L’éducatrice Margaret Gascoigne (1876–1934) naquit en Angleterre et poursuivit des études à Oxford. Elle immigra à Montréal en 1913 pour y enseigner dans une école. Elle démissionna bientôt afin de réaliser son rêve de fonder son propre établissement. Deux ans plus tard, elle ouvrit une école privée de langue anglaise pour filles dans le Mille carré de la ville. Celle-ci, ancrée dans certains des préceptes pédagogiques radicaux et idéalistes de l’époque et appelée The Study, préconisait l’enseignement de l’art et de la poésie, tout en préparant les élèves aux examens d’entrée à l’université, aux études universitaires et à la vie professionnelle. Elle se développa rapidement dans les années 1920 et acquit une réputation d’excellence en matière d’éducation.
Titre original :  Margaret Gascoigne

Provenance : Lien

Gascoigne, MARGARET, éducatrice, administratrice scolaire et musicienne, née le 3 août 1876 à Nottingham, Angleterre, fille de Thomas Gascoigne, bonnetier, et de Rebekah Houghton ; décédée célibataire le 16 novembre 1934 à Montréal et inhumée au cimetière Mont-Royal à Outremont (Montréal).

Éducation

Margaret Gascoigne personnifie la « nouvelle femme » autonome qui émergea à la fin du xixe siècle en Europe, aux États-Unis et au Canada [V. Isabel Ecclestone MacPherson* ; Margaret Townsend*]. Récemment libérées par une révolution du système éducatif, qui les avait affranchies des écoles de formation où on ne les préparait qu’au mariage et à la maternité, ces femmes prenaient leurs études et leur carrière au sérieux. L’éducation de Mlle Gascoigne met cependant aussi en évidence certaines limites de cette révolution. Malgré les nouvelles possibilités, elle ressentirait une grande irritation au cours de ses premières années de scolarité à Nottingham. Dans ses mémoires inédits, elle écrit qu’elle eut alors les « plus médiocres maîtres imaginables » et subit un programme qui forçait les élèves à bachoter pour les examens d’entrée à la University of Oxford administrés localement. Très tôt, elle se promit d’ouvrir son propre établissement pour enseigner « les choses qui comptent vraiment ».

L’éducation que décriait Mlle Gascoigne lui fournit néanmoins une base solide et la capacité de faire des choix concrets pour son avenir. Tiraillée entre le désir de fréquenter la University of Oxford et celui d’étudier la musique en Allemagne, elle décida d’aller au Lady Margaret Hall d’Oxford en 1894. Elle s’y distingua comme une « jeune femme extraordinairement réceptive à l’enseignement », selon sa tutrice Annie Maude Stella (future directrice adjointe du Lady Margaret Hall). En 1898, Mlle Gascoigne termina ses études en classical moderations avec mention ; elle n’obtint toutefois pas de diplôme, car Oxford n’en accorderait aux femmes que 22 ans plus tard.

Début de carrière en enseignement

Nombre d’anciennes étudiantes d’Oxford de la génération de Mlle Gascoigne se démarqueraient dans les cercles nationaux et internationaux comme érudites, éducatrices, écrivaines et militantes sociales, notamment pour la cause du droit de vote féminin [V. Ethel Hurlbatt ; Eliza Ritchie]. Mlle Gascoigne, qui ne s’engagerait jamais dans le mouvement suffragiste en Angleterre ou au Canada, se tourna vers l’enseignement et la poursuite de son rêve d’ouvrir sa propre école. Malgré l’essor des écoles privées pour filles, Mlle Gascoigne avait de la difficulté à atteindre son but et passa d’un poste à un autre : gouvernante pour diverses familles, préfète des études à la Howell’s School de Denbigh, au pays de Galles, et éducatrice à la St Margaret’s School pour orphelins à Bushey, dans le Hertfordshire. Refusant de se plier aux circonstances, Mlle Gascoigne rejoignit la vague d’immigrants britanniques qui se dirigèrent vers le Canada avant la Première Guerre mondiale. En 1913, elle arriva à Montréal pour enseigner à la Miss Edgar’s and Miss Cramp’s School et s’installa dans le quartier Mille carré, cœur de la communauté anglophone aisée de la ville.

