans les cantons, qu’on adopta le 15 octobre 1792 et qu’on appliqua quasi uniformément dans toute la province, était son œuvre. Auparavant, les réserves de la couronne et du clergé occupaient les deux septièmes des terres réellement concédées dans chaque canton ; ce plan, plus généreux, leur allouait les deux septièmes de l’ensemble de chaque canton, mais ne prévoyait pas l’arpentage des fractions d’acre. Critiqué par White, Smith répondit avec raison que son plan respectait l’Acte constitutionnel, lequel exigeait que les réserves du clergé aient autant que possible une valeur égale au septième des terres concédées. Il dressa le premier plan de location des réserves de la couronne ainsi que celui qu’on mit à l’épreuve en 1797. Dans les deux cas, il se préoccupa moins de maximiser les revenus que de faire accepter l’existence des réserves par l’opinion publique. Les levés de canton, faits par 17 adjoints, se révélèrent de qualité inégale, mais ils furent conçus et exécutés systématiquement.
Le bon déroulement des levés n’empêcha pas l’attribution des terres de baigner dans la plus grande confusion, due en partie à l’inefficacité de certains fonctionnaires, et particulièrement du secrétaire de la province, William Jarvis*, chargé de délivrer les titres de propriété. Mais surtout la politique foncière, centralisée, était appliquée de manière inconséquente. D’abord, les conseils des terres de district puis les magistrats locaux purent recommander l’octroi de concessions, mais à compter du 20 juillet 1796 il fallut adresser les demandes directement au Conseil exécutif, où Smith siégea à partir du 2 mars 1796. En abolissant les conseils des terres, le conseil réaffirma la règle qui voulait que tout chrétien respectueux des lois et capable de travail manuel ait droit à une petite concession, mais les dimensions des terres en question suscitaient des attentes si diverses qu’il fallut revenir au plan original, qui prévoyait 200 acres par famille au lieu de 1 200. Avant d’entrer au conseil, Smith avait entrepris une étude sur l’octroi de cantons entiers, méthode dont Simcoe avait naïvement espéré qu’elle permettrait un peuplement systématique, sans fraude ni spéculation. Smith découvrit que, sur 32 concessions de ce genre, 6 seulement étaient occupées par un grand nombre de vrais colons, qui souvent étaient venus d’ailleurs dans la province. Les déchéances de titres de concessions cantonales, qui commencèrent en mai 1796, étaient difficiles à prononcer car on n’avait promulgué aucune règle précise de peuplement ou d’aménagement avant le 15 juillet 1794, et encore celles qui l’avaient été alors ne concernaient-elles que les lots qui longeaient les rues Dundas et Yonge.
Smith n’entretint pas des relations cordiales avec Peter Russell*, qui administra la province à compter du départ de Simcoe en juillet 1796 jusqu’à l’arrivée de Peter Hunter* en août 1799. Comme sa femme était malade (elle mourut à Niagara en 1798, à l’âge de 28 ans seulement), il se tenait à l’écart des clans qui se formaient à Niagara et York (Toronto), même s’il était en demande. Il en voulait à Russell d’accepter de si mauvais gré qu’il rate des réunions du conseil pour demeurer au chevet de sa femme. Les deux hommes parvenaient quand même à coopérer. Au début, les conditions de peuplement applicables à la rue Yonge, publiées le 15 janvier 1794, demandaient simplement l’occupation effective de chaque lot concédé et l’érection d’une maison dans l’année qui suivait la délimitation du lot. En juin 1798, ces conditions devinrent plus sévères, exigeant de l’occupant qu’il défriche et clôture une superficie de cinq acres et, en novembre 1802, elles s’étendaient à la plupart des terres arpentées. Le 1er octobre 1798, un nouveau barème vint régler, du moins temporairement, le différend qui entourait depuis longtemps la part touchée par les fonctionnaires sur les frais de concession ; ce barème doublait presque les frais en question, en les portant à £5 (cours d’Angleterre) pour un lot de 200 acres, mais comme la moitié de cette somme était réservée à la couronne, les fonctionnaires reçurent finalement moins qu’auparavant. On songea aussi, pour la première fois, à vendre les terres au lieu de les concéder. En 1798, Smith estima que les terres inexploitées valaient de 6d à 15s l’acre. Au moment de la vente de deux cantons, en 1800, elles ne rapportèrent que 9d l’acre, soit à peine un tiers de plus que n’auraient donné les frais de concession.
