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CHAUSSEGROS DE LÉRY, GASPARD-JOSEPH (baptisé Gaspard), officier, ingénieur du roi en Nouvelle-France de 1716 à 1756, né le 3 octobre 1682 à Toulon, France, fils de Gaspard Chaussegros, ingénieur, et d’Anne Vidalle ; épousa à Québec, le 13 octobre 1717, Marie-Renée, fille de René Legardeur de Beauvais, celle-ci lui donna au moins dix enfants dont Gaspard-Joseph* ; décédé le 23 mars 1756 à Québec.

Chaussegros fut initié au génie militaire probablement par son père. Bien qu’il n’ait jamais appartenu au corps des ingénieurs, il semble bien que dans sa jeunesse il ait fait de nombreux tracés de plans et qu’il ait aussi servi dans l’armée française en qualité d’ingénieur. Il participa au siège de Turin en 1706 à titre d’aide de camp du marquis de Vibraye ; il prit part à la tentative avortée de 1708 de faire débarquer Jacques, dit le Prétendant, en Écosse ; par la suite, il reçut une commission de capitaine d’infanterie dans le régiment du Sault. Il termina en 1714 un long manuscrit intitulé « Traité de fortification divisé en huit livres », qui ne fut jamais publié. En 1716, il était attaché au ministère de la Marine, quand on l’envoya au Canada pour y lever les plans des fortifications qui protégeaient alors Québec et faire des recommandations au sujet des nouvelles défenses qu’il faudrait ériger pour mettre Québec à l’abri des attaques. Sa mission temporaire se mua finalement en une nomination permanente au poste d’ingénieur en chef, poste qu’il conservera jusqu’à sa mort, 40 ans plus tard.

Les travaux que l’on doit à Chaussegros comprennent : les fortifications de Québec et de Montréal, les forts Niagara (près de Youngstown, N.Y.), Chambly, Saint-Frédéric (Crown Point, N.Y.) et Sault-Saint-Louis (Caughnawaga, Québec), le pavillon du gouverneur au château Saint-Louis à Québec, le plan de la façade de l’église Notre-Dame de Montréal, la réfection du palais épiscopal de Québec, les plans d’un « palais de justice » à Trois-Rivières, des études relatives au creusage d’un canal entre Lachine et Montréal, des consultations au sujet des forges du Saint-Maurice et des mines de la région de Baie-Saint-Paul de même que le tracé de plans pour l’installation de chantiers navals et de cales sèches sur la rivière Saint-Charles, à Québec.

Si l’on veut tenter de porter un jugement sur la qualité des travaux accomplis par Chaussegros, il faut tenir compte de l’attitude de Versailles à l’égard de la tâche qu’on lui avait assignée. En 1716 le Conseil de la Marine estimait que les ressources du Canada n’étaient pas une chose assez vitale pour justifier que l’on consacre à la défense de la colonie des sommes aussi considérables que celles que la couronne, à la même époque, dépensait pour fortifier l’île Royale (île du Cap-Breton). Les habitants, les riches ordres religieux et le Domaine d’Occident devaient se faire à l’idée d’en partager le coût. Cette ligne de conduite changea bien peu durant le temps où Maurepas fut ministre de la Marine (1723 à 1749) ; la cour se montra parcimonieuse dans sa contribution aux fortifications du Canada ; en 1746, en période de guerre, Maurepas arguait même que le fait de laisser Québec mal fortifiée était en quelque sorte un préventif contre une invasion anglo-américaine ! L’ennemi redouterait les conséquences d’un hivernage sans quartiers adéquats entre le départ des derniers vaisseaux et la formation des glaces sur le fleuve. Quoi qu’il en soit, les ingénieurs militaires réputés les meilleurs en France – ceux qui avaient été admis dans le corps du génie d’après les critères établis par l’ancien directeur, Sébastien Le Prestre de Vauban – ne furent pas envoyés au Canada entre 1715 et 1752. Ce même Conseil de la Marine qui avait dépêché Jean-François de Verville* à l’île Royale fut heureux d’assigner à Chaussegros de Léry la même charge au Canada. Le crédit qu’il avait apparemment auprès de certains membres de la famille royale ne put lui procurer son entrée dans le corps du génie en France, où, plus que dans tous les autres corps de l’armée française, l’admission était accordée au mérite. Il tenta des démarches dans ce but en 1729 et de nouveau en 1738.