Les premières années de Mlle Gascoigne à Montréal se révélèrent aussi difficiles que celles qui avaient suivi son départ d’Oxford. Fidèle à son objectif, en 1914 – soit moins d’un an après son entrée en fonction –, elle publia un prospectus annonçant l’ouverture d’une école pour filles « âgées de 7 ans et plus » ; rien ne se concrétisa. Peu avant 1915, Mlle Gascoigne posa sa candidature à un poste de directrice au Trafalgar Institute (renommé Trafalgar School for Girls en 1934) ; elle ne l’obtint pas et démissionna de la Miss Edgar’s and Miss Cramp’s School. Déterminée à rester au Canada, elle emprunta 20 $, loua une pièce dans les Grosvenor Apartments, rue Sherbrooke, et y donna des leçons particulières. Elle postula même pour un emploi d’enseignante dans l’Ouest canadien, mais sans succès, et reprit son travail de gouvernante pour un certain temps.

The Study

Mlle Gascoigne ne tarderait pas à profiter du vent de changement qui commençait à souffler. Vers la fin du xixe siècle, les universités au Canada, comme celles en Angleterre, avaient progressivement commencé à autoriser les femmes à s’y inscrire. En 1884, lord Strathcona [Smith*] dota les deux premières années d’un cours réservé aux femmes au McGill College (qui devint une université l’année suivante) de Montréal. En 1898, il y avait déjà financé la création d’un collège pour femmes, le Royal Victoria College [V. Ethel Hurlbatt], qui ouvrit officiellement ses portes en 1900. Lentement mais sûrement, on se mit à former les filles de la classe moyenne afin qu’elles passent leurs examens de fin d’études secondaires en ayant pour objectif leur entrée à l’université. D’autres raisons rendaient l’époque favorable à cette évolution. Une croissance démographique sans précédent marqua les deux premières décennies du xxe siècle. Pour répondre à la demande d’une partie – prospère et essentiellement britannique – de la population de Montréal, on créa des écoles privées ; Mlle Gascoigne put ainsi trouver sa place. Grâce à ses études à Oxford, sa personnalité charismatique et son sens des affaires, elle noua bientôt d’importantes relations, ce qui lui permit de fonder une école pour filles en 1915, malgré la concurrence des établissements privés de langue anglaise. The Study, qu’elle installa d’abord dans une pièce d’un édifice sis rue Drummond, puis dans plusieurs autres lieux dans le Mille carré, connut des débuts modestes. En 1922, Mlle Gascoigne acheta une maison sur l’avenue de Seaforth pour y loger son école et constitua juridiquement The Study, preuves du succès remarquablement rapide de son entreprise. Les généreuses conditions de travail de Mlle Gascoigne pour cette année-là reflètent le contexte optimiste dans lequel celle-ci évoluait : selon les termes des statuts constitutifs, l’enseignante devait recevoir un salaire annuel de 2 500 $ avec des augmentations prédéterminées, une pension de retraite, et le gîte et le couvert gratuits dans l’enceinte de l’établissement.

Le conseil d’administration envisageait un beau destin pour l’entreprise et l’avenir lui donnerait raison. Tout au long des années 1920, l’école connut une croissance régulière. En 1926, elle réalisa même des bénéfices. Ouverte en 1915 avec 6 élèves et Mlle Gascoigne comme seule enseignante, elle comptait, pendant l’année scolaire 1928–1929, 216 élèves et 17 éducateurs. Grâce à cette croissance très saine, les droits de scolarité augmentèrent peu au cours de la période. En 1920, par exemple, les élèves de deuxième, troisième et quatrième année payaient 170 $, et celles de cinquième et sixième, 225 $. En 1925, les droits étaient passés à 200 $ pour les élèves du primaire, à 225 $ pour le cours intermédiaire et à 250 $ pour le secondaire, et demeureraient stables jusqu’à la fin de la décennie.

