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TACHÉ, EUGÈNE-ÉTIENNE, arpenteur, ingénieur civil, fonctionnaire et architecte, né le 25 octobre 1836 dans la paroisse Saint-Thomas (à Montmagny, Québec), fils de sir Étienne-Paschal Taché*, futur premier ministre de la province du Canada et père de la Confédération, et de Sophie Baucher, dit Morency ; le 18 juillet 1859, il épousa à Québec Éléonore Bender (décédée en 1878), puis le 22 octobre 1879, au même endroit, Clara Juchereau Duchesnay ; de ses 12 enfants, trois, nés du second mariage, lui survécurent ; décédé le 13 mars 1912 à Québec.
Issu de la bourgeoisie canadienne-française, Eugène-Étienne Taché fréquente l’école primaire de Saint-Thomas puis le petit séminaire de Québec, en 1846–1847 ; comme son père, ministre et conseiller législatif, doit suivre les déplacements du siège du gouvernement, Taché étudie ensuite à Montréal, à Toronto, où il est inscrit à l’Upper Canada College en 1849, puis de nouveau au petit séminaire de Québec de 1852 à 1855, où il termine sa première année de philosophie. Il entreprend par la suite un stage de trois ans en arpentage, sous la direction de l’architecte et arpenteur Frederick Preston Rubidge*, au département des Travaux publics ; il travaille 18 mois au sondage d’un canal qui doit relier Montréal au lac Huron par la rivière des Outaouais, projet supervisé par l’ingénieur civil Walter Shanly*. Le 10 janvier 1859, il est nommé arpenteur pour le Haut-Canada. L’année suivante, il termine son apprentissage à Québec, auprès de l’ingénieur et architecte Charles Baillairgé*, qui compte déjà Étienne-Paschal Taché parmi ses clients.
Taché est admis à la profession d’arpenteur-géomètre le 14 octobre 1861 et est engagé, la même année, comme dessinateur et arpenteur au département des Terres de la couronne. Il ne séjourne toutefois à Ottawa qu’en 1866 ; après la Confédération, le 20 septembre 1869, il devient commissaire adjoint (sous-ministre) du département des Terres de la couronne de la province de Québec. Il conservera ce poste jusqu’à sa mort, sous 13 ministres différents.
En marge de son travail d’arpenteur et de cartographe, Taché se passionne de culture, d’art et d’histoire. Il est un ardent francophile, sentiment auquel le patriotisme militant de son père et de Joseph-Charles Taché*, cousin d’Eugène-Étienne, n’est sans doute pas étranger ; s’étant de surcroît découvert un lien de parenté avec Louis Jolliet*, il se prend d’intérêt pour l’histoire de la Nouvelle-France que le Québec de la seconde moitié du xixe siècle est à retracer. Surtout, il affectionne l’art : quelques leçons du peintre Théophile Hamel* en 1862–1863 ont conduit Taché à illustrer « Forestiers et Voyageurs ; étude de mœurs », œuvre de son cousin Joseph-Charles parue dans les Soirées canadiennes (Québec) en 1863 et présentée à l’Exposition universelle de Paris en 1867. Ses 14 dessins lui valent des éloges de la presse canadienne.
Il était donc naturel que Taché, comme avant lui Théophile Hamel, entreprenne en 1867 le pèlerinage européen alors indissociable de la culture nord-américaine. Â son retour, une fois dégagé des soucis financiers grâce à son poste de commissaire adjoint, il s’engage dans une carrière parallèle, celle d’un architecte-artiste armé des connaissances techniques de sa profession, certes, mais surtout formé en dessin conceptuel, intéressé par les problèmes de composition et stimulé par l’historicisme romantique étreignant le monde européen qu’il a découvert.
Dilettante, Taché est exclu du milieu des architectes nord-américains : au lieu du stage de clerc qui forme les professionnels de l’époque, il forge sa culture architecturale dans les livres qu’il acquiert et les revues, surtout françaises, auxquelles il s’abonne. Tout à fait à l’écart de la modernité étasunienne qui se fait jour et de l’éclectisme qui caractérise l’œuvre de ses contemporains américains, Taché allait pourtant laisser une empreinte indélébile, et fort particulière, à Québec : en intervenant dans la conception des principaux édifices institutionnels de la ville, il allait construire l’image de la nouvelle capitale.
