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GRAVEL, ELPHÈGE (baptisé Alphée), professeur, prêtre catholique et évêque, né le 12 octobre 1838 à Saint-Antoine-sur-Richelieu, Bas-Canada, cinquième des douze enfants du second mariage de Nicolas Gravel, cultivateur, avec Julie Boiteau ; décédé le 28 janvier 1904 à Nicolet, Québec.
C’est par un cheminement peu orthodoxe, marqué de revirements, qu’Elphège Gravel en vient à choisir la carrière ecclésiastique. En 1849, il entreprend des études classiques au séminaire de Saint-Hyacinthe, dans le Bas-Canada, les poursuit au Holy Cross College, dirigé par les jésuites, à Worcester au Massachusetts, et les termine au petit séminaire de Montréal. À partir de 1859, il réside au grand séminaire de Montréal, où il étudie pendant 30 mois la théologie ; puis il s’installe pour une durée de cinq mois à l’évêché, recevant la tonsure dans l’intervalle. À l’automne de 1862, Gravel est au collège Sainte-Marie-de-Monnoir, à Marieville, où il enseigne pendant deux ans. Il abandonne ensuite l’état ecclésiastique et se rend à Québec, où il fréquente, à l’été de 1864, l’école militaire, puis s’inscrit à l’automne à des cours de droit à l’université Laval. Selon l’abbé Isidore Desnoyers, « cette année de revers et d’épreuves raffermit le jeune étudiant dans sa première vocation », si bien qu’au mois d’août 1865, après avoir à nouveau revêtu l’habit ecclésiastique, il est de retour au collège Sainte-Marie-de-Monnoir. À ce moment-là, Gravel relève toujours du diocèse de Montréal et il désire son incardination à celui de Saint-Hyacinthe, dont l’évêque, Mgr Charles La Rocque*, se dit prêt à le recevoir, mais à la condition qu’il serve le séminaire de Saint-Hyacinthe. C’est là qu’il reçoit les trois ordres mineurs le 28 avril 1869. Une année plus tard, le 2 avril, il devient sous-diacre puis, les 4 et 11 septembre, diacre et prêtre. Gravel, qui a alors 31 ans, fait part à son évêque de son désir d’obtenir une autre affectation. Mgr La Rocque, qui estime que le séminaire a besoin de son enseignement, refuse de lui donner satisfaction. Toutefois, en 1871, il juge bon de le nommer vicaire à Sorel. Deux ans plus tard, Gravel reçoit une charge semblable à Saint-Hyacinthe avant d’être pourvu, en 1874, de la cure de Saint-Damien à Bedford, dans le canton de Stanbridge, à la limite sud du diocèse et à la frontière américaine.
Outre Saint-Damien, Gravel dessert les missions de Saint-Ignace et de Saint-Armand-Ouest, pour lesquelles il reçoit l’aide d’un vicaire. Second curé de cette jeune paroisse érigée en 1866, dont le territoire a été colonisé d’abord par les loyalistes, Gravel doit faire face aux problèmes posés par la présence, en 1878, de 1 700 catholiques, dont une partie est irlandaise, et de 1 500 protestants. La question des écoles et celle de la municipalisation des territoires paroissiaux sont, entre autres, des sources de tensions. S’ajoutent à cela les problèmes pastoraux causés par la dispersion des fidèles sur un vaste territoire, les divisions à propos du tracé des paroisses projetées, les querelles au sujet de l’emplacement des édifices culturels et les tracas occasionnés par la frontière américaine, proche et perméable, qui rend le contrôle social et religieux plus difficile.
