101 à 120 (de 181)
1...4  5  6  7  8  ...10
 
. Montcalm*, qui préféra toujours son armée régulière et qui détestait le gouverneur Vaudreuil avec lequel Marin était parent, fut bien obligé de lui attribuer le mérite de quelques victoires, même s’il le
 
Montcalm* au fort Carillon (Ticonderoga, New York) en 1758, puis une seconde fois alors qu’il commandait une compagnie indépendante de troupes provinciales de New York au siège du fort Niagara (près de
 
 14 août 1756, par une armée sous les ordres de Montcalm*. Après avoir
, en 1756, d’envoyer des renforts et un nouvel état-major, sous les ordres du marquis de Montcalm*, à l’armée du Canada, Lévis accepta
 
Montcalm*, ce qui écarta les marins britanniques du lac Ontario. Tout ce que Loring put organiser, ce fut une reconnaissance sur le lac George (lac Saint-Sacrement), en septembre. Il sollicita alors un
 
de zèle, de talent et d’intelligence, et Montcalm* le qualifie « d’homme de mérite
 
Dieskau* – Montcalm*, qui n’a pas été témoin de l’événement, se permettra de dire plus tard que Le Mercier a « fait
août 1757 Montcalm* remporta l’une des plus brillantes victoires françaises, à laquelle contribua La Corne Saint-Luc qui avait
 
Québec, comme aide de camp de Montcalm*. Après le siège de la ville et la mort du général, il fit retraite avec l’armée. Stationné à
mains de Montcalm* en août de cette année-là et fut détruit. Le fort William Henry (appelé aussi fort George ; aujourd’hui
 
), 118–128 ; Canadian Jewish Archives (Montréal), I (1959), nos 4 et 5 ; P.-G. Roy, La maison Montcalm sur les Remparts à Québec, BRH, VIII (1902) : 265
 
Monckton, en 1755. L’année suivante, il participa à l’attaque, menée par Montcalm*, contre Chouaguen (ou Oswego
 
à sa tante, Catherine Jarret de Verchères, épouse de Pierre-Joseph Hertel de Beaubassin, il bénéficia de la faveur de Montcalm*. Ce
 
. C. Long, Lord Jeffery Amherst : a soldier of the long (New York, 1933), 99, 126–136, 153, 261, 266s., 306, 309.— Francis Parkman, Montcalm and Wolfe (2 vol., Boston
 
« plus ample informé » prononcé contre lui. De nombreuses accusations avaient été portées par ses contemporains : Montcalm* le
 
avoir nui à sa carrière, car en mars 1756 il était nommé aide-major général de Montcalm
semble avoir rencontré Montcalm* avant le départ de ce dernier. Duquesne reprit sa
Rigaud de Vaudreuil, puis de Montcalm*, à la campagne qui aboutit, en août, à la capitulation du fort George (appelé aussi
 
.— Bégon, Correspondance (Bonnault), ANQ Rapport, 1934–1935.— Extrait d’un journal tenue à l’armée que commandait feu M. le marquis de Montcalm, lieutenant général, Literary and Hist. Soc. of
101 à 120 (de 181)
1...4  5  6  7  8  ...10