Bourg, Le Roux, toutefois, est considéré comme le premier prêtre résidant à Memramcook. La paroisse fondée à cet endroit reçut le nom de son patron, saint Thomas
Bourgeau, et travaille à la voûte et au presbytère. Mais, déjà en 1875, apparaît le nom d’Augustin Leblanc fils qui semble prendre la relève de son père. Cependant sa carrière ne paraît pas durer longtemps
l’établissement ». On l’accusa aussi d’avoir acquis des terres « sous des noms d’emprunt ». Son honnêteté fit l’objet d’une nouvelle attaque, après sa mort, quand un groupe de 15 hommes, Acadiens
de lui seul au nom de « Havy et Lefebvre » se trouve aux APC, MG 24, L3 (Lefebvre à Dargenteuil, Québec, 13 oct. 1760). Le décès de Lefebvre est mentionné aux AN, 62 AQ, 36 (François Havy à
Louis sert également dans les troupes de la Marine ; les mémoires du temps sur le déroulement de la campagne militaire désignent les frères, tous deux capitaines, sous le nom de M. de
Bay, lac Supérieur). On l’a souvent confondu avec ses frères et ses cousins ; il était habituellement désigné sous le nom de Saint-Pierre ou de sieur de Saint-Pierre
notable influent. Il reçoit en 1652, avec des associés, la seigneurie du Cap-des-Rosiers. En 1653, il représente la côte Saint-Michel dans l’élection du syndic de Québec. Son nom figure dans la liste des
époque, Alexis adopte le nom de « Monière » (peut-être inventé à partir d’un anagramme de Lemoine), suivant ainsi la coutume des voyageurs, elle-même calquée sur une particularité de la société
., passim.— Recensement du Canada, 1681 (Sulte).— Philéas Gagnon, Noms propres au Canada français, BRH, XV (1909) : 121.— Tanguay, Dictionnaire, I : 381— Sulte
cette occasion. La Société des Filles du cœur de Marie se caractérise par l’absence d’habit, de nom religieux et de couvent, et constitue une congrégation clandestine en quelque sorte, dont le charisme
dernier châtiment lui fut imposé après qu’une gardienne nommée Mick eut rapporté qu’elle lui avait « crié des noms, tenu des propos ignobles, menacée, etc
obtint de demeurer dans la colonie jusqu’en 1720 et l’année suivante on le retrouve en France. Maintenant capitaine réformé, il reçut une pension jusqu’en 1723, dernière année où son nom figure sur les
Léry en 1727 pour orner les portes et les édifices administratifs de la ville de Québec.
Bien que le nom de Levasseur apparaisse dans les livres de
and Watt au nom des propriétaires du Frontenac, bateau à aubes alors en construction à Bath, dans le Haut-Canada. La compagnie londonienne demandait également d’envoyer un mécanicien
petite-nièce de Theodore Pringle et élevèrent trois neveux d’Isabella Helen ; ces derniers prirent le nom de Burr-Loblaw ; décédé le 2 avril 1933 au même endroit
LOLA (Laurent, Lawlor), NOEL (connu aussi sous le nom de Newell Lolar), chasseur malécite, guide et figure légendaire
LOLA, PETER (connu aussi sous le nom de Pierre ou Peter Laurent), chef malécite, guide et coureur à
langue des Sauteux, langue d’usage de la traite des fourrures, Long fut engagé en 1777 par un marchand (dont il n’indique pas le nom) qui lui confia la direction d’un groupe de trafiquants devant se rendre
protestantes de la cité de Montréal donna son nom à une école élémentaire qui fonctionna de 1908 à 1941.
Le fils de Lunn, Alexander Hutchison Lunn
Wallace), Ottawa, 1926.— Gagnon, Noms propres au Canada français, BRH, XV (1909) : 119.— Le Jeune, Dictionnaire.— Prowse, History of Nfld., 239s.— [P.–G. Roy], Un