481 à 500 (de 534)
1...23  24  25  26  27  
 
. Tout en faisant affaire avec Moore, Finlay s’était mis également, de son côté, à faire des investissements fonciers. En 1764, il acheta la seigneurie de François Foucault, dans le haut de la rivière
Conseil législatif. La vente de terres de la seigneurie de la Rivière-du-Sud valut à Morin des accusations non prouvées de malversation. Aussi, prétextant son mauvais état de santé, le député de Bellechasse
de propriété du séminaire de Saint-Sulpice relatifs aux seigneuries de l’Île-de-Montréal, du Lac-des-Deux-Montagnes et de Saint-Sulpice. Au printemps de 1819, on avait de nouveau soulevé la question au
politique, journaliste, fonctionnaire et écrivain, né le 24 décembre 1820 dans la paroisse Saint-Louis, à Kamouraska, Bas-Canada, fils de Charles Taché, commerçant, et de Louise-Henriette de Labroquerie
seigneuries appartenant aux sulpiciens, de curé en titre de la paroisse de Montréal et de vicaire général de l’évêque de Québec pour le district de Montréal ; il résigna ce dernier poste en 1764. Jamais
reçut une bonne instruction. De 1829 à 1831, il étudia successivement aux universités de Londres et de Glasgow. À la suite du remariage de sa mère avec Jonathan Barber, médecin et professeur de
 
dénombrement des messieurs de Saint-Sulpice, seigneurs de Montréal, Antoine Roy, édit. (Québec, 1943), 42s.— Procès-verbaux sur la commodité et incommodité dressés dans chacune des paroisses de la Nouvelle
 
, mais, en 1757, il fit 16 engagements pour Michillimakinac (Mackinaw City, Michigan). La guerre ayant sans doute interrompu son commerce des fourrures, il s’y remit en 1761, y investissant par la
BOURGET, IGNACE, prêtre catholique et évêque, né dans la paroisse Saint-Joseph (à Lauzon, Québec), le 30 octobre 1799, fils de Pierre
-Joseph Girouard, François Girouard, s’établit en Acadie durant les années 1640. À la suite de la Déportation, quelques descendants, dont le grand-père de Girouard, Joseph Girouard, vinrent se fixer à
descendant des Chapeleau se trouve parmi les premiers habitants de la seigneurie de Terrebonne. Joseph-Adolphe est sans doute de cette lignée, puisque sa famille est du village de Sainte-Thérèse, dans le
 
brasserie et une nouvelle distillerie dans la seigneurie. Grant s’occupait de la brasserie et de la distillerie, Young des affaires de Québec et Fraser des intérêts de la compagnie à Londres
(Saint-Hyacinthe, 1930), 124, 368.— Azarie Couillard-Després, Histoire de la seigneurie de Saint-Ours (2 vol., Montréal, 1915–1917), 2 : 227.— David, les Gerbes canadiennes, 174
MONTCALM, LOUIS-JOSEPH DE, marquis de MONTCALM, seigneur de Saint-Veran, Candiac, Tournemine, Vestric, Saint-Julien, et Arpaon, baron
Sainte-Anne-de-Beaupré le 11 octobre 1800 du mariage d’Élisabeth Lessard et d’Augustin Caron, cultivateur aisé qui fut député à la chambre d’Assemblée du Bas-Canada, décédé le 13 décembre 1876 à Saint
 ». Comme Murray l’avait constaté, la façon la plus sûre d’atteindre ce but était de les gouverner indirectement, par l’intermédiaire de leurs chefs « naturels », les seigneurs et le clergé
vouloir revenir sous la domination des Français. Aux élections de 1796, les seigneurs, qui dans l’ensemble appuyaient le gouvernement, se virent éliminés en tant que force politique ; la même année
 
propriétaires de la seigneurie de l’île Percée depuis le décès d’un troisième copropriétaire, Charles Bazire*, mort en 1677. Sans doute le père de Joseph
son enfance à Beauharnois, village qui portait le même nom que la seigneurie dont il faisait partie. Exerçant le métier de cordonnier, son père y était, de plus, sacristain de l’église Saint-Clément. Ce
société bas-canadienne. Qu’ils fussent ecclésiastiques, seigneurs, hommes politiques, commerçants ou membres de professions libérales, ses clients appréciaient tout autant la grande ressemblance de ses
481 à 500 (de 534)
1...23  24  25  26  27