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Titre original :  Photograph of James Henry Fleming standing outside, date and photographer unknown, signed by J.H. Fleming 1925.
Courtesy of the Royal Ontario Museum, © ROM

Provenance : Lien

FLEMING, JAMES HENRY, naturaliste, né le 5 juillet 1872 à Toronto, fils unique de James Fleming, homme d’affaires, et de Mary Elizabeth Wade, sa deuxième femme ; le 8 décembre 1897, il épousa à Ottawa Christine Mackay Keefer (décédée en 1903), et ils eurent une fille et un fils, puis le 14 octobre 1908 à Aston Sandford, Angleterre, Caroline Toovey (1878–1958) ; décédé le 27 juin 1940 à Toronto.

James Henry Fleming, communément appelé Harry, vit le jour, grandit et passa toute sa vie à Toronto. La maison de son enfance se trouvait au coin sud-ouest des rues Yonge et Elm, où son père, immigrant écossais et grainetier prospère, avait fondé en 1837 une exploitation horticole de deux acres et demi sur un terrain appartenant à Jesse Ketchum*. À la naissance de Fleming, en 1872, les jardins, situés dans ce qui était alors la banlieue nord d’une ville comptant moins de 10 000 habitants, étaient déjà non seulement une entreprise commerciale florissante, mais également une oasis le long de la rue Yonge, voie publique principale. Les terrains luxuriants offraient tout un monde d’exploration à un jeune garçon, et ce fut dans cet environnement que Fleming, toujours accompagné d’un terre-neuve répondant au nom de Wallace, nourrit son inclination pour l’histoire naturelle. Sa passion de collectionneur débuta quand il se mit à chercher des insectes dans les jardins et à les épingler pour les exposer. L’un des plus vieux souvenirs ornithologiques de Fleming était celui d’hirondelles noires qui nichaient dans la cabane à oiseaux placée par ses parents dans les jardins, cabane qu’il installerait près de la maison dont il ferait l’acquisition en 1892. La propriété accueillait souvent des excursions pédagogiques de la University of Toronto et Fleming pouvait suivre les étudiants pour glaner de l’information intéressante.

Grâce à la réussite de son entreprise horticole, le père de Fleming était devenu un citoyen bien en vue de sa ville, exerçant les fonctions de juge de paix et de conseiller municipal. Pour le jeune Harry, les jardins représentaient à la fois un incubateur pour ses champs d’intérêt en histoire naturelle et la source de la richesse familiale qui lui permettrait de poursuivre sa passion de toute une vie pour la collection d’oiseaux et d’ouvrages ornithologiques. À sa mort, en 1887, Fleming père laissa à sa femme et à son fils un domaine valant près de 200 000 $, et la grande partie des terres iraient à Harry à son vingt-cinquième anniversaire.

Fleming fit ses études d’abord à la Toronto Model School, puis à l’Upper Canada College, où il obtiendrait un diplôme en 1889. Les connaissances qu’il acquit par lui-même pendant ses jeunes années, à la maison et dans les environs, détermineraient toutefois son parcours d’adulte. En 1884, à l’âge de 12 ans, Fleming trouva dans l’herbe un petit nid de bruant vespéral garni de quatre œufs non éclos. Il retira délicatement le contenu des œufs et l’ajouta à sa collection qui renfermait déjà des colibris empaillés achetés chez des fournisseurs de chapeliers qui vendaient ces oiseaux aux couleurs vives comme ornements pour les chapeaux des élégantes Torontoises. Les colibris coûtaient 10 cents chacun et, en économisant 5 des 15 cents qu’il recevait chaque jour pour son repas du midi, le naturaliste en herbe pouvait se payer six spécimens différents en deux semaines. Il gérerait ses finances personnelles sensiblement de façon identique pendant le reste de sa vie.

