NAYLOR, JOHN

chevaux [V. John Naylor]. Au dépit de voir ses prosaïques entreprises commerciales attaquées s’ajouta l’humiliation publique que subit sa fille adolescente quand la même société distribua, dans les

. John (Saint-Jean, 1883).— Naylor, Hist. of Canadian business.— N.-B., Comptroller of Customs, Annual returns of trade and navigation (Fredericton), 1861 : 4

 1815 à Truro, Angleterre, fils de John Bond, soldat, et de Nanny Bennett ; le 4 juin 1841, il épousa Eliza Langley, de St John’s, et ils eurent quatre fils et deux filles ; décédé le

au gouvernement fédéral de sir John Alexander Macdonald*. En 1885, il avait fondé le Canadian Club de New York, dont il avait été

provenaient des ateliers Polson de Toronto. Le Seguin, une barge, avait été commandé par la Parry Sound Lumber Company ; le président de cette entreprise, John Bellamy Miller, était

pour succéder à John Joseph Caldwell Abbott* à la mairie de Montréal. À l’occasion des premières élections municipales tenues au

l’argent au docteur Thomas John Barnardo, qui œuvrait auprès des enfants démunis en Grande-Bretagne, et il offrit de trouver, dans la région, des places pour les enfants immigrants. Toutefois, son principal

Édimbourg, fils de George Drummond, entrepreneur, et de Margaret Pringle ; le 15 septembre 1857, il épousa à Montréal Helen Redpath, fille de John

Nova Scotia Society for the Prevention of Cruelty [V. John Naylor] et de la Nova Scotia Historical Society. Il

– se retire de l’entreprise ; il vend ses intérêts à Alexander Walker, qui s’associe le 4 avril à son frère cadet John, lui cédant le tiers des actions de la compagnie. Ils forment la A. W

en juin 1886 jusqu’à prévenir le premier ministre du pays, sir John Alexander Macdonald*, que les travailleurs torontois s’en

Hamilton*, alors âgé de 20 ans, prit la tête de la famille. La mort de Henry Stuart, l’aîné des enfants, en 1844, puis celle de John James, le cadet, l’année suivante, le consacrèrent dans ce rôle