En effet, en cette seconde moitié du xixe siècle, les découvertes de l’archéologie et de l’histoire ont substitué, au monolithisme stylistique, un catalogue de modèles parmi lesquels les artistes choisissent désormais sciemment les expressions et les symboles recherchés. C’est ainsi qu’en 1874 l’architecte William Henry Lynn, répondant à l’invitation du gouverneur général lord Dufferin [Blackwood*], propose de remplacer les fortifications désuètes de la ville de Québec par une nouvelle enceinte parée de tourelles, échauguettes et crénelures droites issues du Moyen Âge, dont l’image pittoresque devait rappeler la mémoire romantique des fortifications anciennes.
Quand lord Dufferin dépose ce projet d’embellissement de Québec, en 1874, l’heure est à la célébration de l’histoire et c’est un tel vœu de commémoration, cette même année, qui vaut à Taché sa première réalisation. Catholique confirmé, voire dévot, il reçoit la commande de neuf arcs de triomphe temporaires destinés à être installés dans les rues de la ville pour marquer le bicentenaire de l’érection du diocèse de Québec. Les dessins « délicatement cadrés » de l’artiste-architecte, encore exposés au public quatre ans plus tard, révèlent ses compétences : sous prétexte d’une chronique de la chrétienté, les arcs de triomphe de « style des Catacombes », « Latin », « Byzantin », « Romain » ou « Gothique » ont soudainement introduit l’histoire de l’architecture tout entière dans les rues de Québec. L’architecte a fait la preuve irréfutable de son expertise en matière d’expression historique ; aussi, à peine un mois après l’érection des arcs de triomphe, Taché reçoit du gouvernement conservateur de Charles Boucher de Boucherville – il en est un partisan reconnu – le mandat de préparer les plans du premier édifice de la capitale, l’Hôtel du Parlement.
Il s’agit notamment pour Taché de concevoir une esthétique, un style qui soit significatif au regard de la vocation de l’édifice. D’autres architectes de Québec, dont François-Xavier Berlinguet et Charles Baillairgé, soumettront des plans, mais ils seront refusés. Par rapport au néo-classicisme archaïque de leurs projets, révélateur de l’engourdissement du milieu architectural de Québec, celui que Taché présente en 1875 s’abreuve à l’esthétique française, très en vogue depuis le célèbre agrandissement du Louvre, berceau de l’architecture Second Empire qu’il avait d’ailleurs visité à Paris. L’esthétique de l’Hôtel du Parlement se démarque aussi du projet des fortifications qui, s’il prétendait restituer une mémoire de la Nouvelle-France, appartenait surtout au langage pittoresque de la Grande-Bretagne. Enfin, et surtout, le propos stylistique de Taché se distingue de l’éclectisme américain, qui puise plutôt dans les motifs catalogués de l’architecture contemporaine ; au lieu de s’inspirer de l’agrandissement du Louvre, où l’on avait interprété l’ornementation du xvie siècle à la recherche d’un style typiquement français, Taché emboîte le pas aux architectes du Second Empire et choisit de se référer au Vieux Louvre, monument de la Renaissance française. Le langage du premier édifice de la capitale, construit de 1877 à 1886, est clair : ancré au même passé que celui du style national de la France, il pose, avec un vocabulaire moderne, la première pierre de l’identité stylistique de la province et légitime les origines françaises de la « nation » naissante.
Dans cet Hôtel du Parlement plus sobre, plus rigoureux que ne l’auraient été les compositions éclectiques d’architectes américains, Taché entreprend de consolider son propos historique dans un programme iconographique d’une envergure inégalée à Québec. Alliant peinture d’histoire, statuaire et sculpture d’armoiries, l’architecte, assisté de l’artiste Napoléon Bourassa, compose un panthéon de l’histoire canadienne, là dans une fontaine « dédiée aux races sauvages de l’Amérique du Nord », là dans les sculptures de James Wolfe*, de Paul de Chomedey* de Maisonneuve et d’autres personnages, ou dans lés tableaux de scènes recréées notamment à partir de l’Histoire du Canada [...] de François-Xavier Garneau*.
