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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              . Joseph-Papin Archambault*]. Orateur invité aux côtés de Victor Morin, Henri
              , entre autres, de Joseph-Papin Archambault*, jésuite très actif au
              . Geoffrion exerce au sein du cabinet d’avocats Dorion, Dorion et Geoffrion qui devient, en 1874, Dorion et Geoffrion. En 1878, il est le principal associé de la maison Geoffrion, Rinfret, Archambault et Dorion
               
              ensuite d’étudier le droit chez Joseph-Napoléon-Azarie Archambault, notaire à Varennes. Admis à la pratique du notariat en 1848, il exerça les fonctions de protonotaire du comté de Beauharnois de 1848 à
               
              Willis* et Edmond Archambault*, de Montréal. Désireuse de produire elle-même ses
              depuis leur établissement jusqu’à nos jours (4 vol., Trois-Rivières, 1888–1911), III : 430.— L.-P. Audet, « Urgel-Eugène Archambault instituteur (1851–1859) », Cahiers des Dix
              l’ignorance des enfants de la campagne et encouragée par son curé, le grand vicaire Paul-Loup Archambault*, celle qu’on appelait Christine
               
              construire, à partir de 1815, une dizaine de maisons et dirigea une auberge. À sa mort, ses affaires furent reprises par Urgel Archambault. En 1810, Trullier
              Montréal à un moment décisif de son histoire  [p. s.].— Thérèse Archambault-Lessard, Alexandre et Thomas Wilson, BRH, XLII (1936) : 347–355.
              5 février 1822, il épouse Marie-Marguerite Archambault de la paroisse de La Présentation, près de Saint-Hyacinthe. De ce mariage naîtront sept enfants dont un seul atteindra l’âge
              AC, Saint-François (Sherbrooke, Québec), État civil, Catholiques, Saint-Michel (Sherbrooke), 12 juin 1901 ; Minutiers, J.-A. Archambault, 27 avril 1878.— ANQ-M, CE1-26, 15 juin 1838.— Le
               
              ), Minutiers, Godefroy Chagnon, 1er juin 1827, 24 mai 1830, 3 juin 1846 ; Joliette, Minutiers, Camille Archambault, 26, 29 déc. 1856.— ACAM, RLB, III : 349
              canadien, dossier 121, nos 4–30, 33 ; dossier 126.— Alfred Archambault, « M. Colin et l’Université », Bull. trimestriel des anciens élèves de Saint-Sulpice
               
              (Québec, s.d.).— Allaire, Hist. de Saint-Denis-sur-Richelieu, 212.— J.-B.-O. Archambault, Monographie de la paroisse de Sainte-Rosalie (Saint-Hyacinthe, 1939), 47–48.— Choquette, Hist
              , et bénéficia à domicile d’un nouvel enseignement privé sous la direction de l’abbé Jean-Marie-Ignace Archambault, professeur au collège de Saint-Hyacinthe. Désireuse de se consacrer à Dieu dans la vie
              sœurs du Bon-Pasteur de Québec, Statistiques, 1955, 1975.— Le Canadien, 2 sept. 1885.— Le Jeune, Dictionnaire, I : 205–207.— Papin Archambault, Sur les pas
               
               févr. 1864.— Mélanges religieux, 12 févr. 1850.— Allaire, Dictionnaire.— Le Jeune, Dictionnaire, I : 391.-[J.-P. Archambault], Une œuvre
               
              . Bélisle s’installa alors dans une nouvelle maison à la Pointe-aux-Trembles de Montréal ; le 25 août 1712, il épousa Jeanne Archambault, la fille aînée d’un fermier de l’endroit. Cette union
               
              . Michel Cauchon AC, Joliette, Minutiers, Eugène Archambault, 2 déc. 1834.— AD, Seine-et-Marne (Melun), État civil
              apprend à lire, mais en 1796 la mort de son curé, Pierre-Victor Archambault, chez qui il prend des leçons, interrompt ses études. En 1804, il quitte la ferme familiale pour entrer comme clerc à l’étude du
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