Néanmoins, les faits donnent à penser que même s’il n’a peut-être pas été un ingénieur militaire hors de pair il était cependant imaginatif et capable dans plus d’un domaine. Au cours des années 1726–1728, il suggéra l’érection d’un poste français rival près d’Oswego, sur la rive sud du lac Ontario. En 1733, il se prononça contre le creusage d’un canal à Lachine parce que le volume de roc qu’il faudrait faire sauter en rendait le coût prohibitif. (Dans son rapport, il n’est pas précisé s’il était au courant du fait que Gédéon de Catalogne* avait déjà reconnu cette difficulté en 1700). Il inventa de l’outillage et de nouvelles techniques pour faire le siège des forts indiens d’un type particulier rencontrés par les troupes de la Louisiane. Il analysa le potentiel de productivité des forges du Saint-Maurice, tout particulièrement en rapport avec l’utilisation du pouvoir hydraulique comme force motrice. Il fit des suggestions sur le choix d’un emplacement pour l’installation de chantiers de construction navale à Québec. Il proposa l’ouverture d’une route qui relierait le Richelieu à Montréal afin de diminuer le coût du transport des marchandises qu’il fallait normalement acheminer par eau en empruntant d’abord le Richelieu et puis en remontant le Saint-Laurent. Il prôna, pour Québec, une stratégie défensive qui comprendrait, en plus d’une garnison assez considérable à l’intérieur de la ville, des troupes mobiles à l’extérieur, prêtes à être dépêchées aux endroits névralgiques en cas de siège. Il insista fortement sur l’utilisation de brûlots pour repousser les vaisseaux de la flotte anglaise qui s’aventureraient dans les eaux du Saint-Laurent pour attaquer la capitale. Il offrit son avis sur la manière de reprendre Louisbourg (île Royale) et d’en améliorer la défense.

Les faiblesses des fortifications de Québec au moment de la mort de Chaussegros de Léry ne sauraient toutes lui être imputées ; il avait hérité de mauvaises défenses et devait suivre des directives médiocres. Néanmoins, même si après 1752 la cour s’en remit aux directives de Louis Franquet, les ouvrages importants que Chaussegros construisit au cours des années de guerre 1746–1749 n’en laissaient pas moins fort à désirer. Les ouvrages extérieurs qui auraient dû protéger l’escarpe contre le tir direct et l’escalade étaient à peu près inexistants. Il n’y avait pas de fossés non plus. Bernard Renau d’Éliçagaray, premier ingénieur au ministère de la Marine, en avait pourtant signalé la nécessité dans une étude faite juste avant le départ de Chaussegros pour le Canada, en 1716 ; ce dernier déclara à Charles de Beauharnois, en 1745, qu’il était impossible d’en creuser un, faute de pouvoir faire sauter le roc. Franquet qui examina le site, sept ans plus tard, fut d’un avis contraire. Bien sûr, il aurait fallu le faire avant de construire l’escarpe. De plus, Chaussegros avait fait pratiquer bien peu d’embrasures sur les faces des bastions qui dominaient les plaines d’Abraham ; dans son « Traité » il disait que seules des sorties effectuées par les assiégés pouvaient détruire les batteries des assiégeants. Il prétendait que l’artillerie défensive devait servir principalement pour le tir de flanc ou le tir d’enfilade. Néanmoins, dans un rapport au ministre Antoine-Louis Rouillé au cours d’octobre 1749, Chaussegros déclara fièrement : « cette Ville est fortifiée à la moderne, la fortification est bien flanquée, ce sera une belle place de Guerre ».

