père mourut du choléra la même année. Sarah Cockburn emmena alors ses enfants à York (Toronto), et, en 1832–1833, Cockburn poursuivit sa formation à l’Upper Canada College
l’inauguration d’un Parlement à Dublin. Cet homme aimable et charitable avait peu d’ennemis. En 1907, le collège d’Ottawa lui décerna un doctorat honorifique en droit pour son apport au journalisme catholique. À
Londres.
Thomas Aston Coffin étudia au Harvard College de Boston où il obtint un baccalauréat ès arts en 1772. Lors de la Révolution américaine, il resta
de sa maison, rue Saint-Jean, près du collège des jésuites. En 1730 et 1731, il partagea son atelier et la teinturerie, derrière la maison, avec son apprenti Joseph
vers 1852 et se fixèrent à Princeton, à l’est de Woodstock, dans le Haut-Canada. John fréquenta l’école à Princeton et acheva sa formation dans un collège commercial de London. De 1856 à 1864, il fut
, il œuvra en Nouvelle-Écosse, plus précisément à Pugwash en 1862 puis à Windsor et à Falmouth en 1863, après quoi, de 1864 à 1867, il étudia au Mount Allison Wesleyan College de Sackville, au Nouveau
sur 37 acres de terre au bord de la route qui menait à l’emplacement du futur King’s College (construit dans les années 1820). À mesure que la ville s’étendait, il profita de la mise en valeur de ces
APC, RG 5, A1 : 24133–24142.— Canadian Baptist Arch., McMaster Divinity College (Hamilton, Ontario), Aylmer Baptist Church (Aylmer, Ontario), church minute-book, juin 1848-janv. 1888 ; Biog
APC, RG 31, Al, 1861 census, Frontenac County.— Correctional Staff College (Kingston, Ontario), Canadian Penitentiary Service Museum, Warden John Creighton’s journal, 1870–1874 (mfm aux QUA).— QUA
études à Toronto à l’Upper Canada College, à la University of Toronto et à l’Osgoode Hall. Attiré par l’essor que commençait à connaître l’économie de l’Ouest, il s’installa à Edmonton en 1897 et ouvrit un
fondateur de la University College Young Men’s Christian Association et fit du travail religieux avec le professeur James Colton Yule, à York Mills (Toronto). Au cours de l’été de 1872, soit un an avant
, lieutenant-colonel, était affecté à la milice en Nouvelle-Écosse. En décembre 1826, après des études au Royal Military College, à Sandhurst, Angleterre, il débuta dans la carrière militaire comme enseigne dans
.
Andrew Duncan Davidson fit ses études à Glencoe et fréquenta un moment le Canadian Business College, dans la localité voisine de Chatham, avant d’émigrer aux États-Unis en 1872. Après une courte période
le Brandon College au Manitoba. Il soutint également des hôpitaux et des sanatoriums. Lui qui avait fait fortune grâce aux richesses de la terre était un fervent gentleman-farmer. Propriétaire d’une
la direction du McGill College de Montréal en 1855. L’exemple paternel lui inspirait une passion pour l’étude de la nature qui s’intensifia au fil de ses excursions dans les recoins sauvages que
, 1974), 205.— Maurault, le Collège de Montréal (Dansereau ; 1967).— S.-A. Moreau, Histoire de L’Acadie, province de Québec (Montréal, 1908), 116–117.—Claude de Bonnault, « les
qui avait de solides relations, William Des Vœux fit ses études à la Charterhouse de Londres et au Balliol College d’Oxford. Lorsqu’il fut dans sa troisième année d’université, son père le plaça
d’études classiques au collège des jésuites de Verdun, Jean-Nicolas Desandrouins reçut, en 1746, une commission de lieutenant dans le régiment de Beauce. Cinq ans plus tard, après avoir pris part à la guerre
alors au Trinity College de Dublin et avait déjà reçu le diaconat. Le 3 juillet 1775, il fut ordonné prêtre par l’évêque de Waterford, même s’il n’avait pas encore l’âge canonique, puis il
), 185, 369.— J.-A.-I. Douville, Histoire du collège–séminaire de Nicolet, 1803–1903, avec les listes complètes des directeurs, professeurs et élèves de l’institution (2 vol., Montréal, 1903