Saint-Damien est également une paroisse pauvre. Sa situation matérielle, en 1878, en témoigne : une église temporaire de dimension insuffisante qu’on ne peut songer à remplacer, une fabrique qui ne possède que le strict minimum pour le culte et des revenus curiaux plutôt bas, car la dîme, un faible casuel, le produit de la quête – concédé par l’évêque – et la tenue des livres de la fabrique procurent à Gravel entre 350 $ et 450 $ selon les années. En 1876, il s’estime incapable de payer sa « mense » à l’évêque compte tenu de la modicité de ses revenus. Cette pauvreté a, selon lui, des incidences sur la vie religieuse. Si un peu plus du tiers seulement des familles – 150 sur 350 – assiste assidûment aux « offices », c’est parce que les autres « n’ont pas de voiture ». Il est vrai, explique-t-il, qu’il s’agit là « d’une vieille habitude qu’ils ont contractée lorsqu’ils étaient loin de l’église [habitude qui] n’est pas encore détruite. Ça viendra avec le temps », conclut-il. Cette situation explique mieux que ne le fait la pauvreté la dérogation au devoir pascal d’environ 200 fidèles par année.
Au printemps de 1878, Gravel se voit offrir la cure du Saint-Nom-de-Marie à Marieville. Il la refuse non pas parce qu’il se sentirait mal à l’aise près du séminaire et des prêtres qui y vivent, mais bien plutôt parce qu’il devrait y résider. Or, il ne le peut, car « par piété filiale », il garde, outre sa mère, une de ses sœurs avec lui. Néanmoins, à l’automne de 1880, il devient le nouveau curé de la paroisse cathédrale de Saint-Hyacinthe. Il est tout près de l’évêque, Mgr Louis-Zéphirin Moreau, avec qui il a entretenu une correspondance chaleureuse et qui de son côté a souvent fait appel à lui pour mener des enquêtes. Le prélat allait avoir l’occasion de mieux évaluer ce prêtre pour lequel, à l’évidence, il a une grande sympathie. Déjà, il connaît sa science juridique, son talent oratoire et sa grande piété tout imprégnée de romanité. En 1883, lorsque se pose la question du choix d’un candidat à la direction du diocèse projeté de Nicolet, lequel ne pouvait venir ni de Trois-Rivières ni de Québec, où l’affaire de la division du diocèse de Trois-Rivières a suscité des débats passionnés [V. Calixte Marquis ; Louis-François Laflèche*], peut-être Mgr Moreau propose-t-il Gravel.
Sacré évêque de Nicolet le 2 août 1885, Gravel prend possession de son nouveau diocèse le 25. Celui-ci est de dimension moyenne, car il compte 49 paroisses et missions, toutes situées, sauf une, dans les comtés de Nicolet, Yamaska, Arthabaska et Drummond. Il regroupe environ 80 000 fidèles, ce qui en fait le troisième diocèse rural en importance au Québec, après Saint-Hyacinthe et Rimouski. Vingt ans plus tard, le nombre de paroisses aura grimpé à 61, mais la population catholique ne dépassera pas encore 88 000 fidèles. Quant à la population protestante, presque entièrement concentrée dans les cantons méridionaux, elle ne représentera qu’environ 1 500 personnes à la fin du siècle.
À son arrivée dans le diocèse, Gravel peut s’appuyer sur 79 prêtres, qui constituent tout le clergé diocésain : prêtres des paroisses, enseignants du séminaire et administrateurs. Le diocèse ne dispose cependant d’aucune communauté de prêtres réguliers. Dans le rapport qu’il prépare à l’occasion de sa visite ad limina de 1895, l’évêque, qui peut alors compter sur 107 prêtres (il y en aura 119 au début de 1905), se dit satisfait du nombre. Il se montre par contre plus réservé dans l’appréciation qu’il en donne. Il note d’abord qu’ils sont habiles à gérer les biens matériels et près des fidèles qui, par ailleurs, les estiment. De plus, ajoute-t-il, la vie des prêtres offre peu de prise au scandale ; lorsque les cinq cas d’ivrognerie et les trois cas d’immoralité ont été connus, il les a réprimés, réussissant même, dit-il, à guérir les coupables. Mais Gravel porte ensuite un jugement sévère sur les qualités intellectuelles de son clergé, dont il souligne la faiblesse générale des connaissances et, dans certains cas, l’ignorance inquiétante. Ces lacunes expliquent peut-être, selon lui, le peu de soin qu’ils accordent à la préparation des instructions. (Dix ans plus tard, son successeur, Hermann Brunault, notera que la situation s’est améliorée et que les ecclésiastiques sortent mieux instruits du séminaire, un nombre croissant d’entre eux ayant fait une partie de leurs études théologiques à Québec ou à Montréal, comme Gravel le souhaitait.) Enfin, il leur reproche de manquer de respect à l’endroit des évêques, qu’ils critiquent d’ailleurs assez librement, notant cependant qu’ils partagent ce défaut avec l’ensemble du clergé québécois.