À Montréal, en vertu d’une entente entre les seigneurs (les sulpiciens), les habitants, le Domaine d’Occident et la couronne au sujet du partage des coûts, une enceinte de maçonnerie fut construite pour remplacer la palissade et Chaussegros, à titre d’ingénieur, en eut la responsabilité. Ce qu’on peut en dire de mieux c’est qu’elle offrait une apparence de solidité qui convenait bien à la deuxième ville de la colonie. En 1760, on la jugea impropre à soutenir le bombardement. Le fort Chambly était bien construit et il protégeait de tout sauf cependant de l’artillerie ; les défenses du fort Saint-Frédéric furent ultérieurement condamnées pour leurs vices de construction qui étaient la conséquence directe de mauvaises assises. Chaussegros avait laissé à son fils aîné, Gaspard-Joseph, la direction des travaux à Saint-Frédéric, mais il avait préjugé de sa compétence d’ingénieur. Celui-ci abandonna son poste d’ingénieur adjoint en 1748. Toutefois, la valeur du fort Niagara fut démontrée lorsqu’il résista au siège pendant 20 jours, en 1759.

La formation de la plupart des ingénieurs français du xviiie siècle reposait sur les principes fondamentaux et la pratique de l’architecture civile. Rares furent les architectes vraiment créateurs. Ils pouvaient reproduire les ensembles de casernes, les chapelles de garnison, les hôpitaux militaires courants dans les villes forteresses de France ; toutes ces constructions ne manquaient pas d’élégance. Ils pouvaient même dessiner les plans de « châteaux » coloniaux ou de « palais » d’intendants, pourvu qu’on n’exige pas trop d’originalité. D’après Ramsay Traquair*, Chaussegros ne fit pas exception à la règle. Au sujet du travail de ce dernier à la vieille église Notre-Dame de Montréal (1772–1830), Traquair déclare : « Si la façade de Notre-Dame doit être prise comme un bon exemple de son talent d’architecte, ses connaissances et ses dons de dessinateur étaient vraiment très minces. » Cependant, Chaussegros a préparé tous les plans, coupes et élévations de la deuxième église cathédrale de Québec (construite avec une aide minime de la cour) et il entreprit également les travaux de réfection du château Saint-Louis et la rénovation de l’intendance après le départ de Claude-Thomas Dupuy*. Il traça des plans de prisons et autres constructions utilitaires.

Chaussegros de Léry fut diversement apprécié comme administrateur technique. Philippe de Rigaud* de Vaudreuil, avec qui il eut de sérieuses divergences au sujet des travaux de rénovation du château Saint-Louis, le critiqua, allant jusqu’à laisser entendre qu’il était un menteur ; Dupuy l’ignora ; Beauharnois lit son éloge et écouta ses conseils ; Gilles Hocquart* fit de même jusqu’à ce que Chaussegros tente de lui signaler les faiblesses de ses plans au sujet des chantiers navals de Québec ; le gouverneur Duquesne* l’assomma avec des fleurs ; François Bigot*, attirant l’attention en 1748 sur les comptes incomplets relatifs au fort Saint-Frédéric, se plaignit du fait que l’ingénieur en chef ne faisait pas rapport à l’intendant et il ajouta que de toute façon on devrait le démettre, étant donné son âge avancé. Dans au moins deux circonstances, en 1730–1731 et de nouveau en 1748–1749, le ministre soupçonna Chaussegros d’avoir tiré un bénéfice personnel à la suite de collusions avec des entrepreneurs ; il ordonna une enquête mais on fut incapable de prouver quoi que ce soit. Quoi qu’il en soit, il était commun chez les bureaucrates de soupçonner les ingénieurs de malversation, tant en France qu’aux colonies. D’autre part, il y eut des cas où Chaussegros s’employa à trouver des moyens de pratiquer des économies au bénéfice de la couronne ; il refusa d’approuver les rénovations extravagantes qu’avait proposées la marquise de Vaudreuil [Joybert*] en 1723–1724 ; il chercha à rendre la résidence de l’intendant d’une plus grande sécurité contre l’incendie en enlevant une grande partie des lambris de bois qu’y avait fait poser Dupuy, sans pour autant laisser perdre les matériaux enlevés ; il porta une attention particulière à la qualité de l’ardoise qu’on venait de découvrir au Canada et dont l’usage pour la toiture des bâtiments publics éviterait l’importation toujours coûteuse d’ardoise en provenance de France,

