des enfants, Lauson épousa, à Ville-Marie, le 27 novembre 1656, Marie Archambault, âgée de 12 ans, fille de Jacques Archambault et de Françoise Toureault. Bon citoyen, Lauson s’enrôla en 1663 dans la

Jacques Archambault, il échappa de justesse à un massacre où périrent plusieurs colons, dont un seul autre fut rescapé, Jean Chicot, qui en sortit scalpé. Le 18 juin de la même année, il repoussa une autre

colonie. Aussi ce second mariage avec Anne Archambault, célébré à Québec en 1647, fut-il déclaré nul en 1651, et Chauvin, banni de Ville-Marie. C’est la plus ancienne sentence qui nous soit parvenue du

. Bélisle s’installa alors dans une nouvelle maison à la Pointe-aux-Trembles de Montréal ; le 25 août 1712, il épousa Jeanne Archambault, la fille aînée d’un fermier de l’endroit. Cette union

. Michel Cauchon AC, Joliette, Minutiers, Eugène Archambault, 2 déc. 1834.— AD, Seine-et-Marne (Melun), État civil

construire, à partir de 1815, une dizaine de maisons et dirigea une auberge. À sa mort, ses affaires furent reprises par Urgel Archambault. En 1810, Trullier

, et bénéficia à domicile d’un nouvel enseignement privé sous la direction de l’abbé Jean-Marie-Ignace Archambault, professeur au collège de Saint-Hyacinthe. Désireuse de se consacrer à Dieu dans la vie

-Loup Archambault*. C’est pourquoi l’évêque de Québec, Mgr Joseph-Octave

 », 1927–1928 : 246 ; 1932–1933 : 77.— Jacques Archambault et Eugénie Lévesque, le Drapeau québécois (Québec, 1974).— P.[-J.] Aubert de Gaspé, Mémoires (Ottawa, 1866

de l’établissement, dont Paul-Loup Archambault*, et le supérieur, les accrochages sont fréquents. Le supérieur se plaint que les

ARCHAMBAULT, PAUL-LOUP (baptisé Paul), prêtre catholique, administrateur scolaire et vicaire général, né le 29

), Minutiers, Godefroy Chagnon, 1er juin 1827, 24 mai 1830, 3 juin 1846 ; Joliette, Minutiers, Camille Archambault, 26, 29 déc. 1856.— ACAM, RLB, III : 349

(Québec, s.d.).— Allaire, Hist. de Saint-Denis-sur-Richelieu, 212.— J.-B.-O. Archambault, Monographie de la paroisse de Sainte-Rosalie (Saint-Hyacinthe, 1939), 47–48.— Choquette, Hist

Lanctôt et de Laurent Archambault, à Sainte-Marguerite-de-Blairfindie (L’Acadie), et de Jean-Emmanuel Dumoulin, à Trois-Rivières. Admis au notariat le 17 avril 1824, il exerça dès le début de sa

Archambault, veuve de Louis Baudry, ensuite le 16 février 1824, à Sainte-Geneviève (Sainte-Geneviève et Pierrefonds, Québec), Émilie Masson, sœur de Marc-Damase

dut s’avérer lucrative car, en septembre 1806, il s’associa avec un autre important marchand, Pierre-Amable Archambault, pour fonder la fabrique de potasse de L’Assomption. Trois ans plus tard, Leroux

Archambault, de Vaudreuil, lui écrit pour le presser, mais en vain, de se convertir au catholicisme, l’exhortant à dépasser les combats, les obstacles et les troubles assaillant son « noble cœur

, 1 : 685–686.— [J.-P.] Archambault, Sur les pas de Marthe et de Marie : congrégation de femmes au Canada français (Montréal, 1929), 93–99.— [M.-J.-L. Blanchard, dite mère

5 février 1822, il épouse Marie-Marguerite Archambault de la paroisse de La Présentation, près de Saint-Hyacinthe. De ce mariage naîtront sept enfants dont un seul atteindra l’âge