Gravel fait ces remarques au moment où il a maille à partir avec les prêtres du séminaire de Nicolet, retranchés derrière les privilèges d’une institution déjà ancienne qui a formé la plus grande partie du clergé diocésain, résisté au projet de sa disparition lorsque l’évêque de Trois-Rivières, Mgr Laflèche, a voulu consolider le jeune séminaire de la ville épiscopale et qui a mené le combat pour la création du diocèse. Gravel leur reproche de miner son autorité sur le clergé du diocèse. Bref, leur influence est grande et il a pu en prendre ombrage. Il est certain cependant que la querelle, portée jusqu’à Rome, laisse des marques et alourdit le contentieux entre lui et une partie de son clergé déjà blessé, au début de son épiscopat, par la nomination de prêtres d’autres diocèses à des postes administratifs, ainsi le secrétaire Louis-Victor Thibaudier qu’il a amené avec lui de Saint-Hyacinthe.
L’atmosphère est donc tendue lorsque se pose la question de la désignation d’un coadjuteur. Les opinions viennent de Trois-Rivières – Laflèche a encore des visées annexionnistes – et du séminaire, cela va de soi. Finalement, la nomination le 30 septembre 1899 d’Hermann Brunault, professeur au séminaire, paraît avoir donné raison à l’institution. Or, Gravel s’en réjouit. Cette nomination arrive d’ailleurs à point, car l’évêque, miné par la maladie, doit souvent quitter le diocèse pour trouver repos et guérison. À partir de 1899, Gravel laisse au coadjuteur le soin de visiter les paroisses du diocèse, rompant ainsi avec une habitude qui datait de 1886.
Au cours de son épiscopat, Gravel a effectué six visites pastorales. À raison d’une trentaine de jours chaque année, s’attardant un jour ici, deux là, l’évêque met trois ans à terminer la tournée. Parfois précédé d’un secrétaire qui scrute les comptes de la fabrique, accompagné d’au moins deux prêtres qui, à l’occasion, sont des oblats, entouré des curés des paroisses avoisinantes, il remplit son double rôle de pasteur et d’administrateur. À son arrivée dans la paroisse, l’évêque prend connaissance du rapport préparé par le curé. Le document répond à quelque 80 questions qui permettent de connaître en détail la situation de la paroisse sur les plans de la population, des mœurs, de la pratique religieuse et de la gestion des biens d’église. L’évêque reprend plusieurs des données inscrites dans le rapport et les couche dans le procès-verbal de la visite pastorale. Celui-ci révèle donc l’attention qu’il porte à la gestion des biens et des finances, et montre la place prépondérante qu’occupent les questions matérielles et financières : l’église paroissiale, le presbytère, la fabrique restent au centre de ses préoccupations. Il serait facile de multiplier les exemples où Gravel intervient soit pour favoriser la réparation ou la construction d’églises et de presbytères, soit, à l’occasion, pour dissuader de le faire. Ainsi, à Saint-Cyrille, au mois de juillet 1895, où il effectue une visite, il admet que l’église est devenue trop exiguë, mais, selon lui, deux raisons l’incitent à ne pas permettre l’agrandissement souhaité : la création prochaine de la paroisse Notre-Dame-du-Bon-Conseil, qui diminuera le nombre des familles et, surtout, la fermeture anticipée d’une industrie du bois qui provoquera le départ d’une cinquantaine de familles à la recherche de travail. Mieux informé que les fidèles de la paroisse, sensible au grand mouvement des populations dans le diocèse de Nicolet, Gravel fait valoir une opinion éclairée, définitive.
