jeune poète, Archibald Lampman, étudiant au Trinity College, l’exemplaire d’Orion qui inspira tant ce
College. Après avoir fréquenté cet établissement, Cotton obtint une licence ès arts de l’Oriel College, à l’University of Oxford, en 1797. C’est l’évêque de Lincoln, George Pretyman, qui l’ordonna diacre le
universitaire d’Almonte, il s’inscrivit en lettres au Queen’s College de Kingston, où il fit aussi son cours de théologie. Il obtint une licence ès arts en 1903 et une maîtrise ès arts en 1904. Non seulement son
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Wilfrid Derome fréquente le petit séminaire de Montréal de 1890 à 1893, puis le collège Sainte-Marie, dans la même ville, entre 1893 et 1896. Il termine ses études classiques au collège Joliette en 1898. Il
imprimer le calendrier du collège, le Catalogus [...] annuel des jésuites canadiens, puis, surtout, le Canadian Messenger of the Sacred Heart
* faisait partie depuis 1885). Il écrivit même à plusieurs premiers ministres à ce sujet.
Doucet joua un grand rôle dans l’établissement du collège du
autres choses, il recommanda des réformes en vue d’améliorer et de faire connaître le collège d’agriculture et la ferme de Guelph après qu’une visite ministérielle en 1888 eut révélé leur piètre état. Par
College, non loin de là. En 1872, il y reçut une maîtrise ès arts, des médailles d’or en éloquence et art du débat ainsi qu’un prix d’excellence en études bibliques. Diplômé du Princeton Theological
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William Elder reçut une excellente formation théologique au Belfast College, aux universités de Glasgow et d’Édimbourg et au New College d’Édimbourg. La haute qualité littéraire de ses écrits et de ses
collège mise de l’avant par Jean-Baptiste Meilleur* et démissionna même de son poste de secrétaire de la fabrique. En dépit de cette
famille emménagèrent dans une maison qu’il avait construite. En 1915, il accepta d’aller entraîner l’équipe masculine de crosse du Hobart College de Geneva, dans l’État de New York. Il fut réengagé pour
, il se vit confier la charge de procureur au collège d’Ottawa, poste qu’il occupa de 1882 à 1891. Durant ces années, il fit construire une annexe considérable à l’édifice, une splendide chapelle et une
Yale Collège, à New Haven, dans le Connecticut. Il suivit à cet endroit les cours de médecine et de sciences donnés par des éducateurs aussi réputés que Nathan Smith et Benjamin Silliman, qui le
Gilpin*. Il fréquenta la Halifax Grammar School, où son père, qui en était le directeur, le prépara pour le King’s College de Windsor en lui donnant des leçons particulières. Il reçut sa licence ès
, à Québec, avant de s’inscrire au McGill College, à Montréal, en 1879, à l’âge de 16 ans. Au printemps de 1882, il reçut une licence en droit civil et remporta la médaille d’or Elizabeth Torrance
collège et un grand séminaire à Bytown. En 1856, on éleva un nouveau collège en pierre sur l’emplacement actuel de l’université d’Ottawa ; le père Joseph-Henri Tabaret en était le supérieur. La
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À la suite de ses études classiques au petit séminaire de Sainte-Thérèse et au collège Bourget à Rigaud, Louis de Lotbinière Harwood s’inscrit en médecine à l’université Laval à Montréal en 1886, où
réserve du Knox College ainsi que délégué à l’Assemblée générale du Canada et aux congrès de la Pan-Presbyterian Alliance qui se tinrent à Edimbourg, à Londres et à Glasgow
de médecine au Trinity College de Dublin, à l’University of Glasgow et dans des hôpitaux londoniens. À la fin de ses études, en 1811, Henry réussit l’examen de chirurgien de régiment établi par le
en 1843, qui entraîna la fondation de l’Église libre, Honeyman se joignit à celle-ci et, sous les auspices de son comité colonial, accepta un poste de professeur d’hébreu au Free Church College à