Dans les années 1920, parmi les étudiantes d’universités comme la McGill University et la University of Toronto, et même d’universités à l’étranger, telles qu’Oxford, le Bedford College de la University of London et la Sorbonne à Paris, plusieurs avaient d’abord fréquenté The Study. L’école avait acquis une réputation d’excellence et la garderait jusqu’au xxie siècle. Des femmes distinguées comptent au nombre des anciennes élèves de l’époque de Mlle Gascoigne : Marian Scott [Dale*], peintre, Isabel Marian Barclay* (Dobell), conservatrice de musée, et Dorothy Osborne (Xanthaky), qui étudierait la physique sous la direction de lord Rutherford et occuperait de hautes fonctions au ministère canadien des Affaires extérieures après la Deuxième Guerre mondiale.

Mlle Gascoigne fit considérablement preuve de vision et de flexibilité. Certes, l’éducation des filles la passionnait, mais elle pouvait faire des compromis, financiers ou autres, dans l’intérêt supérieur de son école. Au fil des ans, des garçons – à commencer par Esmond Peck, qui figure sur une photographie de classe en 1917–1918 – apparurent sporadiquement dans le registre de The Study. Leur exclusion deviendrait définitive au début des années 1980, sous la direction d’Eve Marshall. Mlle Gascoigne passait la majeure partie de son temps au sein de l’élite anglophone du Mille carré de Montréal. Elle avait toutefois également des activités en dehors de cette communauté. Membre de l’Association of Headmistresses of Canada, elle en fut élue trésorière en 1932. Même si elle appartenait principalement à des associations anglophones, Mlle Gascoigne reconnaissait l’importance de la culture française au Québec. À partir de 1916, avec l’embauche de Marcelle-Jeanne Boucher, le français fit partie intégrante du programme de The Study. En 1920, Mlle Gascoigne écrivit les accompagnements de piano pour le recueil de chansons folkloriques Chansons of old French Canada ; publié à Québec en 1920, le volume comporte aussi les illustrations d’Ethel Seath*, la transcription des paroles en script par James Kennedy et la préface de l’ethnologue canadien Marius Barbeau*. En fait, la collaboration de Mlle Gascoigne avec Mlle Seath – amie, collègue, professeure d’art à The Study, peintre professionnelle, membre fondatrice du Beaver Hall Group (aussi connu sous le nom de Beaver Hall Hill Group) en 1920 et membre du Canadian Group of Painters en 1939 – témoigne des liens culturels et sociaux indubitables entre The Study et le monde artistique national du temps.

À The Study, on adopta de nombreuses caractéristiques des écoles privées britanniques, tels les uniformes et le système de préfets. Les principes sous-jacents n’étaient cependant pas traditionnels pour autant ; au contraire, ils prenaient appui sur certaines philosophies éducatives parmi les plus radicales de l’époque (celles, notamment, que défendaient les essayistes et érudits britanniques Kenneth Richmond et Arthur Clutton-Brock). Mlle Gascoigne croyait, par exemple, que l’on ne devait pas considérer l’enseignement de la musique, de l’art et de la poésie comme un moyen d’initier de jeunes filles raffinées à des activités dignes de leur rang, mais comme une partie intégrante d’une vision éducative fondée sur l’amour et la recherche de « la bonté, la vérité et la beauté ». Les élèves ne recevaient pas de notes ou de prix, et ne passaient pas d’épreuves formelles. Cette approche, cependant, n’excluait pas l’achat d’équipement scientifique pour l’enseignement de la physique, et ne perdait pas de vue les réalités pratiques de la préparation des jeunes filles aux examens d’entrée à l’université et à la vie professionnelle. Mlle Gascoigne fit venir beaucoup d’invités à The Study. Au fil des ans, l’école accueillit des musiciens, des artistes, des acteurs et des conférenciers qui enrichirent le programme grâce à une série de concerts, de récitals, de pièces, de spectacles de lanterne magique ou de conférences. Mlle Gascoigne avait suivi une formation de pianiste classique et mettait ses compétences à contribution pour améliorer l’enseignement traditionnel en classe. Parfois, la musique occupait toute la matinée. Les enfants s’assoyaient sur le plancher pendant que Mlle Gascoigne jouait des morceaux de Beethoven, Chopin, Liszt, ou un air de leur choix.