Au vrai, les questions financières ont marqué l’épiscopat de Gravel dès les débuts. La création du diocèse de Nicolet n’a pas calmé les antagonismes, comme en témoignent les discussions soulevées par le problème du partage des biens et dettes accumulées par les diocèses de Trois-Rivières et de Nicolet. Rome tranche le 21 janvier 1888 : aucun diocèse ne doit rien à l’autre. À cette époque, l’évêque songe à remplacer la quatrième église paroissiale, vétuste, par une église-cathédrale. Faute de moyens financiers suffisants, sa construction ne commence qu’en 1897. Deux ans plus tard, encore inachevée, elle s’écroule, ne laissant que ruines et dettes. En dépit de la responsabilité prouvée des constructeurs, l’évêque ne reçoit qu’un faible dédommagement. Autre préoccupation : les revenus du clergé, dont l’ajustement est réclamé par les curés. Ceux-ci peuvent démontrer que les changements survenus en agriculture, ainsi que la consolidation des villages et la montée de l’effectif ouvrier produisent des effets tels que la dîme seule ne suffit plus. Gravel s’en est bien rendu compte et a pris des mesures ponctuelles. Mais il hésite longuement avant d’émettre une ordonnance générale. Il commence par s’adresser aux curés, qui ne manquent pas de suggérer des solutions à leur convenance. Prudent devant toutes les suggestions, Gravel attend que la décision soit acceptée de tous. Le règlement général de 1891, qui fait reposer sur tous les fidèles, tant les cultivateurs que les ouvriers, la responsabilité d’entretenir les curés, entérine pour beaucoup une situation de fait. Il reste que les hésitations et les précautions de l’évêque laissent penser que l’application n’allait pas de soi. Mais du moins Gravel a-t-il pu satisfaire le plus grand nombre et montrer aux autres que Nicolet ne se démarque pas du diocèse de Trois-Rivières, où Laflèche, la même année, adopte une mesure semblable. Il y a là plus qu’une coïncidence. L’évêque doit aussi gérer l’espace diocésain et il est appelé à scinder des paroisses pour en créer de nouvelles. Encore là, il rencontre des oppositions non seulement de la part des fidèles, mais aussi des curés qui s’estiment lésés, privés de revenus. À l’occasion, la correspondance permet de lire des échanges peu amènes, voire acrimonieux, qui justifient son opinion sur le clergé. Là où la conviction échouait, l’autorité l’emportait. Il est certain que le climat des relations s’en ressentait.
Au premier chef pasteur des âmes, Gravel donne l’image d’un prélat appliqué à diffuser le culte romain. Il en développe d’ailleurs la pédagogie. Ainsi, parce qu’il souhaite que la visite pastorale prenne l’allure d’une « véritable retraite », une place de choix est accordée à la prédication, à la confession et à la communion. Son action vise essentiellement à concrétiser ce qu’on nomme l’ultramontanisme religieux : culte christocentrique et marial, dévotion aux saints, culte des reliques et pratique du pèlerinage comme modèle de prière publique et magnifique exemple de l’ostentation qui caractérise la piété romaine. La dévotion qu’il voue à Mgr François de Laval* et aux reliques est exemplaire. Il encourage Calixte Marquis, à propos duquel il n’entretient aucune illusion, à construire une chapelle pour y déposer les nombreuses reliques qu’il a rassemblées, le remerciant ainsi du don précieux de plusieurs d’entre elles à l’église épiscopale. Héritier des fruits du travail d’acculturation religieuse entrepris plusieurs décennies auparavant, Gravel peut écrire en 1895 toute sa satisfaction devant le fait que moins de « vingt-cinq personnes ne sont pas fidèles au devoir pascal, par affaiblissement de la foi ».
