661 à 680 (de 2885)
1...32  33  34  35  36  ...145
 
 Bretonnière se rendit au collège de Québec, où il remplit la charge de confesseur jusqu’à sa mort survenue le 1er août 1754. Le père
favorable à la fin de 1874, c’est Doutre qui a la responsabilité du dossier. Laflamme obtient en 1856 une licence en droit du McGill College. À plusieurs
la première mention de Patrick Lambert. Il était alors au collège des franciscains irlandais de Louvain (Belgique), où il devint professeur de philosophie. En 1783, il partit pour Rome à titre de
 
 décembre 1622. Il étudie la philosophie au collège de Clermont, à Paris (1624–1627), enseigne au collège de Rouen (1627–1632), suit les cours de théologie à La Flèche (1632–1636) ; il est de
 
. À sept ans, Joseph-Onésime Leprohon est fortement ébranlé par la mort de sa mère. Son père le place alors au collège Saint-Raphaël, qui deviendra le petit séminaire de Montréal en 1806. Malgré une
famille Lowell et occupait à l’époque le poste de directeur adjoint au Union College. Après avoir réussi ses examens de théologie et obtenu une maîtrise
collège de Lévis, puis au collège Sainte-Marie, à Montréal. Titulaire d’un doctorat en médecine – reçu avec distinction de l’université Laval à Montréal en 1894 –, il se spécialise en chirurgie à Paris
 
 1700 avec ses frères puînés, Charles et Jean-Marie ; chassé du séminaire par l’incendie de 1705, le jeune Guillaume continue son cours classique au collège des Jésuites. Au terme de ses études, il
modèle Jacques-Cartier de Montréal et ses études classiques au petit séminaire de Montréal (où il entre en 1879) et au collège Sainte-Marie, Oscar-Félix Mercier, élève brillant et discipliné, entreprend en
 
le 20 août 1702. Un document signale la présence de Germain Morin au collège des Jésuites le 15 novembre 1659. Il était un des
leur inscription à Trinity College, Cambridge, où George obtint son baccalauréat sans mention en 1810. L’échec qu’il subit en vue d’obtenir une bourse pour fréquenter Downing College, Cambridge, fut la
d’une chaire de théologie presbytérienne au King’s College, dont la fondation était prévue à Toronto, puis la proposition d’établir un séminaire de l’Église d’Écosse indépendant. Après que fut prise la
1869, Neil entra au St Francis Xavier College d’Antigonish. Après avoir terminé ses études avec grande distinction en 1873, McNeil enseigna à l’école
 
. William Pilot était le fils d’un forgeron et d’une illettrée. Garçon brillant issu d’une famille pauvre, il fréquenta la Warminister Mission House et le St Augustine’s College de Cantorbéry, qui
l’aise de Rosbercon, près de New Ross, dans le comté de Wexford. Il fit ses études à l’école du monastère de St Patrick à Tullow, au Carlow College de 1843 à 1853, à la University of London (où il obtint
 
. Ambroise Pélerin commence ses études au collège des Jésuites de Québec où ses parents ont déménagé vers 1661 ; puis, le 1er octobre 1668, lorsque le petit séminaire de Québec ouvre ses portes
). Après des études classiques au séminaire de Saint-Hyacinthe (1864–1872), Pérodeau s’établit à Montréal en 1873 et entreprend des études au McGill College, où il obtient un diplôme de bachelier en droit
 
certain aussi qu’il fréquenta avec ses frères le collège des Jésuites de Québec, y faisant ses humanités avant d’entrer à son tour dans l’administration. À l’automne de 1695, il était au nombre des gardes
Girouard*, fondateur du séminaire de Saint-Hyacinthe. Après un an d’enseignement au collège de Chambly, il retourne au séminaire pour y demeurer jusqu’à sa mort. Il y enseigne successivement la
 
). C’est cependant au collège du Mont-Saint-Louis, grand pensionnat ouvert à Montréal en 1885, que le frère Symphorian Lewis fait sa marque. Il y arrive le 3 février 1890 comme directeur adjoint, avec la
661 à 680 (de 2885)
1...32  33  34  35  36  ...145