Au début de son adolescence, Fleming subit l’influence de deux établissements victoriens. Le premier était la boutique du taxidermiste William Cross, située rue Queen Ouest, entre le domicile de Fleming et l’Upper Canada College. Comme d’autres ateliers similaires, c’était un lieu de rencontre précieux du réseau local d’histoire naturelle. Sportifs, collectionneurs d’œufs et passionnés de nature de tous horizons s’y rassemblaient quotidiennement pour échanger des anecdotes, des spécimens et des idées ; Fleming y noua, avec des naturalistes et collectionneurs partageant les mêmes idées, les contacts sociaux qui serviraient d’assise à sa carrière d’ornithologue. L’un des personnages les plus marquants fut William Brodie*, qui deviendrait un mentor important pour Fleming après le décès de son père.

Le deuxième établissement victorien qui exerça une influence considérable sur Fleming fut le British Museum (Natural History), à Londres. En 1886, l’adolescent accompagna son père au Royaume-Uni et explora la collection du musée. Il garda de cette découverte une impression indélébile et, avant de retourner au Canada, informa son père qu’il avait pour objectif de constituer une collection d’oiseaux représentative.

En 1888, Fleming commença à tenir un carnet de terrain détaillé pour décrire ses observations. Ce journal, qu’il alimenterait fidèlement jusqu’à ses derniers jours, lui ouvrit les portes de la sous-section ornithologique du Canadian Institute en 1889, grâce à une disposition spéciale pour l’adhésion de jeunes membres associés ; sa relation avec l’institut l’habilita à participer à la collecte de documents et de spécimens d’oiseaux de l’Ontario. À la suite d’un séjour de deux ans en Europe, au cours duquel il étudia pendant une courte période à la Royal School of Mines de Londres, il revint à Toronto en 1891 et se consacra à plein temps à ses activités d’ornithologue amateur.

En 1892, Fleming acheta une maison sur Rusholme Road, près de la propriété de George Taylor Denison*, appelée Heydon Villa. Le quartier situé entre les rues Bloor et College était alors entouré de vastes étendues non boisées et de terrains en friche. Fleming se lança avec ardeur dans la collection d’oiseaux des alentours et en tua 77, de 44 espèces différentes, dans le seul mois de mai 1892. L’un des incidents les plus notables se produisit le soir du 6 juin 1892 quand Fleming, tout en sachant que l’espèce était en voie d’extinction, visa et blessa la dernière tourte voyageuse jamais recensée dans la région de Toronto. Ce fut la seule fois que Fleming vit une tourte voyageuse vivante à l’état sauvage. Cet épisode témoigne de l’importance extrême qu’on accordait à la collection de spécimens, aspect caractéristique de l’histoire naturelle à cette époque.

À la fin du xixe siècle, la constitution de collections fit l’objet d’une antipathie grandissante – la toute nouvelle Toronto Humane Society comptait parmi les associations et les gens qui partageaient ce sentiment – et les autorités provinciales se mirent à limiter la délivrance de permis de chasse. Mais Fleming voyait les choses différemment. À l’instar d’autres naturalistes tels que Thomas McIlwraith*, même s’il tenait beaucoup à la protection des espèces, il défendait la valeur des spécimens et de l’activité décrite comme une « ornithologie au fusil » pour l’établissement de collections de recherche et pour le progrès de la science. Comme il l’écrivit dans le Globe en 1897 : « L’ornithologue qui travaille en vue des connaissances qu’il obtient est le meilleur protecteur que les oiseaux puissent avoir. Il explique au petit garçon armé d’une carabine de calibre 22 le mal qu’il fait ; il décourage de toutes les façons possibles l’abattage inutile d’oiseaux et on le trouve lui-même sur le terrain muni de jumelles plus souvent que d’un fusil. [Les oiseaux] qu’il tue [sont ceux qu’]il recherche, et il peut faire bon usage des spécimens qu’il se procure ainsi. »