Chaussegros avait le tempérament vif, trait de caractère que les autorités attribuaient à son origine provençale ; il avait, tout autant que quiconque à l’époque, le sentiment de l’importance du rang social. Les difficultés qu’il rencontra dans sa carrière ont pu découler du fait qu’il n’était pas conscient des limites de sa compétence. Il sollicita la croix de Saint-Louis pendant 25 ans avant de l’obtenir finalement en 1741 ; il chercha à cor et à cri à faire reconnaître la prépondérance qu’avait à ses yeux la charge d’ingénieur en chef. Avant 1724, il demanda qu’on lui accorde le même titre que Verville à l’île Royale. Il fit remarquer amèrement, en 1749, que le traitement qu’il avait reçu au cours des ans s’élevait à un peu plus du tiers du salaire qu’Étienne Verrier avait retiré avant la chute de l’Île Royale en 1745. Non seulement il s’opposa aux plans de Franquet pour la modification des fortifications de Québec mais il menaça de ne pas les exécuter. Seule sa mort survenue en 1756 empêcha sa mise à la retraite forcée. En 1754 il sollicita même le privilège honorifique d’être nommé premier ingénieur au ministère de la Marine en raison de ses longs et loyaux services. Parmi les papiers de Chaussegros de Léry aux Archives Nationales du Québec on trouve des lettres du comte de Toulouse, de Philippe, duc d’Orléans, et du duc de Penthièvre, dans lesquelles ceux-ci, accusant réception de ses lettres, lui renouvellent l’assurance de leur affection à son endroit et à celui de sa famille et promettent de faire tout en leur pouvoir pour l’aider dans sa carrière. À mesure que se succédaient les ministres, Chaussegros cherchait à s’assurer d’être recommandé auprès des autorités du moment. Toutefois, lorsque Maurepas l’informa froidement en 1738 qu’en ce qui avait trait à son admission dans le corps des ingénieurs, Chaussegros devrait s’adresser personnellement au marquis d’Asfeld, insinuant par là que lui, Maurepas, ne pouvait rien pour l’aider, Chaussegros répondit qu’en l’occurrence il préférait demeurer dans la colonie et il réitéra au ministre l’assurance de son parfait dévouement.

Chaussegros fit un beau mariage et prit place parmi les familles en vue de la colonie. En 1747, il défendit avec succès le droit de ses enfants à l’héritage de leur grand-père maternel, René Legardeur de Beauvais. Il donna une de ses filles, Louise-Madeleine, en mariage à Michel Chartier* de Lotbinière, en 1747, et une autre, Marie-Madeleine-Régis, à Louis Legardeur* de Repentigny, en 1750. Par ses fils, il établit une lignée qui se distingua, tant en France qu’au Canada, dans le civil et le militaire.

Chef d’une nombreuse famille, Chaussegros de Léry n’était pas particulièrement fortuné ; à sa mort il possédait cependant deux lots dans la ville de Québec ; sa maison s’élevait sur un de ces terrains, situé rue Sainte-Famille et acheté du séminaire en 1726 ; l’autre lui fut concédé en 1732. Il possédait également en bordure du Richelieu, une seigneurie qui lui avait été concédée en 1735 ; elle avait deux lieues de front sur trois de profondeur et s’étendait des limites de la seigneurie de Longueuil, au nord-ouest, en direction du lac Champlain. Il avait un esclave noir, d’environ 25 ans, évalué à 1 200# environ. Les obsèques de Chaussegros de Léry coûtèrent 1 016#, 15s.

L’héritage historique laissé par Chaussegros de Léry comprend des cartes géographiques, des plans et des documents relatifs aux fortifications, aux bâtiments publics, aux aménagements portuaires et urbains. Ses plans en relief des fortifications de Québec (1720) et de Montréal (1721) ont été longtemps conservés au Louvre, mais se sont finalement désagrégés au cours du xixe siècle.

