de 21 ans, elle épousa John Clark Murray et s’installa avec lui dans le Haut-Canada. Alors professeur de philosophie au Queen’s College de Kingston, il assumerait une fonction semblable au McGill
. Ses parents l’envoient au Canada vers l’âge de cinq ans. Il entreprend ses études au Bishop’s College de Lennoxville, dans la province de Québec, et les poursuit à la St Mark’s School de Windsor
prêtrise : il fallait réserver le patrimoine à ses trois frères aînés et à sa sœur. Tonsuré à l’âge de sept ans, instruit par un précepteur jusqu’à l’âge de neuf ans, il étudia au collège de Laval, au
, « souvent considérées comme inutiles », le préparèrent fort bien à sa vie future. En 1829, il alla étudier la médecine à Édimbourg, et il obtint en avril 1833 une licence du Royal College of Surgeons of
noyau d’un collège d’agriculture. Reford était aussi copropriétaire de la Labrador Seigniory and Lumber Company, dont le dessein était de produire de l’hydroélectricité et de favoriser la pêche au saumon
à ses besoins, il pratique la médecine à Fontainebleau et revient finalement au Québec en 1897, année où il est admis au Collège des médecins et chirurgiens de la province de Québec
parmi [ses] connaissances ». On lui décerna une bourse pour poursuivre sa formation à la University of Toronto et il fut admis au University College en 1895. Grand, en bonne santé et joueur de rugby
internationale, et non pas d’un simple collège local. L’Assemblée législative sanctionna la loi créant la University of Saskatchewan en 1907. Le choix de l’emplacement suscita une chaude lutte ; à la fin
traditionaliste et protestante au King’s College de Windsor, en Nouvelle-Écosse, et il n’avait que 14 ans lorsqu’il commença son apprentissage du droit dans le Bas-Canada. Après quatre années chez John Reid
l’obtention d’un diplôme de droit au Harvard College de Cambridge, au Massachusetts. Il se montra si apte à acquérir des « connaissances scientifiques » auprès d’« hommes à l’intelligence
secondaires à la Mount Radford College-School, dans le Devon, il amorça son apprentissage chez un célèbre ingénieur britannique, sir John Rennie. Il travailla à la construction des chemin de fer Great Northern
d’apostolat social. Pendant toute sa carrière il s’intéressa à l’éducation. Des années durant, il fut procureur spécial et membre des corporations du séminaire de Nicolet et du collège de Sainte-Anne-de-la
cependant toute son influence pour favoriser leurs intérêts et personne n’aurait pu les aider davantage qu’il le fit dans leurs moments difficiles. Après avoir obtenu son diplôme du King’s College à Windsor
enfants. À sa naissance, son père était devenu, semble-t-il, maître de forges, signe d’une amélioration sensible de sa condition. Louis-Michel put donc suivre son cours classique au collège Saint-Raphaël de
la Conquête, d’institutions d’enseignement comme le collège des jésuites, la mainmise des Églises sur l’enseignement des matières profanes et, encore une fois, l’absence de formation des maîtres. Il
littéraire certain. Chauveau n’a guère parlé de ses années de collège, alors qu’il était condisciple du futur cardinal Elzéar-Alexandre
College, qu’il fréquenterait pendant six ans en vue d’obtenir le diplôme requis pour exercer en qualité de ministre baptiste. Les trois premières années, il termina ses études secondaires, qu’il avait
améliorer les écoles de la localité (bien que ses fils aient fait une bonne partie de leurs études dans un collège privé de Galt, et qu’il ait envoyé ses filles plus âgées compléter leurs études à Édimbourg
.
Le sixième de dix enfants, Louis-Nazaire Bégin fréquente en 1855 l’école modèle de Lévis et en 1856 le collège industriel de Saint-Michel (à Saint-Michel-de-Bellechasse). Reçu bachelier ès arts en 1862
.
Études
Après des études primaires à Ottawa et à Saint-Denis, Chapais entre au collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière en 1868. Ses travaux révèlent un