Sous Simcoe et Russell, le défaut le plus décrié du régime foncier était le temps qu’il fallait pour obtenir un titre de propriété en bonne et due forme. Soucieux d’accélérer le service, Hunter délivra dans les six dernières années de sa vie (il mourut en août 1805) plus de 7 000 titres, rendement qu’on n’allait pas revoir avant 1824. Pour ce faire toutefois, il dut en fait abandonner les règles de peuplement que Smith s’était efforcé d’appliquer. Insister sur leur application retardait en effet la perception des frais aussi bien que la délivrance des titres, de sorte qu’elles avaient peu de défenseurs dans l’administration provinciale. Smith fit confirmer par le juge en chef John Elmsley* que les enfreindre pouvait être illégal mais, quand Henry Allcock* succéda à ce dernier, il n’eut plus d’allié. Le 30 décembre 1802, le Conseil exécutif fixa des délais : une fois ratifié l’octroi de sa concession, le bénéficiaire aurait trois jours pour acquitter les frais, et trois semaines pour aller chercher le titre de propriété une fois qu’il était dressé. Tout ce qui subsista des règles de Smith fut une clause qui, dans le titre, exigeait trois ans de résidence, mais rien n’était prévu pour l’appliquer.
Dans l’ensemble, d’ailleurs, l’influence de Smith au conseil déclina pendant le mandat de Hunter, même si le lieutenant-gouverneur finit par admirer l’efficacité avec laquelle il dirigeait son bureau. Il lui aurait dit en 1803 : « En six mois, vous en faites davantage pour la province que bien d’autres n’en font en autant d’années. » Cependant Smith ne faisait pas partie du comité qui gouvernait dans les nombreuses occasions où Hunter se rendait à Québec. Il se consolait en songeant à ses honoraires, bien conscient, comme le lui rappela le procureur général Thomas Scott*, qu’une fois que les fonctionnaires auraient délivré tous les titres de concession en souffrance, ce serait comme si on avait « tué la poule aux œufs d’or ».
Pendant presque tout son séjour dans le Haut-Canada, Smith siégea à la chambre d’Assemblée. Il fut d’abord élu, le 27 août 1792, dans la circonscription de Suffolk and Essex. Bien qu’il n’ait pas eu d’adversaire, il dépensa plus de £233 pour arroser ses électeurs, qu’il ne cessa jamais d’appeler des « paysans ». En 1796, il remporta la victoire dans la circonscription de 3rd Lincoln, puis en 1800 dans celle de Norfolk, Oxford and Middlesex. La dernière fois, il changea de tactique (il distribua du whisky plutôt que du rhum, de la bière, du porto, du fromage et du bœuf rôti), mais les élections demeuraient pour lui des fêtes populaires qui avaient peu à voir avec la politique. « Plus il y a de visages amochés et de nez rougis, écrivait-il à Askin, plus on se sent en période d’élections. » Selon lui, l’affirmation de « violents principes égalitaires » avait marqué la première législature même si 13 députés sur 16 étaient ou des loyalistes actifs, ou des immigrants britanniques. La chambre accepta la taxe foncière qu’il proposait (le Conseil législatif la rejeta), mais refusa que les magistrats nomment les fonctionnaires paroissiaux et municipaux, comme il le recommandait. Il était convaincu de l’existence d’un « parti du pays » aux sympathies républicaines et estimait qu’il fallait un « parti de cour », formé de gentlemen et de fonctionnaires, pour prendre en main l’Assemblée. Il présida les quatre sessions de la deuxième législature et les deux premières sessions de la troisième, mais il contribua moins qu’il ne le croyait au calme relatif des débats.