En 1892–1893, Fleming visita les Antilles où il attrapa la malaria qui l’affligerait le reste de sa vie. En 1893, il représenta l’Ontario à l’Exposition universelle de Chicago avec une série d’oiseaux empaillés, puis, entre 1895 et 1897, il remplit les fonctions de conservateur de la collection muséale du Canadian Institute. Comme il n’y avait plus de débouché professionnel à Toronto, ni au Canada d’ailleurs, qui aurait permis à Fleming de poursuivre sa passion et de rassembler une collection d’oiseaux représentative, il façonna sa propre trajectoire pour réaliser son ambition. En 1894, il s’était associé à un taxidermiste local pour lancer un commerce dans l’ancienne boutique de fleuriste de son père et se servit de cette entreprise pour se procurer des spécimens et des données sur les espèces. La boutique suivit la tradition victorienne que représentait l’atelier de Cross et devint le foyer de l’activité régionale en matière d’histoire naturelle. Fleming s’y lia d’amitié avec Percy Algernon Taverner*, qui deviendrait un collègue, un correspondant pour la vie et, grâce en partie à l’intervention de Fleming auprès de John Macoun*, le premier conservateur d’oiseaux au Musée commémoratif Victoria à Ottawa (renommé Musée national du Canada en 1927). Au milieu des années 1890, Fleming indiquait déjà que sa profession était « naturaliste ».

Fleming avait hérité de bien plus que du vaste domaine de son père ; il était aussi héritier de l’idéal victorien qui vantait le perfectionnement personnel du citoyen éclairé par l’étude de la nature. L’amateurisme en histoire naturelle était au goût du jour et on s’attendait à ce que la personne cultivée s’y consacre. À la fin du xixe siècle et au début du xxe, la professionnalisation des sciences était encore peu répandue en ornithologie. Fleming n’aurait pas pu être un ornithologue professionnel, tout simplement parce qu’au Canada cette profession n’existerait que plus tard au xxe siècle. De plus, jusqu’en 1927, le pays fut dépourvu d’une collection nationale officielle en histoire naturelle, même si la Commission géologique du Canada et le Musée commémoratif Victoria conservaient des objets rassemblés par des hommes tels que George Mercer Dawson*, Robert Bell* et Macoun.

Fleming retourna en Grande-Bretagne au printemps de 1895 pour visiter le British Museum (Natural History) et profita de son séjour pour entretenir des relations d’affaires avec de nombreux marchands parmi les plus importants à l’échelle internationale, dont Ernst Mayr Hartert, conservateur d’oiseaux de la plus grande collection privée en histoire naturelle au monde, réunie par Lionel Walter Rothschild. Au cours des années suivantes, Fleming acquerrait de Rothschild, en échangeant, en achetant, ou autrement, un grand nombre de spécimens rares. Il se rendrait dans la région de Londres 11 fois de plus au cours de sa vie. Il développa également de solides relations professionnelles et amitiés avec les naturalistes et ornithologues éminents d’établissements aux États-Unis, notamment l’American Museum of Natural History à New York, la Smithsonian Institution à Washington, l’American Academy of Arts and Sciences à Philadelphie, le Museum of Comparative Anatomy de la Harvard University à Cambridge, au Massachusetts, et le Field Museum of Natural History à Chicago.

Fleming devint une figure familière aux rencontres des principales sociétés d’ornithologie en Amérique du Nord et assista aussi à quelques réunions importantes en Europe. En 1905, il fut le seul Canadien à participer à l’International Ornithological Congress (IOC) à Londres, où il présenta un article scientifique et rencontra de nombreux ornithologues parmi les plus renommés au monde, qu’il décrivit en plaisantant dans une lettre à sa mère : « Le congrès est terriblement bruyant [.] Comme dans [l’histoire de] la tour de Babel, n’importe quelle langue se parle ici, apparemment plus c’est fort, mieux c’est […] Nous avons la collection la plus extraordinaire d’hurluberlus […] Girafes et barons et excentriques, certains dans des caisses, d’autres non. » Au Canada, cette année-là, de concert avec Taverner et William Edwin Saunders, Fleming fonda le Great Lakes Ornithological Club, qui avait un intérêt particulier pour la riche faune aviaire des environs de la Pointe-Pelée, en Ontario. Les activités du club joueraient un rôle essentiel dans le projet de création du Parc national de la Pointe-Pelée. L’organisme serait aussi reconnu pour son œuvre de pionnier dans le baguage des oiseaux au Canada. Le 24 septembre 1905, Fleming donna l’exemple en attrapant dans sa cour un merle d’Amérique et en lui fixant à la patte un anneau de métal portant le chiffre 1, premier marquage de ce genre au pays.

