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août 1665, il arrivait à Québec comme capitaine d’une compagnie du régiment de Carignan-Salières. Il dirigeait, en octobre suivant, la construction d’un chemin sur le Richelieu, entre les forts Saint
pelleteries pour renflouer l’économie de la colonie. Il suggéra d’enlever la liberté de traite accordée aux habitants et de confier le monopole du commerce à une seule compagnie de marchands. Ces mesures
 
Havy retourna à Québec pour la troisième fois en 1732, il y vint en qualité d’agent permanent pour établir un entrepôt et un bureau. En compagnie de son assistant et cousin, Jean
 
français. En 1735, le ministre de la Marine, Maurepas, prétendait que, en envoyant des chapeaux de castor demi-foulés (non finis) en France, ils portaient atteinte au monopole de la Compagnie des Indes
l’ouest du cap Ortegal (Espagne), le convoi qui, avec les navires marchands et les bâtiments de la Compagnie des Indes, comprenait en tout 39 bâtiments, fut rejoint par une escadre anglaise de 14 vaisseaux
Le Moyne* d’Iberville et Paul Le Moyne* de Maricourt, représentait dans cette expédition les intérêts de la Compagnie du Nord
 
voyage en compagnie du sulpicien François Picquet et de sa délégation d’Indiens qui reviennent au pays sur la
 
le premier président de la compagnie en 1873, déclara aux actionnaires, deux ans plus tard, que la compagnie avait écoulé de façon satisfaisante une moyenne de 100 harasses par mois depuis le 28
 
prestige de son oncle, Denis Riverin*, qui avait été, de 1702 jusqu’à sa mort en 1717, représentant de la Compagnie de la Colonie en France. En outre
 
, au cours de laquelle il se distingua à la tête d’une compagnie de grenadiers. Après avoir servi longtemps à terre, à Brest, par suite du traité
 
raison de ce renversement d’opinion provenait de faits nouveaux que l’on venait de découvrir : la compagnie qui détenait en France le monopole du marché des peaux de castors, lesquelles fournissaient
 
Pont-à-Mousson, où il se consacra pendant trois ans (1650–1653) à l’étude de la philosophie. Il fut ensuite professeur dans plusieurs collèges de la Compagnie de Jésus. Ordonné prêtre en 1661 et ayant
 
], suivant laquelle l’artillerie des troupes de la Marine passerait d’une à deux compagnies. Afin de contribuer à cette expansion, on envoya un détachement de six officiers et de 20 hommes de l’artillerie
Coton, pour les missions de la Nouvelle-France. Parti de Dieppe en avril 1625, il débarqua à Québec en juin, en compagnie des pères
appartements du Kensington Palace, la « compagne bien-aimée » du duc organisait des dîners intimes, recevait des amis, lisait les œuvres que contenait l’abondante bibliothèque du duc, cousait
 
. Fils de marchand, Guillaume Estèbe était déjà en relation avec certains négociants français avant de s’embarquer pour la colonie. Il se trouve à Québec en 1729, en tant que marchand forain, porteur d’une
 
sociales et dans l’exécution de son travail à Goderich, où il était chargé par la compagnie de gérer le million d’acres que comptaient les terrains de la région appelée Huron Tract. Au cours des années 30
 
maître d’école, né vers 1611 dans le diocèse de Paris, fils de Claude Souart, apothicaire de Son Altesse royale, et de Magdeleine Le Caron, décédé le 8 mars 1691 à Paris et inhumé le lendemain dans la même
 
. Dans la première décennie du xixe siècle, la compagnie Foreman and Grassie s’était imposée comme le deuxième importateur en importance sur les quais de Halifax
éclata au sujet du droit de passage ; les coups succédant aux insultes, un soldat de la compagnie de Ramezay qui intervint en faveur du valet fut tué accidentellement par Étienne. Les deux Rocbert
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