1874, après être allé parfaire son éducation au Dundas Wesleyan Boys’ Institute de Dundas, en Ontario, il s’inscrivit en génie minier au Virginia Agricultural and Mechanical College de Blacksburg, en

College, Aberdeen, qui lui décerna une maîtrise ès arts en 1800. Il entra comme commis dans l’entreprise de son père à Londres où il ne tarda pas à exercer les plus hautes fonctions ; après la mort de

l’obtention d’une charte pour Queen’s (Acadia) College, à Wolfville ; il fit partie du conseil d’administration de la nouvelle institution. Pendant

adopter en 1899 et en 1907 des lois qui menèrent à la création du Nova Scotia Agricultural College de Truro, afin de promouvoir l’application de méthodes plus scientifiques en agriculture, et du Nova Scotia

part de son intention de soumettre une pétition au gouvernement en vue d’obtenir une subvention pour St Dunstan’s College, établissement d’enseignement catholique. Pope promit de pressentir le

). D’une famille nombreuse et peu fortunée, Joseph-Norbert Provencher ne commença ses études qu’en 1801, avec l’ouverture d’une école élémentaire gratuite à Nicolet. En 1802–1803, il fréquenta le collège

un petit collège classique à la française, le collège Sainte-Anne, et ce précisément pour commémorer les efforts qu’il avait déployés pour libérer ses ouailles du joug de l’analphabétisme

. Wilmot fit ses études au collège de Fredericton puis suivit des cours à King’s College. En juin 1825, il entra dans le cabinet d’avocat de Charles Simonds Putnam ; il fut reçu avocat en 1830, admis au

catholiques, Young se joignit à Howe pour obtenir la constitution juridique du St Mary’s College à Halifax et pour refuser aux baptistes une subvention destinée à contribuer aux frais d’installation d’un

[...] (1888), avec une introduction de Smith, et un recueil de biographies, Prominent men of Canada [...] (1892). En 1893, il lança une histoire de l’Upper Canada College en collaboration avec le

activités du Collège des médecins et chirurgiens de la province de Québec à titre de membre de son bureau de direction et d’examinateur. Il prit part également à la fondation de l’Association des médecins de

philosophiques au moment d’entrer au noviciat des Jésuites de la province de Toulouse, le 16 septembre 1633. À partir de 1635, il enseigna successivement la grammaire, les humanités et la rhétorique aux collèges

. Formé au Methodist College de Belfast, Frederick Charles Munro Alderdice alla s’établir à St John’s en 1886 afin de travailler pour son oncle Moses Monroe* à la Colonial Cordage Company, qui fabriquait

del & sc » (delineavit et sculpsit) sur une gravure représentant le Trinity College de Toronto, construit depuis peu par l’architecte Kivas

, Histoire du collège-séminaire de Nicolet, 1803–1903 [...] (2 vol., Montréal, 1903).— DPQ.— J. [A.] Macdonald, Correspondence of Sir John Macdonald [...], Joseph

l’hon. Louis Archambeault, ministre de l’agriculture et commissaire des T. P. pour Québec, conseiller législatif et membre des Communes (s.l., 1873).— Anastase Forget, Histoire du collège de

 ; décédé le 1er mars 1912 à Pointe-Bleue (Mashteuiatsh, Québec). Après des études aux collèges de Fribourg et de Mélan, en Suisse

chapelle de la petite congrégation du collège des jésuites et la menuiserie d’une maison à deux étages, au coin des rues Buade et du Trésor. La même année, les deux associés se font bâtir des maisons

influents, il ne s’occupait guère d’œuvres de charité, de réforme sociale ni de haute culture. Il fut cependant membre du conseil d’administration du Wycliffe College et du Grace Hospital en 1912. Apparemment

 : 233s.— Richard Short, A view of the cathedral, Jesuits college, and Recollect friars church, taken from the gate of the governor’s house (London, 1761) ; une des gravures exécutées par un