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Le couple Thibaudeau s’établit à Longue-Pointe, à l’extrémité est de l’île de Montréal. Le quotidien de Marguerite, comparable à celui de bien des femmes aisées de l’époque, consistait à gérer la
Sarah emménagea avec Groves et ses deux fils adolescents au 36, avenue Albany, où elle vivrait jusqu’à la fin de sa vie. En tant que femme mariée, Edith Sarah, qui se faisait désormais appeler Mme W
femmes. À son retour, elle examina les conditions de vie de certaines de ces nouvelles Canadiennes, installées dans les bidonvilles de North End. Alarmée par le taux de mortalité infantile élevé de la
politiques importants : la réclusion de Victoria et, plus tard, les droits des femmes. Elle souleva la controverse en soutenant les actions de la féministe Josephine Elizabeth Butler, dont les initiatives
établissement qui deviendrait le Tsuda College de Tokyo, école chrétienne privée pour filles fondée par Tsuda Umeko, célèbre pionnière de l’éducation des femmes. Dans son travail avec la YWCA, Mlle Macdonald
plusieurs femmes qui deviendraient médecins à une époque où il y en avait peu. Elle fréquenta d’abord la South Pinette School, puis le Prince of Wales College à Charlottetown, où elle obtint son diplôme de
(Douglas ; Fisher), maîtresse de maison et sage-femme, née vers 1855 dans le sud de l’île de Vancouver ; à partir de 1870 environ, elle vécut en union de fait avec Abel Douglas (Douglass
Ces femmes qui ont bâti Montréal, sous la dir. de Maryse Darsigny et al. (Montréal, 1994), 132–133.— Édouard Desjardins et al., Histoire de la profession infirmière au
, Aberdeenshire, Écosse.
Ishbel Maria Marjoribanks tient une place importante parmi ces « nouvelles femmes » vice-royales – que l’historienne
dans la colonie de Colombie-Britannique, où il espérait s’enrichir durant la ruée vers l’or. Il partit avec sa femme, Susan Louisa et Jane Shaw.
Selon
l’engagement évangélique de leurs parents en donnant généralement leur appui à l’éducation des femmes. William Muir travailla dans l’entreprise familiale. Par contraste, la mère de Henrietta Louise, Jane
baptiste pour femmes en Illinois, le Mount Carroll Seminary. Elle entreprit ensuite des études de troisième cycle à la University of Chicago, à laquelle le collège s’était affilié en prenant le nom de
, William Anderson habitait dans l’Ouest américain depuis de nombreuses années et était retourné en Écosse dans un but précis : trouver une femme qui pratiquerait l’agriculture avec lui dans les plaines
contribuerait à améliorer les perspectives d’éducation offertes aux femmes au Nouveau-Brunswick à la fin du xixe siècle et au début du xx
milieu des années 1890, elle voyagea à maintes reprises en Europe, et fit notamment un séjour marquant chez une tante à Glasgow. Elle découvrit là le Queen Margaret College, collège pour femmes associé à
, Mlle McNaughton devint secrétaire-trésorière du groupe de femmes missionnaires de l’église First (Calvary) Baptist fondé par sa mère. À l’été de 1877, elle obtint son diplôme de la Victoria High School
, tailleur prospère, elle reçut une éducation postsecondaire ; rarement offertes aux femmes de cette époque, de telles études étaient toutefois compatibles avec la position sociale et la confession
retour rue Powell afin de fonder une mission catholique pour les Japonais, avec l’appui de l’archevêque. Secondée par quelques femmes bénévoles, elle donna des cours d’anglais et de catéchisme, et effectua
qu'il enseignait, il fit la connaissance d'une jeune femme de la région de Balcarres, Mary Elizabeth Stephens. Ils se marièrent en 1886 et, ensemble, commencèrent à bâtir une ferme appelée Bluffs