contrebande. Il recueillit tous les fonds qu’il put trouver et, en compagnie de plusieurs associés, la marchandise transportée à dos de mulets, il partit pour la rivière du Nord (Rio Grande). Cependant, la
d’hommes fut renvoyée à la nouvelle et puissante association de traite formée en cette année 1627, sous le nom de Compagnie de la Nouvelle-France, dite aussi des Cent-Associés, et autorisée à faire la traite
(Saskatchewan) et, en 1815, on le chargea du Rock Depot (Gordon House) sur la rivière Hayes. En 1818, il assuma la surveillance des affaires de la compagnie au lac La Pluie. Malgré son apparente réussite
à Buffalo avec Buckland et Russell Searle Brown, de la compagnie de produits pharmaceutiques Starkweather and Brown. D’après l’entente, Buckland recevrait 15 p. cent des profits et Brown 25 p. cent
.
Mais la Compagnie des Cent-Associés fit plutôt vérifier les comptes de la Communauté des Habitants et en profita pour limiter le pouvoir judiciaire du gouverneur. Incapable de payer ses dettes, la
marchandises pour une valeur variant en moyenne de £500 à £1 000 et pouvant atteindre £3 000, à un taux courant de 6 p. cent, sauf une exception à un taux de 10 p. cent. Il n’emprunta qu’une seule fois
ressources financières, probablement le seul qui en fut capable) réussit à mener à terme les négociations qui sauvèrent les deux compagnies de la faillite. L’entente conclue par Ellice
1885. En janvier 1888, avec le comptable Jean-Baptiste-Albert Martin et le commis Joseph-Octave Boucher, il forma la société de commerce en gros Laporte, Martin et Compagnie. Il s’occupait de
qu’ils eussent des concurrents tout près, à Dalhousie, McMillan prétendit en 1858 que Travis et lui dirigeaient depuis Campbellton 80 p. cent du commerce du bois dans le comté de Restigouche
plus hauts enchérisseurs à Québec. Il détenait 50 p. cent des actions dans cette compagnie, Bréard, 25 p. cent, Guillaume
1788 ou 1789, Allan s’établit à Niagara (Niagara-on-the-Lake, Ontario), probablement en tant que commis de George Forsyth, directeur de la succursale que la compagnie avait dans cette ville. Important
.
En 1746, le contrat de Lamaletie avec Lapointe fut prolongé jusqu’en décembre 1752 et la part de Lamaletie sur les profits portée à 50 p. cent. C’est donc un jeune homme heureux en affaires, dans la
sa propre compagnie d’expédition.
Ce fut le commerce des grains qui permit à Laidlaw de discerner les imperfections du système de transport
1846 et Stephens quitta la compagnie ; la maison continua cependant d’importer des marchandises américaines. Young s’associa également avec Benjamin
renonce à le reconstruire.
En 1847, les trois associés et Gaspard Tarieu Taillant de Lanaudière obtiennent la reconnaissance juridique de la Compagnie du
ceux qui désirent ardemment le rappel de l’Acte de Québec. Le 2 décembre 1775, l’armée américaine se trouvant aux portes de Québec [V. Benedict
alors une entreprise considérable. Le pays, plat et sablonneux, est « plein de savanes et de brûlés, où se trouve la mine par veines [...] le minerai [...] rend 33 pour cent de pur et excellent
d’Auger* de Subercase, devint l’associé de Ganet, sans être un signataire du contrat avec le roi. D’Arrigrand vint à Louisbourg en 1725 et y passa deux ans en compagnie de Ganet
compagnie et s’établit au fort Rupert avec sa femme et trois enfants, en septembre 1851.
Dunsmuir arriva dans un contexte difficile car, malgré les efforts
, professeur au collège des Jésuites de Québec, organiste, commerçant et seigneur, baptisé à Québec le 21 septembre 1645, fils de Jean Jollyet, charron au service de la Compagnie des Cent-Associés, et de Marie