Toujours afin « d’historier » la capitale et son Hôtel du Parlement, Taché, qui sera d’ailleurs le promoteur des premiers grands monuments commémoratifs de Québec, dont celui de Samuel de Champlain* (1898), se plonge dans l’étude de l’héraldique, d’une part afin de doter ses contemporains d’armoiries de nature à léguer une mémoire, d’autre part afin de réincarner le passé canadien au moyen des armoiries des personnages de l’histoire, qu’il retrouve ou recrée, tout simplement. Pour le Palais législatif (l’aile de façade du Parlement), on approuve ainsi officiellement, le 9 février 1883, un nouvel emblème national : les armoiries de la province de Québec, auxquelles Taché ajoute la devise qu’il a créée, fort éloquente, Je me souviens.
À cette devise, Ernest Gagnon souhaitait associer une autre devise du cru de l’architecte, Née dans les lys, je grandis dans les roses ; il faut dire que c’est dans cet esprit que l’intense activité symbolique de Taché atteint un point culminant quand, en février 1883 – l’Hôtel du Parlement n’est pas encore terminé –, il livre les plans du nouveau palais de justice de Québec. Taché paraît y trouver le rapport idéal entre la commémoration historiciste et la composition d’une architecture « québécoise ». En effet, entre les armoiries – créées pour l’occasion – de Champlain et de Jacques Cartier*, qui ornent la façade de l’édifice, l’architecte compose un véritable « ordre québécois », comme il existait déjà un ordre français et un ordre étasunien, établis dans la lignée des ordres de l’architecture classique grecque et romaine : il associe la fleur de lys (la France), la rose (l’Angleterre) et la feuille d’érable (le Canada). Une histoire nationale est désormais écrite dans les murs de la capitale moderne.
Le palais de justice de Taché, bien entendu, rompt avec le modèle plutôt britannique des palais de justice canadiens, codifié à Ottawa. À l’esthétique consacrée à laquelle aurait puisé un architecte « professionnel », Taché avait naturellement préféré une continuité stylistique entre ce deuxième édifice de la capitale et l’Hôtel du Parlement, en optant toutefois pour une référence antérieure, plus près des châteaux de la Loire du début du xvie siècle que du Vieux Louvre, c’est-à-dire plus cohérente avec l’époque des découvreurs, Cartier et Champlain, que la façade de l’édifice, historiquement crédible, commémorait comme s’ils avaient assisté à son érection.
Avant même la fin de l’année 1883, Taché impose à Québec un nouveau symbole d’âge, dans un troisième édifice, le manège militaire. Il y conserve l’iconographie héraldique et la symbolique des fleurs de lys et des feuilles d’érable, mais il remonte aux modèles des châteaux médiévaux, antérieurs au classicisme français qui avait motivé la conception de l’Hôtel du Parlement et du palais de justice. Vieillissant ainsi toujours, en quelque sorte, les origines de la ville, ce même vocabulaire à la limite du xve siècle inspirerait Taché en 1890, dans l’avant-projet du « Fortress Hotel », qui devait guider, deux ans plus tard, l’architecte Bruce Price* dans la conception du château Frontenac ; les armoiries qui ornent cet édifice portent irréfutablement son empreinte.
D’un effet considérable dans l’histoire de l’architecture de Québec, voire de la province, la carrière d’architecte de Taché a été brève. Après 1890, Taché ne connaît plus de réalisations de l’envergure de ses projets antérieurs. Il n’en établit pas moins son érudition. C’est ainsi qu’il change de répertoire lorsqu’il dessine les plans du monastère des Franciscaines missionnaires de Marie à Québec (1895), qu’il opte, dans le cas de la loge du portier de Spencer Wood, à Sillery (1890), pour le vocabulaire pittoresque approprié à l’emplacement boisé et qu’il imagine un « trophée imité d’une des portes de la citadelle de Québec » comme pavillon de la province de Québec à une exposition tenue en Jamaïque (1891) ; ce bâtiment, revêtu de bardeaux de cèdre censés représenter l’usage canadien – bien avant que n’apparaisse le shingle style –, est réalisé par Philippe Vallière.