En juillet 1802, Smith quitta le Haut-Canada. Il avait obtenu un congé en raison d’accès récurrents de fièvre, mais de toute façon sa position à York le satisfaisait de moins en moins. Il avait trouvé des amis en Elmsley et Scott, mais les cercles yorkais lui semblaient toujours plébéiens. Après dix ans au même poste, une promotion lui aurait fait plus plaisir que de simples éloges. À l’occasion d’un congé antérieur, en 1799, il avait entrepris de se mettre quelque peu en valeur en publiant une description topographique de la province et en annotant pour diffusion privée la traduction anglaise de Voyage dans les États-Unis [...] (8 vol., Paris, [1799]), de François-Alexandre-Frédéric de La Rochefoucauld*, en vue de répondre aux critiques de ce dernier sur le gouvernement de Simcoe. En 1802, il emporta en Angleterre une bonne partie des documents de son bureau, peut-être afin de réviser son ouvrage de topographie, dont une deuxième édition parut en 1813. Son plus grand espoir était d’obtenir un siège au Conseil législatif. Hunter voulait le ravoir (sa perte était « quasi irréparable pour la province », disait-il) mais n’était pas prêt à accepter ses conditions. Elmsley lui conseilla de ne pas recommander sa nomination : le rôle de Smith dans la confiscation des concessions cantonales et l’insistance avec laquelle il avait voulu appliquer les règles de peuplement l’avaient rendu trop impopulaire auprès des grands propriétaires terriens. Comme il était déçu, et que d’autre part il s’était remarié en Angleterre, Smith décida de rester dans ce pays. Le 12 mai 1804, il démissionna de tous les postes qu’il occupait dans le Haut-Canada, y compris la lieutenance du comté d’York (depuis le 3 décembre 1798), le commandement de la milice de ce comté et des charges et commissions mineures dont la liste occupait deux pages.
David William Smith avait réussi dans le Haut-Canada, mais il n’était ni assez âgé ni assez à l’aise pour la retraite. Comme Simcoe et Osgoode se disaient incapables de l’aider, il n’avait aucun protecteur à Whitehall. Il n’avait même pas assez d’influence pour obtenir un poste de conducteur de travaux au Board of Ordnance. Tout ce qu’il put gagner fut une pension comprise dans la liste civile du Haut-Canada. Un peu moins d’un an après son retour en Angleterre, il trouva cependant une place, non pas sur la scène publique, mais à titre de régisseur d’un des plus grands propriétaires terriens du pays, le duc de Northumberland, qui avait été colonel de son ancien régiment. La vente progressive de ses terres du Haut-Canada fut d’un rapport décevant : environ la moitié d’entre elles, vendues en 1833 ou avant, ne donnèrent qu’un peu plus du double de ses honoraires fonciers. Il avait choisi de bonnes terres mais, contrairement à John McGill et John Small*, il ne s’était pas limité au territoire d’York et ne pouvait suivre le marché de près. Il put tout de même acheter une belle propriété près d’Alnwick et entreprendre une deuxième carrière, plus longue et plus heureuse que la première.
David William Smith écrivit A short topographical description of his majesty’s province of Upper Canada, in North America ; to which is annexed a provincial gazetteer (Londres, 1799) pour accompagner la carte qu’il avait préparée et qu’il publia à Londres, en 1800, sous le titre de A map of the province of Upper Canada, describing all the new settlements [...] from Quebec to Lake Huron. Une seconde édition de la description topographique et une nouvelle carte furent publiées à Londres en 1813 ; le répertoire géographique, accompagné d’un nouvel appendice sur le Bas-Canada, parut à New York, en 1813, sous le titre de A gazetteer of the province of Upper Canada [...], de même que la carte qui le complétait.