Fleming acquit la plus grande partie de sa collection entre 1903 et 1925, achetant, échangeant ou abattant environ 31 500 oiseaux au cours de cette période. Les peaux de ces spécimens étaient conservées à des fins d’études et étaient entreposées dans des caisses muséographiques scellées. Son ensemble d’oiseaux de la région de Toronto était remarquablement exhaustif et renfermait des spécimens obtenus de la plupart des naturalistes réputés de l’époque. Les histoires et renseignements associés à ces dépouilles constituent les archives d’un domaine d’étude alors naissant au Canada. Fleming agrandit sa maison en 1904 pour loger sa collection en pleine expansion, puis construisit une autre annexe de deux étages en 1925 pour ses oiseaux et sa bibliothèque. À sa mort, en 1940, son musée privé renfermait 32 267 dépouilles d’oiseaux (soit la collection d’oiseaux privée la plus représentative au monde à l’époque), plus de 2 000 ouvrages ornithologiques reliés (soit presque la totalité des textes les plus importants publiés en anglais), 10 000 articles scientifiques et une correspondance ornithologique de quelque 50 années. La collection complète fut léguée au Musée royal de l’Ontario, où Fleming avait été nommé conservateur d’oiseaux honoraire en 1927. Il avait précédemment reçu le titre de conservateur honoraire en ornithologie au Musée commémoratif Victoria en 1913, titre qui reconnaissait son don de plus de 350 oiseaux naturalisés pour la présentation au public ; son legs témoigne de son travail inlassable et de son désir de voir une collection ornithologique de renommée mondiale dans son propre pays.

L’activité de collectionneur de Fleming était complémentaire à sa compréhension détaillée de l’ornithologie tant historique que contemporaine. Il possédait un appétit vorace pour la lecture et consacrait une grande partie de son temps à l’étude approfondie d’articles de revues ornithologiques et de récits d’explorations et biographies d’explorateurs en histoire naturelle. Il se tenait également à jour dans son domaine : il participa aux activités de l’American Ornithologists’ Union (AOU), principal organisme ayant pour vocation l’étude des oiseaux en Amérique du Nord, de 1893 jusqu’à sa mort. Membre illustre de l’AOU, il fut élu à sa vice-présidence en 1926, quand l’association se réunit pour la première fois au Canada, puis à sa présidence en 1932. La carrière de Fleming atteignit son apogée en 1934, quand il assista à l’IOC à Londres. Il y célébra son soixante-deuxième anniversaire en se faisant photographier, comme président de l’AOU, en compagnie des présidents de l’IOC et de la British Ornithologists’ Union. Son nom était devenu synonyme d’une institution, amalgame de l’homme et des archives ornithologiques qu’il avait rassemblées.

En 1935, avant la fin du mandat de Fleming comme président de l’AOU, l’ornithologie était arrivée à un point de bifurcation important. Une branche émergea en tant que science professionnelle spécialisée, tandis que la plus ancienne continua selon les principes victoriens de l’histoire naturelle pour amateurs. Les revues ornithologiques, et au premier chef celle de l’AOU, l’Auk, demandaient des articles au contenu plus scientifique et théorique, et l’observation sur le terrain était en voie de supplanter l’activité de collectionneur. Au même moment, les organismes d’histoire naturelle qui avaient été florissants au tournant du siècle reprenaient de la vigueur et Fleming participait à leurs travaux. Par exemple, le Brodie Club (fondé sous le nom de Toronto Naturalists’ Club en 1921), le Toronto Ornithological Club et le Toronto Field-Naturalists’ Club étaient des associations essentielles dans les années 1930 et Fleming occupait des postes de membre honoraire, mais actif, au sein de toutes.

