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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              maison située à la périphérie de la ville, peut-être au moyen d’argent venant de la famille de sa femme, et était connu en tant qu’« homme cultivé et raffiné
              ). Mary Martha Phillips, qu’on appelait May, fit ses études à Montréal, sa ville natale, au séminaire pour jeunes femmes de Mme Lucy Simpson et à l’école des Mlles Symmers et Smith. En 1872 et 1873, elle
              , et sa femme Marie Itchamipek. Une série d’alliances entre la progéniture des Piwapiskus et des Opikokew viendrait solidifier les liens étroits qui rattachaient les deux familles, dont
               
              Victoria et s’y installa avec sa femme, son fils et ses quatre filles, dont Maria Heathfield. Le révérend Pollard ne tarda pas à assumer, e
               
              accompagné d’un chien, marchant dans le parc en pleine nuit ». En octobre, il fut admis au Nova Scotia Hospital for the Insane à Dartmouth ; sa femme, en proie à une dépression postnatale, l’y
              femme Minnie et leur garçonnet Dennis quittèrent l’Angleterre pour le Canada en mai 1874. La famille s’établit d’abord à Toronto. Ernest George y trouva un emploi (l’annuaire municipal de 1877 le
               
              mars 1932 au même endroit. Il est difficile de décrire les premières années d’Ada Ramsay, comme celles de tant d’autres femmes nées en région rurale à
              fondatrices reçoivent leur premier malade le 5 novembre. La population locale semble ressentir de la réticence envers ces femmes, dont elle se méfie et qu’elle craint de devoir soutenir financièrement. Les
              Philharmonic Society ; on lui attribue certaines des premières représentations d’œuvres de Bach et de Mendelssohn au Canada, auxquelles sa femme participa souvent à titre de chanteuse ou de pianiste
              . Eliza Ritchie grandit dans un milieu privilégié et reçut une éducation privée. Elle fréquenta la Dalhousie University en 1882–1883, l’année suivant les premières admissions de femmes au premier cycle
               
              préservation fortuite demeurerait la contribution la plus considérable de ces deux femmes à l’histoire acadienne. En effet, l’aînée des Vénérande avait entretenu une longue correspondance avec son frère Otho
               
              *], et milita pour la création d’une loi sur un salaire minimum pour les femmes. À l’instar d’autres Winnipegois progressistes, dont Mme Armstrong, Frederick John
              chauffage. Il s’installa par la suite au fort Simpson, où il rencontra sa future femme, Agnes Hubbs. Agnes était la fille de Qawankie, femme haïda de
              veuf, mais son acte de mariage n’a jamais été retrouvé. C’est peut-être la perte de sa femme qui l’incita à aller s’installer en Saskatchewan en 1910. Son nom figure dans le recensement américain de
              College qui l’engagea cet automne-là pour enseigner la culture physique aux femmes. En 1901, Mme Scott Raff fonda sa propre école. Elle y donnait des
              les recherches de Mlle Scovil sur la diète appropriée pour les nourrissons. En 1904, le Gentlewoman de Londres ajouta le nom de Mlle Scovil à la liste des « femmes d’expression anglaise
              modifia l’orthographe de son patronyme en celle de Scrymgeour. Leur sœur, Anna Marks, embrassa la cause du suffrage féminin en 1903 et militerait toute sa vie pour les droits des femmes. Après la Première
              SHARP, MINNIE BELL (Adney), professeure de musique et femme d’affaires, née le 12 janvier 1865 à Upper Woodstock, Nouveau-Brunswick
              société japonaise accordait à l’instruction des filles. Au début des années 1920, la professeure nota : « sous l’influence des vieux idéaux quant à l’infériorité et à la soumission des femmes
              . Les Sheppard croyaient fermement à l’éducation des femmes : « Mon père […], observa Mlle Sheppard dans une lettre à son futur fiancé, pense que les parents qui laissent leurs filles grandir en
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