La réponse que fit Smith à La Rochefoucauld est inscrite sous forme de notes manuscrites dans son exemplaire de la traduction préparée en 1799 par Henry Neuman et intitulée Travels through the United Stases of North America, the country of the Iroquois, and Upper Canada [...] (2 vol., Londres, 1799), 1 : 380–591 (pages qui concernent le Haut-Canada), et dans l’appendice qu’il y fit sous le titre de « Notes upon Mr. de Liancourt’s Travels in Upper Canada, by an Anglo-Canadian ». Toutes ses remarques furent publiées sous le titre de « La Rochefoucault-Liancourt’s travels in Canada, 1795, with annotations and strictures by Sir David William Smith », W. R. Riddell, édit., AO Report, 1916.
Sauf l’introduction de Riddell, l’article sur « David William Smith : a supplementary note to the Canadian election of 1792 », C. C. James, édit., SRC Trans., 3e sér., 7 (1913), sect. ii : 57–66, et celui de S. R. Mealing, « D. W. Smith’s plan for granting land to loyalists’ children », OH, 48 (1956) : 133–137, les études ne mentionnent Smith qu’à l’occasion. L’ouvrage le plus utile est celui de S. G. Roberts, « Imperial policy, provincial administration and defence in Upper Canada, 1796–1812 » (thèse de ph d., Univ. of Oxford, 1975). On consultera aussi : Gates, Land policies of U.C., qui ne remplace pas entièrement G. C. Patterson, « Land settlement in Upper Canada, 1783–1840 », AO Report, 1920 ; A. F. McC. Madden, « The imperial machinery of the younger Pitt », Essays in British history presented to Sir Keith Feiling, H. R. Trevor-Roper, édit. (Londres, 1964), 173–193 ; T. D. Regher, « Land ownership in Upper Canada, 1783–96 : a background to the first table of fees », OH, 55 (1963) : 35–48 ; et J. H. Richards, « Lands and policies : attitudes and controls in the alienation of lands in Ontario during the first century of settlement », OH, 50 (1958) : 193–209.
Les papiers de Smith et sa correspondance avec John Askin, John Elmsley et Thomas Scott, ainsi que divers documents éparpillés dans les papiers d’autres contemporains, sont les meilleures sources pour rédiger la biographie de Smith. Parmi les autres fonds dignes de mention, signalons : les papiers D. W. Smith et les registres de lettres de John Elmsley à la MTRL ; les papiers Peser Russell (MS 75) et ceux de Simcoe (MS 517) aux AO ; les papiers John Askin (MG 19, A3) et les registres de lettres de Peter Hunter (MG 24, A6) aux APC. Il existe des documents imprimés fort utiles : Corr. of Hon. Peter Russell (Cruikshank) ; Corr. of Lieut. Governor Simcoe (Cruikshank) ; [E. P. Gwillim] Simcoe, The diary of Mrs. John Graves Simcoe [...], J. R. Robertson, édit. ([nouv. éd.], Toronto, 1934) ; John Askin papers (Quaife) ; et Town of York, 1793–1815 (Firth).
Les documents officiels les plus instructifs sont au PRO, CO 42, procès-verbaux du Conseil exécutif (APC, RG 1, E1) et AO 1, bundle 316, no 5, vérification des comptes de Smith. Les « Journals of Legislative Assembly of U.C. » pour 1792–1794 et pour 1798–1804 sont reproduits dans AO Report, 1909, les « Grants of crown lands in Upper Canada [...] [1792–1798] », dans AO Report, 1928–1931, et les « Petitions for grants of land [...] [1792–1799] », E. A. Cruikshank, édit., dans OH, 24 (1927) : 17–144 ; 26 (1930) : 97–378. [s. r. m.]
S. R. Mealing, « SMITH (Smyth), sir DAVID WILLIAM », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 7, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 8 déc. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/smith_david_william_7F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/smith_david_william_7F.html |
Auteur de l'article: | S. R. Mealing |
Titre de l'article: | SMITH (Smyth), sir DAVID WILLIAM |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 7 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1988 |
Année de la révision: | 1988 |
Date de consultation: | 8 déc. 2024 |