DCB/DBC Mobile beta
+

Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              1 à 20 (de 181)
              1  2  3  4  ...10
              . Montcalm, commandant des forces françaises, y était installé et avait érigé des défenses derrière lesquelles campait le gros de l’armée française. Ainsi s’imposa à Wolfe la première de plusieurs
              Montcalm], il fut décidé de renforcer le fort Cumberland sur l’isthme de Chignectou, en Nouvelle-Écosse. Le 12 novembre, Wilmot fut envoyé par le gouverneur Charles
              Montcalm* avait été blessé à mort par la mitraille d’un canon. Bien qu’il ait dit qu’il y avait sur le champ de bataille six canons légers et deux petits obusiers, la plupart des récits ne font état que
              restes du brave Montcalm [Louis-Joseph de Montcalm*] ». Les partisans de l’assimilation le hérissaient. Selon lui, il n’y avait pas
               
               » », Cahiers des Dix, 4 (1939) : 243–270.— Philéas Gagnon, « le Club des douze apôtres », BRH, 4 (1898) : 90.— P.-G. Roy, « les Officiers de Montcalm mariés au Canada
              Montcalm*, marquis de Montcalm, et défier ceux qu’il appelait les patriotes exaltés – ses confrères opposés au bilinguisme et aux mariages mixtes. Après avoir appris qu’un autre élève le trouvait
              d’entraîner le marquis de Montcalm* dans la bataille. Les 9 et 10 juillet, les brigades de Townshend et de Murray débarquèrent sur la rive
               
              distingua à plusieurs égards au cours de sa longue vie. En 1759, il combattit avec l’armée de Montcalm sur les plaines d’Abraham, où il perdit un bras et un oeil. On possède peu d’informations sur ses
               
              Montcalm* dans le jardin des gouverneurs. Pendant cette année-là, il dicte à l’un de ses fils des mémoires et des anecdotes sur les deux sièges de Québec et sur celui de Louisbourg
              qui transportèrent, dans 12 canots, du ravitaillement en vue de l’attaque de Montcalm* contre le fort Chouaguen (ou Oswego
               
              Tarieu de Lanaudière (Lévis, Québec, 1922).— Benjamin Sulte, Histoire de la milice canadienne française, 1760–1897 (Montréal, 1897).— P.-B. Casgrain, « Une autre maison Montcalm à Québec
               
              Montcalm*, qui exprima sa satisfaction dans une lettre adressée au gouverneur Vaudreuil [Rigaud
              , Taillon fut élu dans Montcalm en décembre. Des années plus tard, Taillon attribuerait la chute du gouvernement Ross non pas tant à l’exécution de Riel
              études en France, Suzor-Coté a appris la sculpture, mais il utilisait alors celle-ci comme un moyen de créer des mises en scène réduites des sujets qu’il souhaitait peindre (la Mort de Montcalm
              , serait arrivé au Canada avec les troupes de Louis-Joseph de Montcalm*. Son fils Joseph, grand-père de Sulte, a exercé le métier de
              , dans l’avenue des Érables et l’avenue du Parc, le nouveau quartier Montcalm devient l’écrin de ces maisons confortables dont Edward Black tient le secret. La renommée des Staveley outrepasse alors les
               
              Montcalm* contre le traitement infligé à Smythe. Neuf jours plus tard, ce dernier participait à la désastreuse attaque de la chute Montmorency ; le 13 septembre, il était gravement blessé à la
               ? Pourquoi [James Wolfe*] s’est-il donné la peine de combattre [Louis-Joseph de Montcalm
              à la fois la mémoire de James Wolfe* et de Louis-Joseph de Montcalm
              1 à 20 (de 181)
              1  2  3  4  ...10