Dernières années et héritage

Avec l’arrivée de la grande dépression, l’entreprise de Mlle Gascoigne rencontra de sérieux problèmes : des élèves abandonnaient les cours et des parents ne pouvaient plus s’acquitter des frais. Tandis que des milliers de dollars de droits de scolarité en souffrance s’accumulaient, le conseil d’administration se battait contre la crise financière et essayait de maintenir l’effectif. Aux prises avec un déficit croissant, il réduisit les salaires du personnel et demanda aux obligataires de reporter temporairement le paiement des intérêts. La banque baissa même son taux hypothécaire. En 1933, Mlle Gascoigne avait déjà accepté une diminution de traitement considérable et renoncé à l’appartement garanti par son contrat de 1925 pour se réinstaller à l’école. Sa santé commença à décliner à la même époque. En janvier 1934, elle subit une intervention chirurgicale majeure pour un cancer du sein. Elle ne reprit jamais officiellement ses fonctions et succomba à la maladie le 16 novembre 1934. Ses funérailles eurent lieu à la cathédrale anglicane Christ Church à Montréal, là où se déroulaient les cérémonies de fin d’année de The Study depuis 1926. Quelques mois plus tôt, dans le bulletin de l’école, des jeunes filles à qui Mlle Gascoigne avait enseigné la décrivaient comme « la plus grande influence positive qu’[elles aient] eue dans [leur] vie ». Afin d’honorer sa mémoire, les familles de certains élèves de The Study et la Study Old Girls’ Association demandèrent à Lilias Newton [Torrance*] de peindre le portrait de Mlle Gascoigne ; il demeure accroché dans le vestibule de l’édifice.

La mort de Mlle Gascoigne constitua un coup dur pour la communauté de The Study, mais la police d’assurance-vie de 20 000 $ qu’elle laissa à l’école l’aida à atténuer la crise financière d’alors. Le legs permit de réduire l’hypothèque et de dégager les fonds nécessaires au fonctionnement pour les deux ou trois années suivantes. En 1936, le conseil d’administration connut une reprise économique générale, et se trouva en mesure d’établir de solides assises financières à The Study en diminuant l’émission d’obligations et, progressivement, le déficit. En 1944, l’entreprise n’avait pratiquement plus de dettes.

Margaret Gascoigne évoluait dans un milieu privilégié, mais cela ne l’empêcha pas d’attirer l’attention sur la souffrance. Dans le bulletin de l’école, elle affirma par exemple que l’humain pouvait « créer une atmosphère de paix et d’amour », sans « jalousie ou cupidité ou égoïsme », pour léguer un « héritage plus noble et meilleur » à la génération suivante. Elle se soucia toujours des plus démunis. Dans son testament, elle demanda de remplacer les fleurs à ses funérailles par des contributions à un fonds destiné à soutenir les enfants qui n’avaient pas les moyens de s’inscrire à l’école : ainsi naquit la bourse d’études Margaret Gascoigne pour venir en aide aux jeunes filles moins fortunées qui souhaitaient fréquenter The Study. Mlle Gascoigne jeta les bases solides d’une école qui, à la fin du xxe siècle, passerait du statut de bastion pour anglophones privilégiés à celui d’établissement bilingue et multiculturel.

