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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              , Montcalm*, se hâtait de retrancher ses forces – quelque 3 500 hommes – derrière un grossier parapet d’arbres tombés. Amené à croire que les Français attendaient sous peu d’importants
              Parkman, de Montcalm and Wolfe, qui contenait un chapitre intitulé « Removal of the Acadians ». Pour rédiger ce chapitre, où il affirmait que la Déportation avait été
              de « jeune tête léger », paraissait quelque peu emporté. Montcalm* l’appelait « une mauvaise tête », mais lui
               
              . D’Alquier participa à plusieurs combats avec son bataillon. Le marquis de Montcalm qui tenait cet officier en haute estime trouvait son zèle tout à fait louable bien que parfois déplacé pour un homme de
              Prideaux eut été tué – amena immédiatement Montcalm* à affaiblir son armée à Québec par l’envoi de troupes dans l’Ouest. Les démarches
               
              Wolfe* et de Louis-Joseph de Montcalm* ; le nom d’Antrobus apparaît sur la liste des donateurs. Il est donc probable que
              l’établissement d’une école d’agriculture au collège de L’Assomption. En 1866, en effet, les sociétés d’agriculture des comtés de L’Assomption, Montcalm et Joliette prièrent les autorités du collège d’établir une
              Leinster (scindée, en 1853, en L’Assomption et Montcalm). Préfet du comté de Leinster depuis 1848, il est réélu à l’unanimité en septembre 1854, pour un an, dans le comté de L’Assomption et, de nouveau, en
               
              Bourlamaque chargé par Montcalm d’exécuter des travaux de défense pour barrer la route à l’ennemi
               
              célèbre victoire de Montcalm* sur Abercromby à Carillon, en 1758. Après la chute de Québec, il participa au siège de la ville par l’armée
              Montcalm*, du moins, s’en plaignit à plusieurs reprises, et Marie-Charlotte Badelard quitta son mari vers 1770 afin d’éviter les « mauvais procédés » et la « violence » qu’il lui
              s’interrogeait sur le sort réservé au drapeau rapporté de la bataille de Carillon (près de Ticonderoga, New York) [V. Louis-Joseph de Montcalm
               
              Montcalm*. Cette maison dut être abandonnée par les siens après sa mort, parce qu’ils étaient incapables de payer les arrérages de rente dont elle était chargée. La succession de Barbel [V. Marie-Anne
              bâtiments transportant le marquis de Montcalm et un renfort de 1 500 hommes à Québec. Il réussit
               
              que malveillant : même s’il affirmait son intention d’honorer Louis-Joseph de Montcalm* et Wolfe au même titre, il était tout à
               
              Montcalm* au siège du fort George (appelé aussi fort William Henry ; aujourd’hui Lake George, New York). La chute du fort Frontenac (Kingston
               
              convoqué par Vaudreuil immédiatement après la défaite de Montcalm* sur les plaines d’Abraham en 1759, et ainsi ne fut-il d’aucun secours
               
              Pichon*, aux termes d’une « capitulation plus avantageuse » [V. Montcalm], les Anglais
              février suivant et, quand Louis-Joseph de Montcalm* fut promu commandant des troupes régulières françaises du Canada, Bougainville fut
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