Dans le diocèse, le rayonnement de la pensée ecclésiale et cléricale doit beaucoup à l’enseignement prodigué par les congrégations religieuses féminines, plus particulièrement les Sœurs de l’Assomption de la Sainte Vierge, qui dirigent pas moins de 15 couvents [V. Edwige Buisson]. De leur côté, les Frères du Sacré-Cœur, l’une des deux congrégations masculines, l’autre étant les Frères des écoles chrétiennes, ont leur maison provinciale à Arthabaskaville (Arthabaska). Durant l’épiscopat de Gravel, les établissements scolaires continuent de se multiplier. En 1886, il fait venir des Sœurs de la charité de Saint-Hyacinthe à Nicolet, où elles fondent l’Hôtel-Dieu [V. Aurélie Crépeau]. Dix ans plus tard, il introduit les Sœurs adoratrices du Précieux-Sang, tandis que les Petites Sœurs de la Sainte-Famille arrivent au séminaire en 1898, où elles s’occupent un temps du service à l’évêché.
Nicolet reçut ainsi un peu du prestige que l’évêque souhaitait lui donner. En effet, Elphège Gravel mit beaucoup d’efforts pour assurer le développement du gros bourg rural qu’était Nicolet afin d’en faire une ville épiscopale. Sa correspondance avec les ministres du gouvernement canadien montre l’espoir qu’il fondait sur les travaux liés au transport fluvial et ferroviaire. En cela, il était bien de son temps : un homme qui savait user de l’influence que lui donnait son rôle social et religieux. Dès lors, il aurait été étonnant qu’il ne se mêle pas de politique. Ses amitiés avec la bourgeoisie libérale d’Arthabaskaville étaient évidentes, voyantes, trop sûrement pour certains, dont Laflèche, bien sûr. Il fit preuve d’imprudence encore lorsqu’il se mêla des querelles des Franco-Américains. Ses amitiés l’amenèrent à prendre parti. Piégé, il s’en sortit confus. Pourtant il connaissait bien la situation, ainsi que le prouve le point de vue lucide qu’il livra en 1895 sur l’avenir de la langue française dans les États de la Nouvelle-Angleterre, dissociant la langue de la religion, car l’américanisation faisait son œuvre.
Arch. de la chancellerie de l’évêché de Saint-Hyacinthe, Québec, Isidore Desnoyers, Hist. de la paroisse de Saint-Damien, 8 déc. 1885 ; Reg. des lettres des évêques.— Arch. de l’évêché de Nicolet, Québec, Corr. des diocèses, 1885–1904 ; Rapports paroissiaux ; Reg. des insinuations ecclésiastiques, A ; B ; Reg. des lettres, 1–3.— Arch. du séminaire de Nicolet, F017 (Elphège Gravel).— Arch. du séminaire de Trois-Rivières, Québec, 0226 (fonds Elphège Gravel).— Denis Fréchette, le Diocèse de Nicolet, 1885–1985 ([Nicolet, 1985]).— Claude Lessard, le Séminaire de Nicolet, 1803–1969 (Trois-Rivières, 1980).— Mandements, lettres pastorales et circulaires des évêques de Nicolet (12 vol. parus, Nicolet, 1904– ), 1.— Yves Roby, les Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre (1776–1930) (Sillery, Québec, 1990).— Jean Roy, « le Clergé nicolétain, 1885–1904 : aspects sociographiques », RHAF, 35 (1981–1982) : 383–395 ; « l’Invention du pèlerinage de la Tour des martyrs de Saint-Célestin (1898–1930) », RHAF, 43 (1989–1990) : 487–507 ; « les Revenus des cures du diocèse de Nicolet, 1885–1904 », SCHEC Sessions d’étude, 52 (1985) : 51–67.— Philippe Sylvain et Nive Voisine, les XVIIIe et XIXe siècles : réveil et consolidation (1840–1895), dans Histoire du catholicisme québécois, sous la dir. de Nive Voisine (4 vol. parus, Montréal, 1984-), [3].— Nive Voisine, « la Création du diocèse de Nicolet (1885) », les Cahiers nicolétains (Nicolet), 5 (1983) : 3–41 ; 6 (1984) : 147–214.
Jean Roy, « GRAVEL, ELPHÈGE (baptisé Alphée) », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 6 déc. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/gravel_elphege_13F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/gravel_elphege_13F.html |
Auteur de l'article: | Jean Roy |
Titre de l'article: | GRAVEL, ELPHÈGE (baptisé Alphée) |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1994 |
Année de la révision: | 1994 |
Date de consultation: | 6 déc. 2024 |