Colleen Gray

Ancestry.com, « Recensement de l’Angleterre de 1851 », Thomas Gascoigne (Nottinghamshire, Nottingham, Exchange) et Rebekah Houghton (Nottinghamshire, Basford, Basford) : www.ancestry.ca/search/collections/8860 ; « Recensement de l’Angleterre de 1861 », Thos [Thomas] Gascoigne (Nottinghamshire, Nottingham, Park) et Rebecca Houghton (Nottinghamshire, Basford, Basford) : www.ancestry.ca/search/collections/8767 ; « Recensement de l’Angleterre de 1871 », Rebecca Houghton (Nottinghamshire, Basford, Bulwell) et Thomas Gascoyne [Gascoigne] (Nottinghamshire, Basford, Greasley) : www.ancestry.ca/search/collections/7619 ; « Recensement de l’Angleterre de 1881 », Margaret Gascoigne (Nottinghamshire, Nottingham, Sherwood) : www.ancestry.ca/search/collections/7572 ; « Recensement de l’Angleterre de 1891 », Margaret Gascoigne ([Nottinghamshire], Nottingham, Nottingham North West) : www.ancestry.ca/search/collections/6598 ; « Recensement de l’Angleterre de 1901 », Margaret Gascoigne (Westmorland, Kendal, Milnthorpe) : www.ancestry.ca/search/collections/7814 ; « Recensement de l’Angleterre de 1911 », Margaret Gascoigne (Hertfordshire, Bushey) : www.ancestry.ca/search/collections/2352 (consultés le 26 juin 2023).— Find a Grave, « Memorial no.108152297 » : www.findagrave.com (consulté le 26 juin 2023).— The Study Arch. (Montréal), Board of Governors minutes book, 1922–1939 ; copie de l’acte de naissance de Margaret Gascoigne ; Margaret Gascoigne, « Proposed school for girls », 1914, « Speech given at the exhibition of the children’s art and general work », juin 1920, « Headmistress’ report », 1933–1934 ; Eve Marshall, « Head mistress’ report », décembre 1993 ; Mary Hebert, Newsletter, juin 2002 ; photograph of Study students, 1917–1918.— Univ. of Oxford, Lady Margaret Hall Arch. (Angleterre), college register : Margaret Gascoigne.— Globe, 25 mars 1932.— Gillian Avery, The best type of girl : a history of girls’ independent schools (Londres, 1991).— J. G. Batson, Her Oxford (Nashville, Tenn., 2008).— A[rthur] Clutton-Brock, The ultimate belief (Londres, 1916).— Margaret Conrad et Alvin Finkel, History of the Canadian peoples (5e éd., 2 vol., Toronto, 2009).— Gail Cuthbert Brandt et al., Canadian women : a history (3e éd., Toronto, 2011).— John Dickinson et Brian Young, A short history of Quebec (4e éd., Montréal et Kingston, Ontario, 2008).— Margaret Gillett, Traf : a history of Trafalgar School for Girls (Montréal, 2000).— Colleen Gray, No ordinary school : The Study, 1915–2015 (Montréal et Kingston, 2015).— Katherine Lamont, The Study : a chronicle (Montréal, 1974).— J.-C. Marsan, Montréal en évolution : quatre siècles d’architecture et d’aménagement (Montréal, 1974).— Barbara Meadowcroft, Painting friends : the Beaver Hall women painters (Montréal, 1999).— Nicole Neatby, « Part three : teaching and learning – introduction », dans Framing our past : Canadian women’s history in the twentieth century, S. A. Cook et al., édit. (Montréal et Kingston, 2001), 149–154.— Kenneth Richmond, The permanent values in education (Londres, [1917]).— A. M. Stella, « Obituary of Margaret Gascoigne », Brown Book (Oxford, Angleterre), décembre 1934 (exemplaire conservé aux Lady Margaret Hall Arch.).— The Study Chronicle (Montréal), 1917–1918, 1924–1931, 1934–1940, 1952–1953, 1958–1959, 1961.

Comment écrire la référence bibliographique de cette biographie

Colleen Gray, « GASCOIGNE, MARGARET », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 4 déc. 2025, https://www.biographi.ca/fr/bio/gascoigne_margaret_16F.html.

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Auteur de l'article:    Colleen Gray
Titre de l'article:    GASCOIGNE, MARGARET
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
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Date de consultation:    4 déc. 2025