En visite au domicile de Fleming le 2 mars 1938, Doris Huestis Speirs écrivit : « il appartient à l’ancienne école des vrais gentlemen canadiens, avec sa barbe et ses cheveux blancs bien coupés, comme ceux de mon grand-père. Il a des manières parfaites [… et voue] un amour passionné aux oiseaux. » Un peu plus de deux ans plus tard, Fleming mourut d’un « durcissement des artères du cerveau » et fut inhumé au cimetière Toronto Necropolis ; l’inscription sur sa pierre tombale le décrit simplement comme « ornithologue ».

James Henry Fleming fit carrière pendant une période, courte, où il était possible pour un naturaliste amateur d’atteindre les sommets de l’ornithologie internationale, à un moment où elle évoluait d’une science descriptive basée sur la collection de spécimens vers une science plus théorique et axée sur le comportement animal. Il reconnaissait les avantages que pouvaient fournir tant la spécialisation professionnelle que l’histoire naturelle pour amateurs et accordait de la valeur aux activités de chacune. Reconnu comme doyen de l’ornithologie canadienne, Fleming mena une carrière d’ornithologue brillante et fut reconnu internationalement pour sa collection privée exhaustive et ses connaissances en ornithologie systématique. Ses réalisations de collectionneur n’eurent aucun précédent canadien et ne purent être réitérées par une personne seule. Il compte parmi un petit nombre de collectionneurs privés en histoire naturelle ayant apporté des contributions de cette envergure dans le monde entier.

Michael S. Quinn

James Henry Fleming a légué toute sa collection d’oiseaux, de livres et de documents au Musée royal de l’Ontario (Toronto). Le J. H. Fleming Fonds (SC29), conservé aux Bibliothèques et Arch. du musée, témoigne de l’impressionnante activité ornithologique de Fleming entre 1891 et 1940. Il contient plus de 10 000 pièces (manuscrits, photographies, notes, journaux personnels et albums), ainsi qu’environ 8 500 lettres échangées avec plus de 725 personnes et organismes. On y trouve également « The Fleming memorial papers », recueil de souvenirs personnels et d’éléments biographiques que le Brodie Club a produit en 1940.

Fleming a publié des articles dans la plupart des revues ornithologiques importantes de son époque. Le texte de L. L. Snyder, « In memoriam : James Henry Fleming », Auk : a Quarterly Journal of Ornithology (New York), 58 (1941) : 1–12, se termine par une bibliographie exhaustive. Fleming a aussi écrit « Protecting our birds », Globe, 15 mai 1897 : 2.

Cyrus Leger, « Master ornithologist », Toronto Star Weekly, 26 nov. 1932 : 4.— Biographical dictionary of American and Canadian naturalists and environmentalists, K. B. Sterling et al., édit (Westport, Conn., 1997), 271–273.— R. D. James, « James Henry Fleming (1872–1940) », dans Ornithology in Ontario, M. K. McNicholl et J. L. Cranmer-Byng, édit. (Whitby, Ontario, 1994), 171–174.— M. S. Quinn, Finding aid to SC29 : the J. H. Fleming collection, Royal Ontario Museum, Library and Archives (Toronto, 1993 ; exemplaire au musée) ; « The natural history of a collector : J. H. Fleming (1872–1940), naturalists, ornithologists and birds » (thèse de ph.d., York Univ., Toronto, 1995).— P. A. Taverner, « James Henry Fleming, 1872–1940 : an appreciation », Canadian Field-Naturalist (Ottawa), 55 (1941) : 63–64.

Bibliographie générale

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Michael S. Quinn, « FLEMING, JAMES HENRY », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 19 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/fleming_james_henry_16F.html.

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Auteur de l'article:    Michael S. Quinn
Titre de l'article:    FLEMING, JAMES HENRY
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    2017
Année de la révision:    2017
Date de consultation:    19 mars 2024