Il se peut que sa charge de travail au gouvernement ait contribué à écourter la carrière architecturale de Taché. Il faut dire toutefois que la construction de l’Hôtel du Parlement, terminée en 1886, avait finalement coûté un million de dollars, cinq fois le montant prévu, ce qui n’aidait sans doute pas la réputation de l’architecte à une époque où la rapidité d’exécution et la modernité sur le plan technique occupaient de plus en plus les esprits. Quand le libéral Lomer Gouin* devient premier ministre en mars 1905, il doit peu à ce « vieux bleu », comme on le qualifie. Taché a alors 68 ans. Son projet de bibliothèque pour le Parlement, qu’il a soumis en 1900, est finalement mis de côté ; en 1917, le gouvernement optera pour un édifice conçu par les architectes Georges-Émile Tanguay* et Jean-Omer Marchand*, libéraux notoires.
Érudit du xixe siècle, Taché avait peu d’intérêt pour l’architectonique. S’il s’applique volontiers dans la production de centaines de plans, souvent en couleurs, pour les détails ornementaux, et même s’il engage des dessinateurs pour perfectionner le rendu de ses projets, il laisse aux ingénieurs et architectes des Travaux publics l’aménagement des espaces, le fonctionnement mécanique et la technologie de la construction. Ainsi, quoiqu’il ait sans doute été compétent en la matière, il s’associe à Jean-Baptiste Derome, du département des Travaux publics, pour la conception et l’érection de l’Hôtel du Parlement ; quant au palais de justice, la presse a écrit que Taché en concevait « les façades ».
L’architecte-artiste qu’était Taché se distinguait ainsi de l’ingénieur, du constructeur et de l’homme de métier. Il limitait à l’essentiel l’apport de l’architecte au paysage construit. Cet intérêt esthétique fut partiellement responsable de sa disqualification, à l’aube du xxe siècle, quand il s’avéra que l’historiciste avait peu à offrir à l’américanité rationaliste naissante. Cependant, l’œuvre de Taché, comme il le souhaitait, a irrémédiablement marqué le paysage urbain. En 1906, Taché a été nommé au comité d’embellissement de Québec en prévision des célébrations de 1908 ; il concevrait d’ailleurs la médaille commémorative du tricentenaire. Déjà, en 1880, il avait imaginé un grand parcours historique cerclant la ville, qui ouvrirait la voie à l’aménagement du parc des Champs-de-Bataille. Pour Taché, témoin des embellissements du préfet Georges-Eugène Haussmann à Paris, la ville était un vaste ensemble, dans lequel les édifices, mis en réseau par une esthétique et une logique cohérentes, devenaient autant de monuments. Il ne faut donc pas s’étonner que toutes les architectures qu’il a conçues dans sa carrière se retrouvent en bordure d’un seul axe, la Grande Allée.
Taché a laissé à ses contemporains le souvenir d’un travailleur modeste, d’une conscience professionnelle et d’une assiduité proverbiales. En 1903, le journaliste Hector Fabre* écrivait : « on ne l’a jamais vu hors de son bureau, dans les heures occupées, guère, dans les heures inoccupées [...] on le rencontre pressé toujours de se rendre à son bureau ». L’homme qui avait coiffé l’Hôtel du Parlement d’une allégorie intitulée Religion et Patrie, qui avait inventé en 1880, au moment de la fête de la Saint-Jean-Baptiste, la devise des ferblantiers Mon innocence est ma forteresse était à la fois un monarchiste, un francophile et un catholique sincère ; il jouissait de l’admiration de la plupart de ses contemporains. Nommé, entre autres titres, compagnon de l’ordre du Service impérial en 1903, ce doyen des fonctionnaires fut célébré en grande pompe lorsque, en novembre 1911, il conclut sa cinquantième année de service au gouvernement. Il mourut quatre mois plus tard, le 13 mars 1912. Longtemps après ses funérailles imposantes, à la basilique Notre-Dame de Québec, la ville pleura le décès d’une « des plus grandes figures de Québec », d’un « patriote exemplaire » et d’un « homme de génie ».