Son « Traité de fortification » fut recommandé pour publication en 1727 par Beauharnois mais Maurepas refusa, censément, en raison du coût élevé de l’impression, particulièrement en ce qui avait trait aux illustrations. La véritable raison en était peut-être que les officiers supérieurs du corps du génie n’avaient pas une haute opinion de sa valeur. Divers traités sur les fortifications parurent à cette époque-là ; certains avaient été écrits par des ingénieurs français distingués, soit sous leur nom véritable, soit sous un pseudonyme. Bien d’autres manuscrits sur le sujet ont sans doute été refusés.

Le « Traité » avait ceci en commun avec d’autres de la même époque qu’il avait tendance à condamner les ouvrages antérieurs sur la question ; il est étrange que Chaussegros reproche à ses prédécesseurs les mêmes fautes que lui impute le gouverneur Duquesne, soit un manque d’esprit pratique et une façon de voir par trop théorique. Duquesne semble s’être trompé dans la mesure où la théorie de Chaussegros était elle aussi erronée. Divers ouvrages parus avant et après qu’il eut achevé son manuscrit mettent l’accent sur la nécessité d’adapter les fortifications aux particularités du terrain situé alentour – ce qui semble l’idée maîtresse de son traité – mais paraissent l’avoir fait plus efficacement. C’est sa propre façon d’adapter la construction à la géographie du terrain qui était fautive.

Tout compte fait, Gaspard-Joseph Chaussegros de Léry mérite une place importante dans l’histoire de la Nouvelle-France à titre d’architecte des bâtiments publics et des fortifications des villes de la colonie au xviiie siècle aussi bien que des forts qui la défendaient. Son nom est lié pour toujours à certains sites historiques : Québec et le fort Chambly en terre canadienne et le fort Niagara de l’autre côté de la frontière, aux États-Unis.

F. J. Thorpe

Le manuscrit de Gaspard-Joseph Chaussegros de Léry intitulé « Traité de fortification divisé en huit livres » est conservé aux APC sous la cote MG 18, K2.— AN, Col., B, 38–99 ; C11A, 36–100 ; D2C, 222, 1, p. 142 (copie aux APC) ; Section Outre-Mer, Dépôt des fortifications des colonies, Am. sept., nos 285–304, 305–308, 395–424, 425–429, 462, 463, 470–489, 499–501, 506–513, 519–521, 530–532, 540–542.— ANQ, Greffe de R.-C. Barolet, 15 mai 1756.— APC, MG 8, G24.— Archives municipales, Toulon, État civil, Sainte-Marie-de-la-Seds, 3 oct. 1682.— Documents relatifs à la monnaie sous le régime français (Shortt).— Franquet, Voyages et mémoires sur le Canada, 174–176. Inv. des papiers de Léry (P.-G. Roy).— Fauteux, Les chevaliers de Saint-Louis, 136.— Le Jeune, Dictionnaire.— P.-G. Roy, Inv. contrats de mariage, II : 30 ; Inv. ins Prév. Québec, I : 138 ; Inv. jug. et délib., 1717–1760, I : 232, 240s., 266, 271, 297 ; II : 47, 158 ; III : 114 ; V : 30, 37, 39, 190, 263s. ; Inv. ord. int., I : 249, 286 ; II : 52, 55 ; III : 127 ; Inv. testaments, I : 116.— Dubé, Claude-Thomas Dupuy, 153, 176, 277. Antoine Roy. Les lettres, les sciences et les arts au Canada sous le régime français (Paris, 1930), 140, 184.— Stacey, Quebec, 1759.— Stanley, New France. Ramsay Traquair, The old architecture of Quebec (Toronto, 1947).

Bibliographie générale

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F. J. Thorpe, « CHAUSSEGROS DE LÉRY, GASPARD-JOSEPH (1682-1756) », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 19 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/chaussegros_de_lery_gaspard_joseph_1682_1756_3F.html.

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Auteur de l'article:    F. J. Thorpe
Titre de l'article:    CHAUSSEGROS DE LÉRY, GASPARD-JOSEPH (1682-1756)
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1974
Année de la révision:    1974
Date de consultation:    19 mars 2024