Ce « parfait fonctionnaire », dévoué commis de l’État aux côtés de Siméon Le Sage* et de Pamphile Le May, avait offert à ses contemporains les fruits nombreux d’un talent réel : parmi d’autres, il avait réalisé quatre cartes de la province de Québec, « modèles d’exactitude et de clarté » selon Pierre-Georges Roy*, dont une, éditée en 1870, lui avait valu une médaille de bronze à l’Exposition universelle de Paris, en 1878. À Québec, Taché a surtout a son crédit d’avoir légué une culture : ponctuellement, il recommanda par exemple que Louis-Philippe Hébert, sculpteur pour l’Hôtel du Parlement, acquière une formation poussée à Paris ; il est aussi incontestable que le peintre Charles Huot*, œuvrant à l’Hôtel du Parlement, y apprit de Taché les fondements de son art. Et l’architecte, s’il ne revendiqua jamais ce titre, alimenta d’une production graphique sans précédent un nombre considérable de projets d’édifices et d’aménagements intérieurs – son fonds recèle notamment les plans de plusieurs œuvres religieuses pour les congréganistes – qui sans doute parsèment la ville, sans pourtant la mémoire de sa signature.
L’historiographie n’a guère reconnu l’inventivité de Taché, ni sa modernité. À la recherche d’un style national, Taché avait, comme les Français, constitué une véritable agence d’architecture de l’État, en encourageant l’emploi de plusieurs architectes ; or ceux-ci, répétant jusque dans les années 1920 une recette dépouillée de la puissance créatrice de l’historicisme de son initiateur, ont dénaturé la recherche moderne de Taché. Ils en ont fait une dérive formelle rétrograde, forcément déclassée en regard des nouveaux courants de la modernité.
Eugène-Étienne Taché avait profité du rayonnement de la France dans la seconde moitié du xixe siècle pour ennoblir d’une histoire la mémoire canadienne-française par l’héraldique et l’expression architecturale. Même si son œuvre ne l’imposa pas comme créateur, elle fut considérée comme « un enseignement et un exemple pour sa race », ainsi que le faisait remarquer le Soleil au lendemain de sa mort. La ville de Québec, au début du xxe siècle, devait en effet à Taché une bonne part de son image française, et la capitale provinciale sa richesse historique, qu’elle arbore encore aujourd’hui.
Pour une connaissance plus poussée d’Eugène-Étienne Taché et de son œuvre, on consultera : [Luc Noppen et Gaston Deschênes], l’Hôtel du Parlement, témoin de notre histoire (Québec, 1986) et, surtout, le manuscrit plus fouillé en la possession de Luc Noppen, préparé en 1985 et qui est à la base de cette publication ; Émilie de Thonel d’Orgeix, « Eugène-Étienne Taché, architecte (1836–1912) : l’influence française à Québec, durant la seconde moitié du dix-neuvième siècle » (mémoire de m.a., univ. de Toulouse Le Mirail, France, 1989) ; Francine Hudon, « l’Architecte de l’Hôtel du Parlement de Québec : Eugène-Étienne Taché (1836–1912) », Bibliothèque de l’Assemblée nationale du Québec, Bull. (Québec), 9, nos 3–4 (1979) : 40–50.
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Lucie K. Morisset et Luc Noppen, « TACHÉ, EUGÈNE-ÉTIENNE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 14, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 7 nov. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/tache_eugene_etienne_14F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/tache_eugene_etienne_14F.html |
Auteur de l'article: | Lucie K. Morisset et Luc Noppen |
Titre de l'article: | TACHÉ, EUGÈNE-ÉTIENNE |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 14 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1998 |
Année de la révision: | 1998 |
Date de consultation: | 7 nov. 2024 |